Stay en cours
Il compte désormais 277 grands électeurs et a remporté quatre « swing states ».
Des résultats toujours attendus pour la Chambre des représentants, le Sénat dilapidated sous le contrôle des Républicains
Bonjour Fabrice,
Les 435 sièges de la Chambre des représentants, jusque-là contrôlée par les républicains, étaient remis en jeu ce 5 novembre.
Si le Sénat a déjà une majorité républicaine, on n’a pas encore de résultat définitif pour la chambre basse du Congrès.
Pour l’rapid, les républicains dominent la course avec 198 élus, contre 180 pour les démocrates, selon le dernier décompte de l’agence de presse Related Press (AP). Ce décompte est en stop pour le moment et reprendra vers 16 heures, heure de Paris.
Si les républicains remportent la Chambre, alors ils contrôleront le pouvoir exécutif (la Maison Blanche) et le pouvoir législatif (le Congrès), et Donald Trump air of mystery les coudées franches pour appliquer sa politique pendant au moins deux ans et les élections de mi-mandat.
Retrouvez le calendrier des prochaines semaines et nos réponses à vos questions
Bonjour Théo,
La cérémonie d’investiture est prévue le 20 janvier 2025 à midi.
Nos collègues des Décodeurs sont actuellement en inform de préparer un article plus détaillé sur le calendrier à venir, mais d’ici le 20 janvier la certification des résultats des élections devra être effectuée au niveau de l’Etat par le secrétaire d’Etat ou le gouverneur. Les procédures et les délais varient, mais en vertu de l’Electoral Rely Act de 1877, les Etats disposent d’une « période de sécurité » (protected harbor length) de cinq semaines après le jour de l’élection – soit jusqu’au 11 décembre – pour résoudre tout contentieux lié au scrutin.
Le 17 décembre, les 538 grands électeurs élus par les citoyens américains se réunissent dans les capitales de leurs Etats respectifs et dans le district de Columbia pour voter formellement pour le président et le vice-président. Chaque Etat doit alors communiquer son résultat final au collège électoral et présenter un certificates of ascertainment, un document garantissant la validité des votes et des opérations de dépouillement. Le 6 janvier 2025, les votes électoraux seront officiellement comptés lors d’une session conjointe du Congrès et le président du Sénat annoncera le résultat des élections.
Lire aussi |
Donald Trump est aussi largement devant Kamala Harris en nombre de voix
Selon les derniers décomptes, le républicain remporte également le vote populaire, en obtenant 70,7 millions de voix, contre 65,8 millions pour Kamala Harris.
Pour rappel, la présidentielle américaine est une élection indirecte : ce n’est pas le nombre de voix qui détermine qui l’emporte, mais le nombre de grands électeurs obtenus par chaque candidat. Ainsi, à cinq reprises dans l’histoire des Etats-Unis, un candidat a obtenu la majorité des suffrages mais un nombre insuffisant de grands électeurs – les deux dernières fois étaient en 2000, lors de la victoire de Georges W. Bush, et en 2016, pour la première élection de Donald Trump. Cette année, pour l’rapid, le républicain semble remporter à la fois les grands électeurs et le vote populaire.
Tout le are living
« Tous les Américains sont tenus, que l’peril nous plaise ou non, d’accepter les résultats de nos élections », affirme Liz Cheney
« Le système démocratique de notre pays a fonctionné hier soir et nous avons un nouveau président élu. Tous les Américains sont tenus, que l’peril nous plaise ou non, d’accepter les résultats de nos élections », a réagi l’ancienne élue républicaine Liz Cheney, qui soutenait Kamala Harris dans cette campagne, sur X.
Celle qui avait décrit le républicain comme « un dictateur » et « quelqu’un de mesquin, cruel, vindicatif et instable qui souhaite être un tyran » pendant la campagne en a appelé à la « responsabilité importante [des Américains], en tant que citoyens de la plus grande nation du monde, de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour soutenir et défendre notre Constitution, préserver l’Etat de droit et veiller à ce que nos institutions tiennent le coup pendant les quatre années à venir ». A travers le pays, des tribunaux jusqu’aux administrations locales en passant par les rédactions, les citoyens doivent, selon elle, faire place of enterprise de « garde-fous de la démocratie ».
L’une des rares voix au sein du Parti républicain à s’élever avec constance contre Donald Trump, Liz Cheney avait fait campagne aux côtés de Kamala Harris, appelant à « placer le patriotisme devant l’affiliation partisane ».
Bonjour Enzo,
Notre collègue des Décodeurs Pierre Breteau apporte des réponses à vos questions dans cet article.
