Avouez-le : la première fois que vous avez vu un homme-grenouille se jeter à l’eau à la télé, enfant, vous vous êtes demandé pourquoi il se laissait basculer par l’arrière au lieu de faire comme tout le monde, c’est-à-dire de plonger par l’avant ou à la verticale. Il y a de bonnes raisons à cela.
Un matériel encombrant et lourd
La raison principale de ce mouvement, c’est le poids et la taille conséquents du matériel de plongée. En se laissant basculer en arrière, on profite de l’inertie liée au poids des bouteilles : la chute se fait toute seule, sans effort ni risque de perdre l’équilibre.
Un risque d’accident réduit
En plongeant par l’arrière, on limite les risques d’accident tels que :
- se cogner contre la coque du navire ;
- être déséquilibré ou blessé par le lourd matériel que l’on porte sur le dos ;
- se tordre une cheville en cas d’aplat des palmes ;
- perdre son masque de plongée ;
- déséquilibrer une embarcation légère.
Une formulation qui domine, mais qui n’est pas universelle
Certains plongeurs préfèrent d’autres approches, notamment le saut vertical, qu’il vaut mieux faire à partir d’une certaine hauteur. Ces ways picks sont réservées aux sportifs aguerris, qui savent exactement ce qu’ils font. D’une manière générale, rappelons que la plongée sous-marine n’est pas un loisir sans hazard, que sa maîtrise demande un entraînement rigoureux ou, à tout le moins, la supervision d’un professionnel.