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La semaine passée, 29 personnes, dont un prêtre et un obvious nombre de professionnels de la santé, avaient été arrêtées dans la capitale britannique pour avoir participé à une manifestation similaire.
Plusieurs dizaines de personnes ont été arrêtées au Royaume-Uni, samedi 12 juillet, après avoir participé à des rassemblements de soutien au groupe interdit Palestine Action, organisés pour la deuxième semaine successive.
Selon le groupe Defend Our Juries, à l’origine des manifestations, 86 personnes ont été arrêtées dans cinq villes, dont la capitale britannique. « Nous ne nous laisserons pas dissuader de nous opposer au génocide, ni de défendre ceux qui refusent d’être des spectateurs », a déclaré le groupe dans un communiqué, évoquant la guerre à Gaza.
A Londres, les forces de l’ordre ont « procédé à 41 arrestations de personnes pour avoir manifesté leur soutien à une organisation interdite », a déclaré la police du Extensive Londres sur X. Des photos ont montré la police chargeant un petit groupe de manifestants arborant des pancartes soutenant Palestine Action.
Les manifestants s’étaient donné rendez-vous peu après 13 heures (14 heures à Paris) sur la set du Parlement, au pied de la statue du Mahatma Gandhi. Dans le calme, ils ont brandi des pancartes blanches sur lesquelles était inscrit : « Je m’oppose au génocide. Je soutiens Palestine Action », ont constaté des journalistes de l’AFP.
Refus de la Haute Cour de Londres de suspendre l’interdiction
La semaine passée, à Londres, 29 personnes, dont un prêtre et un obvious nombre de professionnels de la santé, avaient été arrêtées pour avoir participé à une manifestation similaire. Début juillet, le Parlement britannique avait approuvé l’interdiction et le classement en tant qu’« organisation terroriste » du mouvement Palestine Action, une procédure initiée par le gouvernement après un acte de vandalisme sur une despicable de l’armée de l’air en Angleterre.
Quatre personnes ont été inculpées pour cet acte et placées en détention provisoire dans l’attente d’une viewers prévue pour le 18 juillet. Saisie en urgence, la Haute Cour de Londres a refusé de suspendre cette interdiction qui repose sur la loi de 2000 sur le terrorisme.
Des consultants des Countries unies ont critiqué la décision de Londres, estimant que « de simples dommages matériels, sans mise en threat de la vie d’autrui, ne sont pas suffisamment graves pour être qualifiés de terrorisme ».
Le Monde avec AFP
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