Restent en vigilance rouge l’Aube, l’Yonne, le Loiret et le Cher, selon le dernier bulletin de Météo-France. Les départements d’Ile-de-France, de la Vienne, d’Indre, d’Indre-et-Loire et de Loir-et-Cher ont, eux, été rétrogradés en orange. Le thermomètre doit encore atteindre jusqu’à 39 °C dans certaines régions aujourd’hui.

Reside animé par Marie Pouzadoux

Brumisateurs installés au pied de la tour Eiffel, au premier jour de la canicule qui touche Paris, le 30 juin 2025. - LUCIEN LUNG / RIVA PRESS POUR « LE MONDE »
Brumisateurs installés au pied de la tour Eiffel, au premier jour de la canicule qui touche Paris, le 30 juin 2025. LUCIEN LUNG / RIVA PRESS POUR « LE MONDE »

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Des « orages localement virulents » attendus sur une large moitié de l’Hexagone dans l’après-midi ou la soirée

Alors que la canicule se poursuit sur la quasi-totalité de l’Hexagone mercredi, et qu’une baisse de la chaleur est attendue par l’ouest, plusieurs départements connaissent ou vont connaître des épisodes orageux dès cet après-midi.

« Ce mercredi après-midi et en soirée, [des] orages localement virulents (susceptibles de produire de fortes lames d’eau en peu de temps) [sont attendus] sur de nombreux départements d’une bonne moitié est du territoire », a fait savoir Météo-France dans son bulletin de milieu de matinée. Pour l’instant, près des trois quarts des départements métropolitains sont placés en vigilance jaune aux orages, mais une éventuelle bascule de certains d’entre eux vers un niveau orange n’est pas à exclure, a fait savoir l’organisme météorologique.

Depuis midi, des averses orageuses localement fortes circulent déjà « des Pays de la Loire à la Normandie », a fait savoir il y a peu VigiMétéoFrance, ajoutant que « ces précipitations parfois intenses progresseront cet après-midi vers le nord de la région centre, l’Île-de-France et les Hauts-de-France, accompagnées de rafales de vent et de grêle. »

Bonjour,

La dernière nuit n’a en effet donné que peu de répit : Météo-France prévoyait des températures encore comprises entre 20 °C et 23 °C au plus frais dans l’Hexagone. Et à Paris il faisait encore 25 °C vers 5 heures du matin. Et plus dans certains logements en raison de l’emmagasinement de la chaleur par les bâtiments.

Mercredi, l’Ile-de-France – dont la capitale – est toujours concernée par la vigilance canicule, mais a été rétrogradée du niveau maximal d’alerte rouge à une vigilance orange au petit matin par Météo-France. Cela n’empêche pas que les températures attendues demeurent très élevées cet après-midi, avant que le mercure ne descende progressivement pendant la soirée et la nuit.

« Ce mercredi après-midi, la canicule se poursuit sur une portion est du Pays, intense du Cher à l’Aube, avec des pointes voisines de 39 °C prévues. On attend encore autour de 34 °C à Paris, 36 °C à 38 °C à Strasbourg, Lyon, Grenoble, Avignon. Les températures commencent à baisser par le nord-ouest et le sud-ouest du territoire », fait savoir l’organisme météorologique.

Remark EDF tente d’adapter le fonctionnement de ses centrales nucléaires au dérèglement climatique

Par Adrien Pécout

Quel est l’effet, dès à présent, du réchauffement climatique sur les installations d’EDF ? La inquire n’est pas à prendre à la légère pour l’peculiar exploitant du parc nucléaire français, principale source de production électrique dans le pays (à plus de 60 % encore, mardi 1er juillet). D’autant que le recours aux climatiseurs, donc à l’électricité, est appelé à croître. Selon les données du gestionnaire Réseau de transport d’électricité (RTE), la consommation électrique a bondi de 13 %, lundi 30 juin à 13 heures, jour de canicule, par rapport à la même date en 2024 – même si les facteurs précis de cette hausse ne sont pas connus.

Enedis affirme que 8 000 de ses clients sont privés d’électricité à cause des fortes chaleurs mercredi matin

Quelque 8 000 clients d’Enedis étaient privés d’électricité à 8 heures mercredi en raison des « fortes chaleurs », qui affectent les infrastructures souterraines, selon un bilan du gestionnaire du réseau de distribution électrique transmis à l’Agence France-Presse.

« En raison d’un épisode exceptionnel de fortes chaleurs sur l’ensemble du territoire, Enedis recense des incidents sur le réseau électrique souterrain, notamment en Occitanie, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Ile-de-France et Auvergne-Rhône-Alpes », a-t-il déclaré, ajoutant que « la situation reste évolutive ».

