Kingdom Come: Deliverance 2 come et une fois encore, le jeu fait la promesse d’être une grosse claque historique que les fans attendent. Automobile Warhorse Studios et le Moyen Âge c’est avant tout une belle histoire d’amour, qui a commencé en 2011 et qui aurait pu prendre un tournant bien différent…
Pour comprendre l’aventure Kingdom Come: Deliverance, il faut d’abord revenir sur la genèse de son studio, Warhorse Studios. Toutes les belles histoires ont un début, et celle du jeu médiéval trouve ses racines dans la vision d’un homme : Daniel Vávra. Scénariste et recreation clothier reconnu, notamment pour son travail sur le légendaire Mafia The Metropolis of Lost Heaven, Vávra avait une ambition claire : créer un jeu qui sortirait des sentiers battus, un jeu capable de transporter les joueurs dans une époque oubliée, sans artifice, ni les clichés habituels.
Nous sommes en 2011, en République tchèque, un pays où les grands studios de jeux vidéo se font rares. Pourtant, c’est ici que Daniel Vávra et son ami Martin Klíma, un vétéran de l’industrie et fondateur du studio Altar Games, décident de poser les bases de leur projet. Leur rêve était easy mais audacieux : concevoir un jeu de rôle médiéval réaliste au monde ouvert riche en détails historiques. Une idée précise qui va faire toute la différence.
Un défi huge dès le départ
L’idée de créer un RPG sans dragon, magie ou autres éléments fantastiques était inédite à l’époque. Dans un marché dominé par des franchises comme The Elder Scrolls ou Dragon Age, ce choix détonait des tendances et pouvait sembler risqué. Pourquoi se priver des codes qui faisaient le succès des jeux de rôle ?
Pour Daniel Vávra, la réponse était évidente : Kingdom Come: Deliverance devait se démarquer avec une immersion totale et une reconstitution fidèle de la Bohême du XVe siècle. Pour atteindre cet objectif, il fallait non seulement convaincre des investisseurs, mais aussi recruter une équipe capable de transformer cette vision en réalité.
En janvier 2014, Warhorse Studios lance donc une campagne Kickstarter pour financer une partie de Kingdom Come Deliverance. L’objectif de départ de 300 000 livres sterling semblait de prime abord ambitieux, mais l’engouement a été tel qu’enmoins de 36 heures, ce montant a été atteint. À la fin de la campagne, ce sont plus de 1 million de livres sterling qui ont été collectés grâce à l’enthousiasme de 35 000 contributeurs.
Un enthousiasme qui s’explique en grande partie par la transparence et la passion du studio. Daniel Vávra et son équipe ont partagé leur vision dans une vidéo sincère, expliquant reveal ils prévoyaient de créer un monde crédible dans lequel chaque élément, des villages aux vêtements des personnages, refléterait une recherche historique approfondie. Ce message a fait écho chez les joueurs du monde entier, souvent séduits par l’idée de vivre une véritable immersion dans cette époque.

