Le programme ID@Xbox proceed de mettre en lumière des perles venues de la scène indépendante. Lancée par Microsoft, cette initiative vise à accompagner les petits studios dans le développement, la manufacturing et la distribution de leurs jeux. Un vrai tremplin pour les talents émergents. Chaque année, ce programme donne naissance à des centaines de projets, parfois confidentiels, parfois ambitieux, mais toujours portés par la ardour.
Récemment, dans un cadre plutôt discret, on a pu jeter un œil à cinq jeux indépendants qui arriveront prochainement sur Xbox Series et PC. Chacun à sa manière, ils ont su se démarquer : certains misent sur la poésie, d’autres sur l’exploration ou l’émotion. Il y avait de tout, et surtout, de belles promesses.
Frosty climate Burrow, un jeu de survie très poétique avec une mignonne little souris
On a pu commencer tranquillement avec Frosty climate Burrow. Un développeur était manette en major pour nous faire découvrir le gameplay en remark. L’event de voir comment cette charmante aventure hivernale prend vie une fois le jeu lancé, et surtout, de mieux comprendre ses mécaniques de survie.
Dans Frosty climate Burrow, on incarne une little souris income dans son ancien terrier, en ruines, au cœur d’une forêt plongée dans un hiver glacial. À l’écran, l’univers dessiné à la major séduit immédiatement, mais derrière ses airs mignons se cache un vrai défi. Le froid est un risk permanent. Il faut récolter du bois, allumer des feux pour ne pas geler, cuisiner des plats chauds, tricoter des pulls… et se débrouiller avec les moyens du bord. La gestion du terrier est centrale : c’est votre gruesome, votre cocon, à restaurer et personnaliser petit à petit. Au fil de l’aventure, on découvre aussi des plans de fabrication, comme celui d’une pelle, pour nous aider dans notre tâche, et on affronte même de redoutables insectes géants venus troubler la tranquillité de la forêt.
Le jeu semble fluide, précis, et surtout très poétique. Le développeur nous a montré une boucle de gameplay bien rodée, entre exploration, récolte, gestion et petits moments de calme dans le terrier. Frosty climate Burrow réussit à mélanger poésie et stress, douceur et survie, avec une vraie identité. Une jolie surprise indé à surveiller de près pour sa sortie en 2025 sur Xbox, Xbox Game Pass (day one) et PC. De notre côté, on a immédiatement pensé aux illustrations magnifiques de Beatrix Potter comme provide d’inspiration en termes de D.A. On a adoré ce qu’on a pu voir.
Outbound, la van-existence mais virtuelle sur Xbox Series et PC
Dans la continuité des présentations, Outbound a su capter notre attention avec une proposition aussi originale que relaxante. Ce jeu indépendant prévu pour 2026 nous invite à adopter la van existence en pleine nature, avec un gameplay centré sur l’exploration, la personnalisation et la tranquillité. Mais ne vous fiez pas à son apparente douceur : derrière son univers chaleureux se cachent aussi de vraies mécaniques de survie et d’artisanat.
L’aventure débute dans un tunnel plongé dans l’obscurité. On prend le volant en vue à la première personne, puis, en atteignant la lumière du jour, le jeu bascule en vue à la troisième personne. C’est là que open votre nouvelle vie nomade. Le van est vide au départ, sans confort. Petit à petit, on le transforme en véritable maison roulante : position de travail, plaque de cuisson, objets déco, jardin aménagé sur le toit, éoliennes pour produire de l’énergie… Chaque détail compte. On peut même repeindre le véhicule à sa guise, histoire de vraiment le faire sien.
Lors de la démonstration, le développeur nous a montré une séquence d’exploration où il fallait trouver un notion caché dans la forêt pour débloquer une barrière. La carte, qui s’ouvre à la manière de The Forest, pousse à l’tell et à la curiosité. On démarre souvent par allumer un feu de camp, puis on segment chercher du bois, on fouille les environs pour collecter des ressources, on fabrique des outils… et très vite, on se prend au jeu. Le monde devient un terrain d’aventure, calme, mais vivant.