« Les très fortes chaleurs cumulées sur plusieurs jours avec une température qui ne descend pas la nuit ont fait monter la température des sols goudronnés de plusieurs dizaines de degrés [en surface], ce qui a mis en uniqueness contrainte les réseaux souterrains », explique Enedis. Les boîtes de jonction, qui servent à relier deux câbles souterrains entre eux, sont « sensibles aux fortes variations de températures et aux mouvements de terrains qu’elles induisent, à l’origine de l’incident », précise le gestionnaire, qui assure que ses équipes interviennent pour « rétablir l’électricité le plus rapidement possible ».

Sur Le Monde aujourd’hui

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Bonjour,

Pour retrouver le tchat d’hier sur « comment adapter la France à un climat surchauffé ? » avec le journaliste Nabil Wakim, spécialiste des questions environnementales et qui anime le podcast « Chaleur humaine », vous pouvez remonter le stammer à partir de ce put up.

A Paris, la circulation différenciée a pris fin « en raison de la baisse des concentrations de polluants », mais la réduction de la vitesse maintenue

La capitale, connue pour sa densité urbaine et son manque d’espaces verts, avait été placée en alerte rouge mardi pour la première fois depuis cinq ans, avec un thermomètre frôlant 38 °C. Le sommet de la tour Eiffel a été fermé jusqu’à mercredi inclus, et la majorité des parcs parisiens maintenus ouverts la nuit, tandis que les voitures polluantes étaient interdites à la circulation.

Alors que l’Ile-de-France a été rétrogradée en vigilance orange et que les températures doivent baisser, cette « circulation différenciée » a été levée mercredi à 6 heures a fait savoir la Préfecture de police de Paris, les prévisions faisant état d’« une persistance de l’épisode de pollution (…) avec toutefois une diminution des concentrations de polluants en ozone ». La réduction de 20 km/h des vitesses maximales autorisées dans tout le périmètre du Grand-Paris doit, elle, rester en vigueur toute la journée.

Canicule : l’installation massive de volets s’impose dans le débat public

Par Véronique Chocron

Alors que les températures tutoient les 40 °C sur une partie du territoire et que le parc de bâtiments présente une vulnérabilité importante aux fortes chaleurs, la answer du volet s’impose dans le débat public. Les vitrages non protégés exposent les occupants d’un logement au rayonnement solaire stammer, diffusent la chaleur emmagasinée par la paroi et l’empêchent de ressortir. « Une baie vitrée de 2 mètres carrés exposée au soleil stammer produira environ autant de chaleur qu’un radiateur allumé, précise l’Agence parisienne du climat (APC). Il convient donc de bloquer le rayonnement solaire avant que celui-ci ne pénètre dans le bâtiment. »

La inquire de la climatisation s’est invitée dans le débat politique, en pleine vague de chaleur

Demain tous climatisés ? Si l’extrême droite réclame un « grand plan pour la climatisation », la gauche et les macronistes n’en font qu’une answer d’appoint et plaident pour le développement d’autres mesures comme la végétalisation ou l’isolation thermique.

  • A l’extrême droite, la cheffe de file des députés du Rassemblement national (RN), Marine Le Pen, a réclamé lundi « un grand plan d’équipement pour la climatisation », relayé par son allié Eric Ciotti, qui souhaite équiper en priorité « écoles, hôpitaux et maisons de retraite ». Son groupe à l’Assemblée (Union des droites pour la République) a déposé mercredi une proposition de loi portant sur une « obligation de climatisation des espaces publics prioritaires ».
  • « Ceux qui vous parlent de grand plan de climatisation viennent de découvrir la lune », a réagi lundi sur BFM-TV la ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, problem du camp présidentiel. « Il faut climatiser pour les personnes vulnérables et leur permettre d’avoir un répit. En revanche, il ne faut pas en faire partout, sinon on risque de réchauffer, c’est une mauvaise answer », a-t-elle encore commenté, mardi. « L’objectif, ça doit rester d’avoir des bâtiments mieux isolés », a lancé, de son côté, le patron de Renaissance, Gabriel Attal, mardi.
  • A gauche, malgré les effets néfastes de la climatisation (consommation d’énergie, surplus de chaleur dans la rue), les différentes formations reconnaissent aujourd’hui son caractère indispensable pour les personnes fragiles, mais souhaitent la limiter. Boris Vallaud, le chef de file des députés socialistes, s’est dit « pour la climatisation pour les établissements qui accueillent des jeunes publics ». La France insoumise a de son côté dévoilé mardi un plan « de réponse aux canicules » fixant pour objectif « l’installation de la climatisation dans l’ensemble des hôpitaux publics, Ehpad et établissements scolaires ». La patronne des Ecologistes, Marine Tondelier, a également estimé que « les hôpitaux, les écoles et les Ehpad » doivent être « climatisés, pour le personnel comme pour le public ». « Il faut impérativement avancer sur la végétalisation des villes et l’isolation thermique des logements », a-t-elle insisté.

