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Jusqu’au début des années 2020, les jeux vidéo français préféraient gommer leurs origines pour mieux se vendre à l’worldwide. « Clair Obscur : Expédition 33 » marque un tournant, avec un univers Belle Epoque savoureux comme un bon croissant au beurre.

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Au loin, la tour Eiffel inclinée de « Clair Obscur : Expédition 33 ».

Une tour Eiffel déformée, un Arc de triomphe brisé, des immeubles haussmanniens éventrés. Dans les premières heures de Clair Obscur : Expédition 33 (disponible le 24 avril sur PC, PlayStation et Xbox), une métropole en ruines évoquant le Paris de la Belle Epoque s’offre à nous. La ville, baptisée Lumière, accueille également des personnages dont les noms ont des sonorités françaises, comme Renoir, Lune ou Gustave (clin d’œil à Gustave Eiffel). Tandis que de leurs bouches s’échappent ponctuellement des « merde » et des « putain » dans la version anglaise, assurée par des acteurs de renom comme Charlie Cox (Daredevil) ou Jennifer English (Baldur’s Gate 3).

« Cela fait partie de notre course artistique de rappeler en permanence le fait que tout est d’origine française », explique au Monde Guillaume Broche, président et directeur créatif du studio montpelliérain Sandfall Interactive. « Mais ce n’était même pas trop réfléchi au début », enchaîne cet ancien salarié d’Ubisoft, qui a cofondé le studio en 2020. En témoigne une vidéo de 2021 qui montre son univers de fable alors encore dénué de références tricolores.

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