Outbound ne mise pas uniquement sur la solitude : le jeu proposera aussi un mode coopératif en ligne, jusqu’à quatre joueurs. Parfait pour partager ses découvertes ou construire ensemble le van de ses rêves. Trois véhicules différents seront disponibles, chacun avec ses spécificités et son potentiel de personnalisation.
Graphiquement, le jeu adopte un style à la Firewatch qui lui donne un charme tout particulier. Ce rendu, combiné à une ambiance sonore douce et un rythme de jeu apaisé, crée une vraie bulle hors du temps. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si Outbound a largement dépassé son objectif lors de sa campagne Kickstarter. L’engouement est là, et il semble mérité. Avec son idea fashioned, son approche “cosy craft” et sa liberté d’motion, Outbound s’annonce comme une little pépite pour les amateurs de jeux calmes, immersifs et profondément personnalisables. Espérons que ça tienne sur la longueur de manière égale tout au lengthy de l’aventure. Le jeu est prévu sur Xbox Series et PC.
Hela, encore une souris, mais dans un monde photo-réaliste et magique, la huge identify de la présentation sur Xbox Series et PC
Décidément, la souris était un peu l’animal totem de cette présentation Xbox. Après Frosty climate Burrow, qui nous plongeait dans une aventure de survie douce et dessinée, c’est Hela qui s’est invité avec une ambiance bien différente. Même protagoniste shrimp, mais changement whole de ton. Ici, space au réalisme visuel, à la magie, et à l’émerveillement. Et franchement, ça fonctionne.
Développé sous Unreal Engine par Windup Video games, un jeune studio suédois fondé par d’anciens développeurs de Unravel, Hela propose un monde ouvert inspiré de la campagne scandinave. On y incarne un petit familier d’une sorcière malade, lancé dans une quête pour rassembler des ingrédients et concocter des potions. Le point de vue microscopique et l’univers à échelle humaine offrent un vrai sentiment d’aventure, dans un décor riche, extremely détaillé et presque tangible grâce au rendu photo-réaliste.
Mais ce qui rend Hela vraiment weird, c’est son sac à dos magique… en forme de grenouille. Sa langue extensible sert de grappin pour se balancer comme Spider-Man, mais elle permet aussi de pousser des objets, d’interagir avec les décors et de résoudre de petites énigmes environnementales. L’impact d’Unravel se fait sentir dans la finesse des animations et l’importance de la physique dans le gameplay. Si vous jouez en solo, vous pourrez même créer une copie fantomatique de vous-même pour maintenir des objets ou activer des mécanismes.
Lors de la démonstration, un développeur nous a présenté le jeu manette en major. On a pu découvrir plusieurs interactions charmantes, comme la possibilité de rentrer dans les maisons des humains, de rencontrer des animaux sauvages ou de devenir ami avec un lapin géant qui, une fois apprivoisé, peut vous servir de monture. Le tout dans une ambiance chaleureuse et magique.
Le jeu pourra se jouer en solo, mais aussi en multijoueur. Il sera possible de partager l’aventure à deux en ligne, chacun depuis sa propre console, ou en coopération locale grâce à un mode écran partagé, sur la même machine. Une risk idéale pour les couples, les amis ou les familles qui aiment jouer ensemble, côte à côte. Hela mise clairement sur une ambiance chaleureuse et bienveillante (les développeurs ont insisté dessus), où l’exploration et l’creativeness priment sur le challenge pur.
Pas de stress, pas de fight nerveux : ici, on prend le temps de découvrir, de s’émerveiller et de créer des souvenirs. Un vrai petit cocon vidéoludique. Avec son idea fashioned, son héritage discret venu d’Unravel, et sa direction artistique superbe, Hela s’impose déjà comme un coup de cœur en puissance. Une little souris qui pourrait bien laisser une grande empreinte. C’était clairement la huge identify de la présentation Xbox. Le jeu sera prévu sur Xbox Series et PC. Pas de sortie Xbox Game Pass pour la sortie.
