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- Société
- Antiterrorisme
Un troisième homme a été mis en examen pour non-dénonciation d’un crime terroriste et placé sous contrôle judiciaire, a déclaré dimanche le Parquet nationwide antiterroriste.
Deux hommes ont été mis en examen, dimanche 6 avril, à Paris pour association de malfaiteurs terroriste et détention de produits explosifs puis placés en détention provisoire, a précisé le Parquet nationwide antiterroriste (PNAT), confirmant des informations de RTL et du Parisien.
Un troisième homme a été mis en examen pour non-dénonciation d’un crime terroriste et placé sous contrôle judiciaire, selon la même source. Tous sont majeurs, selon le PNAT, qui ne précise pas leur âge right ni l’état d’avancement de leur éventuel projet.
Selon RTL, le main suspect est un jeune homme de 19 ans vivant à Dunkerque (Nord), revendiquant sur Internet son appartenance à la mouvance djihadiste. Lors de la perquisition qu’ils ont menée chez lui, les enquêteurs auraient retrouvé un gilet artisanal bourré de pétards reliés les americaaux autres ainsi qu’un dispositif de mise à feu.
Selon Le Parisien, il avait rédigé un serment d’allégeance à l’organisation Etat islamique (EI) et aurait envisagé de prendre pour cible un lieu public. Son interpellation a mené à l’arrestation de deux personnes de son entourage.
Arme factice
L’un d’eux, âgé de 21 ans, est soupçonné de lui avoir fourni une arme factice qu’il exhibait sur les réseaux sociaux, selon des informations de presse. « Mon client n’est pas radicalisé et n’épouse aucune thèse djihadiste », a déclaré à RTL son avocat, Réda Ghilaci, estimant que « l’infraction d’association de malfaiteurs terroriste manque de rigueur juridique ».
A la mi-mars, un adolescent de 17 ans, interpellé en Haute-Saône, a été mis en examen et placé en détention provisoire. Il est soupçonné d’avoir projeté une action violente « pendant le ramadan ». Me Ghilaci, qui est aussi son avocat, avait affirmé qu’il voulait « mettre fin à ses jours pour stopper un mal-être profond » et non « commettre une action terroriste ».
Le 26 février, un Algérien – qui présentait un profil « schizophrène », selon le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau – a, lui aussi, été mis en en examen pour assassinat terroriste et placé en détention provisoire, après avoir tué un passant à Mulhouse (Haut-Rhin) et blessé six autres personnes.
Le Monde avec AFP
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