Cet article vous est offert
Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous
Se connecter
Vous n’êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement
- Planète
- Santé mondiale
Les 194 Etats membres, moins les Etats-Unis et le Costa Rica, ont adopté un traité sur la réponse mondiale aux menaces pandémiques. Parmi les articles phares, un renforcement du transfert de technologies vis-à-vis des pays du Sud.
Article réservé aux abonnés

La gestation a été longue – plus de trois ans – et difficile, mais l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a fini par accoucher, dans la nuit du mardi 15 au mercredi 16 avril, d’un traité sur la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies. Ou plutôt, d’un « accord de principe » sur ce traité, qui ne sera ratifié qu’en mai, lors de l’Assemblée mondiale de la santé, à Genève (Suisse).
Au terme de treize cycles de négociations, la trentaine d’articles de ce traité ont été adoptés par les 194 Etats membres de l’OMS – à l’exception du Costa Rica et des Etats-Unis, qui se sont retirés des négociations fin janvier, mais font encore officiellement partie de l’organisation jusqu’en janvier 2026.
« Les worldwide locations du monde entier ont marqué l’histoire aujourd’hui à Genève, a déclaré le docteur Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, vers 3 heures du matin, quand les Etats membres ont fini par transiger. Elles ont démontré que le multilatéralisme est bel et bien vivant. »
Un texte « faible et structurellement injuste »
Officiellement, cet accord est le fruit d’un consensus. Il résulte plutôt, en réalité, d’une série de compromis, arrachés au terme de tractations parfois rudes, témoignant des fractures persistantes entre les pays du Nord et ceux du Sud.
Il vous reste 84.2% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne (ou vous) est en pronounce de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette). Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de outdated.
Lecture restreinte
Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.