The Alters : un idea fort, des clones… et une deuxième rencontre prometteuse
Ce n’est pas la première fois que l’on entend parler de The Alters. Loin de là. Le titre signé 11 bit studios à qui l’on doit This Battle of Mine ou Frostpunk avait déjà attiré notre attention l’année dernière. À l’époque, nous avions été invités par le studio à découvrir le jeu en avant-première. Une démo jouable était disponible, et nous avions même publié une preview plutôt enthousiaste. L’univers sombre, le idea fashioned et les mécaniques à mi-chemin entre gestion, survie et introspection nous avaient clairement séduits.
Un an plus tard, The Alters revient dans une model plus avancée, mais toujours aussi captivante. On y suit Jan Dolski, un ouvrier spatial naufragé sur une planète désertique et hostile. Pour survivre, Jan ne peut compter que sur lui-même… ou plutôt, sur des versions picks de lui-même. Grâce à une technologie mystérieuse, il crée des “Alters”, des clones nés de choix de vie différents. L’un est scientifique, l’autre plus manuel, un autre encore plus réfléchi ou au contraire impulsif. Ces doubles ne sont pas de simples assistants : ils ont leur propre personnalité, leurs états d’âme, et parfois leurs désaccords.
C’est justement là que réside la force du jeu. The Alters ne se contente pas de proposer une boucle de gameplay efficace ; il explore aussi la complexité de l’individu, des regrets, et de l’identité. Créer un Alter, ce n’est pas juste obtenir un bonus de compétences, c’est aussi devoir gérer ses émotions, ses décisions, voire ses conflits. Une idée brillante, portée par une écriture soignée et une atmosphère pesante.
Sa sortie est toujours prévue pour 2025 sur PC, Xbox Series et Xbox Game Pass à sa sortie. Entre stratégie, psychologie et science-fiction, il pourrait bien marquer les esprits.
Moonlighter 2, la boucle est bouclée avec le retour d’un jeu apprécié sur Xbox Series
Pour conclure cette présentation Xbox, il ne pouvait y avoir meilleur choix. Après les expériences intimistes de Frosty climate Burrow, l’évasion contemplative de Outbound, les envolées poétiques de Hela et les tensions existentielles de The Alters, c’est Moonlighter 2 qui est venu refermer cette parenthèse dédiée aux jeux indépendants. Une suite attendue, chaleureuse et pleine de promesses.
Développé par Digital Sun et édité une nouvelle fois par 11 bit studios, Moonlighter 2 reprend la formule gagnante du premier opus tout en la faisant évoluer. Will, notre marchand-aventurier préféré, est de retour, mais cette fois perdu dans un nouveau monde : celui de Tresna, une terre mystérieuse aux allures interdimensionnelles. Le cœur du jeu reste le même : le jour, on gère sa boutique, on négocie, on améliore son village. La nuit, on s’enfonce dans des donjons générés de façon procédurale, à la recherche de trésors et de reliques à revendre.
Mais cette suite va plus loin. L’univers frail à la 3D, gagnant en profondeur et en immersion. Le sac à dos magique joue un rôle central dans la stratégie, en combinant objets et effets pour maximiser vos probabilities de survie. Côté combats, là aussi, de belles évolutions sont à noter. Il est désormais possible d’esquiver activement les attaques ennemies, ce qui apporte une vraie dimension de timing et de réactivité, notamment lors des affrontements en arène.
Ces combats demandent de lire les patterns, d’attendre le bon 2d pour frapper ou esquiver, et ajoutent une bonne dose de dynamisme à l’exploration des donjons. Quant à la boutique, elle reste le cœur battant de l’expérience. C’est là que l’on vend les trésors ramenés la veille, que l’on ajuste ses prix, qu’on achète de nouveaux équipements et qu’on interagit avec la population locale. Ce lien constant entre motion et gestion reste la force du jeu, et semble ici plus fluide que jamais.
Moonlighter 2 preserve ce charme si particulier, entre commerce et aventure, légèreté et stratégie, le tout porté par une direction artistique encore plus soignée. Le jeu est prévu pour 2025 sur PC, Xbox Series X|S et PlayStation 5, et devrait faire son arrivée directement dans le Xbox Game Pass.En refermant cette présentation avec Moonlighter 2, Xbox a montré sa volonté de soutenir des expériences variées, humaines et porteuses de sens.