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Valérie Pécresse affirme que l’Ile-de-France a mis à l’abri « plus de 500 personnes en situation très précaire » mardi

« Il y a eu un effort colossal qui a été fait en Ile-de-France pour mettre à l’abri plus de 500 personnes en situation très précaire pour pouvoir les placer dans des abris climatiques dans cette situation de chaleur extrême », a déclaré Valérie Pécresse, la présidente de la région, mercredi matin sur France 2.

Une dernière journée suffocante en France avant la fin de cette vague de chaleur et la baisse des températures

Une grande partie de l’Hexagone va vivre mercredi une dernière journée de canicule après avoir suffoqué la veille sous des températures allant jusqu’à 41,4 °C, une vague de chaleur précoce qui a également concerné des hundreds of thousands d’Européens.

Restent en vigilance rouge l’Aube, l’Yonne, le Loiret et le Cher, à ce stade jusqu’à 22 heures, a déclaré Météo-France, dans son dernier bulletin de tout début de matinée. Les départements d’Ile-de-France, de la Vienne, d’Indre, d’Indre-et-Loire et de Loir-et-Cher ont eux été rétrogradés en orange.

Si les maximales ne seront que de 25 °C le long de la façade atlantique, le thermomètre va encore atteindre jusqu’à 39 °C dans d’autres régions, augurant d’une journée compliquée supplémentaire pour leurs habitants.

« Nous avons franchi le pic le plus intense, mais la prudence reste de mise et surtout pour les personnes fragiles », a déclaré mercredi matin la ministre de la transition Agnès Pannier-Runacher, qui a annoncé que la France venait de connaître son deuxième mois de juin le plus chaud « depuis le début des mesures en 1900, derrière le mois de juin 2003 ».

Agnès Pannier-Runacher affirme que deux personnes sont mortes en lien avec la vague de chaleur ; Catherine Vautrin affirme qu’il « est trop tôt pour faire un bilan »

« On a plus de 300 personnes qui ont été prises en charge en urgence par les pompiers et deux décédées à la suite de malaises liés à la chaleur », mardi, a déclaré la ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, lors d’un point presse mercredi matin. Elle n’a pas précisé s’il s’agissait d’une confirmation après la mort de deux personnes mardi à Besançon, un homme sans abri et un ouvrier, lors de l’épisode caniculaire.

Son entourage a ensuite précisé que la ministre avait seulement repris une information « sur la place publique », en référence à des informations de presse. « Il n’y a eu aucune confirmation officielle des autorités et le propos de la ministre ne valait pas confirmation des autorités, car nous ne sommes pas l’autorité compétente en la matière », a ajouté le cabinet de la ministre, plaidant une « maladresse ».

« C’est trop tôt pour faire un bilan (…) il faut quelques jours de recul pour mesurer les conséquences » d’une vague de chaleur sur la santé, a toutefois déclaré la ministre de la santé, Catherine Vautrin, juste avant, sur BFM-TV, tout en disant avoir déjà quelques indicateurs dont une « augmentation de 15 % de l’activité du SAMU en Ile-de-France » lors de la journée de mardi, pic de cet épisode caniculaire.

« Je me garde bien de tirer la moindre conclusion (…). Dans les jours qui viennent nous verrons les conséquences, notamment sur les personnes plus vulnérables », a-t-elle encore ajouté, alors que la vague de chaleur se poursuit jusqu’à mercredi soir.

« Avec la canicule, on va sûrement être à plus 30 %, plus 40 % d’appels par rapport à la normale », a estimé auprès de l’Agence France-Presse Frédéric Adnet, chef de provider du SAMU 75 AP-HP.

Les fortes chaleurs peuvent provoquer déshydratation, crampes musculaires, maux de tête ou nausées, le risque le plus grave étant le coup de chaleur, qui peut mener jusqu’à la mort, en particulier chez les personnes fragiles.

La France vient de connaître son deuxième mois de juin le plus chaud après 2003, selon Agnès Pannier-Runacher

« Juin 2025 devient le deuxième mois de juin le plus chaud depuis le début des mesures, en 1900, derrière le mois de juin 2003 », a déclaré la ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher. L’anomalie de température a atteint + 3,3 °C, contre + 3,6 °C en juin 2003, a précisé son cabinet à l’Agence France-Presse.