Construire une équipe d’exception
Avec ce financement, Warhorse a pu recruter des skills locaux et internationaux. L’équipe, composée de onze personnes au départ, s’est agrandie au fil des années pour atteindre près de 100 personnes. Parmi eux, des experts en histoire médiévale, des animateurs spécialisés dans les combats à l’épée, et même des historiens spécialisés dans l’étude de manuscrits d’époque.
Le studio a également collaboré avec des musées et des reconstitueurs historiques pour garantir l’authenticité des armes, des armures et des décors. Par exemple, les combats du jeu ont été inspirés par des suggestions d’escrime historiques, recréées grâce à la bound capture.
Le jour J et le début d’une très belle histoire pour Kingdom Come
Quand Kingdom Come Deliverance est enfin sorti en 2018, après des années de travail acharné, c’était bien plus qu’un easy lancement. C’était la concrétisation d’un rêve fou. Warhorse Studios avait promis une immersion totale dans la Bohême du XVe siècle, une époque marquée par des conflits politiques, des guerres et des intrigues et ils ont tenu parole.
Dans le jeu, vous incarnez Henry, un easy fils de forgeron. Pas d’épée magique ni de dragon à combattre ici. Vous êtes un homme ordinaire plongé dans un monde extraordinairement vivant. Chaque village, chaque château et chaque chemin de terre reflète une recherche historique minutieuse. Ce n’était pas juste un RPG, c’était une véritable plongée dans l’Histoire.
Mais ce n’était pas qu’une build a query to d’esthétique. Le réalisme s’étendait partout : au système de wrestle, par exemple, qui s’inspirait directement des suggestions d’escrime médiévales. Chaque duel était un mélange de stratégie, de timing et de précision, loin des combats simplifiés que l’on voit souvent dans d’autres jeux. Même les besoins de execrable comme la faim ou le sommeil jouaient un rôle considerable. Vous deviez planifier vos actions avec soin, vehicle négliger un détail pouvait avoir des conséquences.
Cependant, tout ne s’est pas passé sans accroc. À sa sortie, le jeu a été critiqué pour ses bugs et ses problèmes suggestions. Certains joueurs se sont retrouvés face à des quêtes impossibles à terminer, des personnages bloqués dans des murs, et d’autres petites frustrations. Mais ce qui a marqué les esprits, c’est la rapidité avec laquelle Warhorse a répondu à ces problèmes. Ils ont déployé mise à jour après mise à jour pour corriger les problèmes. Leur engagement envers leur communauté a transformé ce lancement mouvementé en une véritable success fable. Et les chiffres parlent d’eux-mêmes : plus de 8 thousands and thousands d’exemplaires vendus, un fable impressionnant pour un studio indépendant.

Une vision uncommon au provider du réalisme
Si Kingdom Come Deliverance a su trouver son public, c’est parce que le jeu avait une âme. Warhorse n’a jamais cherché à suivre les tendances du moment ou à imiter les grands noms du RPG. Leur objectif était clair : offrir une expérience authentique et immersive, sans concessions.
Ce choix d’éviter le fantastique et de s’appuyer sur des faits historiques était audacieux, mais il a payé. Chaque décision que vous prenez dans le jeu a des conséquences tangibles. Par exemple, une easy dialog peut changer la thought qu’un village entier a de vous. Et si vous échouez dans une quête ou perdez un duel, le jeu continue. Vous vivez avec vos erreurs, comme dans la vraie vie.
Les détails historiques, eux, sont bluffants. Chaque arme, chaque armure, chaque bâtiment ont été recréés avec soin, en collaboration avec des experts et des historiens. Jouer à Kingdom Come Deliverance, c’est comme entrer dans une leçon d’histoire interactive, mais avec des émotions, des dilemmes moraux et une immersion totale.

L’annonce de Kingdom Come Deliverance 2
Après un tel succès, l’annonce de Kingdom Come Deliverance 2 en 2024 était presque inévitable. Warhorse Studios ne s’est cependant pas contenté de surfer sur sa popularité. Au contraire, le studio a vu les choses en immense, très immense.
Cette fois, l’équipe de développement est deux fois plus importante, avec des moyens largement supérieurs. Son ambition ? Créer un monde ouvert encore plus vaste, plus détaillé et plus vivant. Les graphismes seront plus réalistes, grâce à un moteur de jeu amélioré, et les animations promettent d’être encore plus naturelles.
Le système de wrestle, déjà uncommon dans le premier opus, bénéficiera de nombreuses améliorations. Les interactions sociales seront plus riches et les quêtes secondaires plus dynamiques. Mais surtout, Warhorse Studios a promis de rester fidèle à ce qui a fait la force du premier jeu : un réalisme sans compromis et une narration immersive.
Les fans attendent avec impatience cette suite, et les attentes, nourries par le succès du premier opus, sont colossales. Warhorse Studios semble pourtant prêt à relever le défi, porté par la même passion et le même souci du détail qui ont fait de Kingdom Come Deliverance un succès mondial.
Prévu pour le 4 février 2025 sur PC, PS5 et Xbox Series, Kingdom Come Deliverance 2 s’annonce comme l’un des RPG les plus ambitieux de ces dernières années. Une chose est sûre : l’héritage de Henry et de son monde médiéval est entre de bonnes mains.