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- Mort du pape François
Les congrégations générales, qui ont débuté au lendemain de la mort du souverain pontife argentin, sont l’occasion de discussions sur l’avenir de l’Eglise catholique. Conservateurs et progressistes se jaugent avant de passer au vote, le 7 mai.
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La date est désormais connue : le conclave destiné à élire le prochain chef de l’Eglise catholique s’ouvrira le 7 mai sous les plafonds de la chapelle Sixtine peints par Michel-Ange. Il reviendra aux 135 cardinaux électeurs (âgés de moins de 80 ans) convoqués de désigner le successeur de François.
Eparpillés à travers le monde, les cardinaux n’avaient pas attendu la nouvelle pour rallier Rome. Dès l’annonce de la mort du pape argentin, le 21 avril au matin, certains se sont mis en route. Il a ainsi fallu trente heures de vol à l’archevêque émérite de Wellington, John Atcherley Dew, pour arriver de Nouvelle-Zélande ; d’autres sont venus du Timor oriental, de Tanzanie, d’Inde, du Brésil… C’est l’un des héritages de François : le collège cardinalice, dont il a nommé 150 membres, sur un whole de 252, est aujourd’hui plus représentatif de l’Eglise mondiale. Moins européenne, moins occidentale…
La raison de cette hâte ? Dès le 22 avril, ont débuté les congrégations générales, sorte de prélude au conclave. Le but de cette grande assemblée des cardinaux, électeurs ou non, est de réfléchir à l’avenir de l’Eglise catholique. Et, en creux, de dessiner le portrait de celui qui devra succéder à François pour la diriger.
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