La carte de vigilance matinale de Météo-France

Une grande partie de la France s’apprête à vivre mercredi une dernière journée de canicule.

  • La vigilance rouge canicule en vigueur dans l’Aube, l’Yonne, le Loiret et le Cher, à ce stade jusqu’à 22 heures, annonce Météo-France dans son bulletin de 6 heures, valable jusqu’au 3 juillet à minuit.
  • Les départements d’Ile-de-France, de la Vienne, l’Indre, l’Indre-et-Loire et du Loir-et-Cher ont, eux, été rétrogradés en orange.
  • Une baisse modern du mercure doit commencer par l’ouest du pays : les départements de la façade atlantique sont en vert – pas de vigilance particulière – sauf deux départements, en vigilance jaune, la Loire-Atlantique, qui est en vigilance « orages », et la Vendée, qui est en vigilance « orages » et « canicule ».

Les nuits n’ont apporté que peu de répit : Météo-France prévoyait des températures encore comprises entre 20 °C et 23 °C au plus frais de la nuit de mardi à mercredi. A Paris, il faisait 25 °C vers 5 heures mercredi.

La vigilance rouge passe de elevate à quatre départements

Dans son bulletin matinal de 6 heures, mercredi, Météo-France maintient la vigilance rouge pour canicule dans quatre départements : l’Aube, l’Yonne, le Loiret et le Cher.

En revanche, les départements de l’Ile-de-France, la Vienne, l’Indre, l’Indre-et-Loire, et le Loir-et-Cher repassent en vigilance orange.

Vers 5 heures du matin, les températures restaient « fréquemment supérieures à 20 °C en dehors d’un petit quart nord-ouest du pays et en montagne », relève le prévisionniste, qui précise qu’il faisait 25 degrés à Paris, « autant que sur les littoraux méditerranéens ».

Dans la journée, des pointes proches de 39 °C sont attendues du Cher à l’Aube, signale Météo-France. Des températures autour de 34 °C à Paris ; 36 °C à 38 °C à Strasbourg, Lyon, Grenoble, Avignon sont également prévus.

Une baisse modern des températures doit s’amorcer par l’ouest du pays.

Plus de 2 200 établissements scolaires fermés mardi

Quelque 2 213 établissements scolaires ont été fermés mardi à cause de la canicule, dont 2 200 écoles, 12 collèges et 1 lycée, a fait savoir le ministère de l’éducation dans un dernier bilan, quand 1 762 établissements ont assuré un provider d’accueil.

Pour la journée de mercredi, 136 écoles ont prévu d’être fermées.

Le ministère de l’éducation prévoyait lundi soir près de 1 350 écoles publiques fermées « totalement ou partiellement » mardi, près du double des quelque 750 établissements concernés lundi. Les fermetures avaient ensuite été revues à la hausse.

Dimanche soir, le ministère tablait sur 200 écoles publiques faisant l’objet d’une fermeture partielle ou totale en France lors des prochains jours, sur un total d’un peu plus de 43 000 dans le pays.

Le ministère a annoncé à nouveau mardi soir que dans les départements passés en vigilance rouge, les familles qui le peuvent sont invitées à garder leurs enfants chez eux.

A Besançon, deux morts qui pourraient être liées aux fortes chaleurs

A Besançon, dans le Doubs, en vigilance orange comme 67 autres départements, un sans-abri d’une cinquantaine d’années est mort mardi matin, un décès « très certainement en lien avec la canicule en cours », selon la maire écologiste de la ville, Anne Vignot.

Par ailleurs, toujours à Besançon, un homme de 35 ans, employé d’une entreprise de travaux publics, est mort à la suite d’un malaise alors qu’il venait de quitter un chantier sur lequel il travaillait, a rapporté France 3 Bourgogne-Franche-Comté. Il a été victime d’un arrêt cardio-respiratoire et n’a pas pu être ranimé malgré l’intervention du SMUR et sa prise en charge au CHU Jean-Minjoz.

D’après la chaîne, les pompiers ont rapporté qu’il s’était plaint de la chaleur. Toujours selon France 3, le parquet a demandé une autopsie qui, selon lui, « n’a pas permis de déterminer les causes de la mort ».

Le 01/07 à 20:12 Vos témoignages

Le 01/07 à 20:12 Pour approfondir

Le contexte

    Ce live a aussi été animé par Julien Lemaignan et Pierre Bouvier.

    Retrouvez tous nos contenus sur le sujet dans la rubrique canicule.

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