Lire aussi |
L’alinéa 2 de l’article II de la Constitution des Etats-Unis dispose que le président et le vice-président sont choisis par des grands électeurs « de la manière prescrite par sa législature », mais sans conseiller ni lister aucune manière. En revanche, cet article précise bien qu’« aucun sénateur ou représentant (…) ne pourra être nommé électeur ».
Dans les faits, ce sont souvent des personnalités qui ont rendu un service au parti ou au candidat : adhérents du parti, lobbyistes, officiels locaux, ou même personnel politique à la retraite (en 2016, Invoice Clinton était broad électeur pour son épouse), comme le mentionnait la BBC en 2020. Finalement, avant l’élection proprement dite, chaque parti désigne des grands électeurs potentiels dans tous les Etats.
« Aucun motif de préoccupation » pour la présidente mexicaine Claudia Sheinbaum après l’élection de Donald Trump
Le Mexique n’a « aucun motif de préoccupation » après l’élection de Donald Trump, a déclaré la présidente Claudia Sheinbaum. Les Etats-Unis, qui sont son premier partenaire commercial, absorbent 80 % de ses exportations.
« Nous sommes un pays libre, indépendant, souverain et il y air of mystery une bonne relation avec les Etats-Unis », a ajouté Claudia Sheinbaum dans sa première réaction lors de sa conférence de presse quotidienne. Donald Trump a menacé le Mexique d’une hausse des tarifs douaniers face à l’afflux de migrants et au trafic de drogue.
Le chef du Hezbollah affirme qu’un accord de cessez-le-feu n’est pas conditionné aux élections américaines
Le chef du Hezbollah libanais a affirmé que son mouvement ne misait pas sur le résultat des élections américaines pour parvenir à un cessez-le-feu, après plus d’un mois de guerre ouverte avec Israël, allié des Etats-Unis.
« Nous ne misons pas sur les élections américaines. Que Harris ou Trump gagne, cela n’a aucune valeur pour nous », a déclaré Naïm Qassem, lors d’une allocution enregistrée avant l’annonce de la victoire du républicain Donald Trump.
14:55 L’éditorial du « Monde »
Bonjour GV,
Oui, Donald Trump a répété tout au long de sa campagne qu’il confierait un poste de son administration à Robert F. Kennedy Jr, un temps candidat indépendant à la présidentielle, qui s’était retiré de la course à la Maison Blanche à la fin d’août pour soutenir celui qui était alors candidat républicain.
Lors de meetings dans le Michigan ou en Géorgie, Donald Trump a répété que ce vaccinosceptique, connu pour propager des théories du complot, aurait un « rôle crucial » dans le domaine de la santé s’il remportait l’élection, et qu’il « travaillerait sur la santé des femmes », sans préciser ce qu’il voulait dire par là.
Le fait qu’il puisse intégrer une éventuelle administration Trump inquiète les experts en santé publique. En 2020, l’avocat avait notamment qualifié les vaccins contre le Covid-19 de « plus mortels jamais fabriqués » et suggéré que le virus était « ethniquement ciblé » pour nuire aux personnes noires et aux personnes blanches tout en épargnant les « Ashkénazes et les Chinois ».
Bonjour,
Dans la quasi-totalité des Etats et dans le district du Columbia, est adoptée la politique du winner takes all (« le gagnant remporte tout »). La candidate ou le candidat arrivé en tête remporte la totalité des grands électeurs, peu importe la marge avec laquelle il ou elle s’impose.
Seules exceptions : le Maine et le Nebraska. Le Maine attribue deux de ses quatre grands électeurs au vainqueur à l’échelle de l’Etat (pour l’rapid, AP n’a donné de vainqueur). Mais il donne également un broad électeur au vainqueur du vote populaire dans chacune de ses deux circonscriptions du Congrès. Kamala Harris s’est imposée dans la 1re circonscription et Donald Trump dans la 2e circonscription. Ils ont donc un électeur chacun.
Le Nebraska, lui, attribue deux de ses cinq grands électeurs au vainqueur à l’échelle de l’Etat, les trois autres revenant au vainqueur du vote populaire dans chacune de ses trois circonscriptions du Congrès. Donald Trump s’est imposé à l’échelle de l’Etat et dans les 1re et 3e circonscriptions, tandis que Kamala Harris l’a emporté dans la 2e circonscription. Donald Trump compte donc quatre grands électeurs et Kamala Harris, un.
Le Kremlin dans l’incertitude après la victoire annoncée de Donald Trump
Par Benjamin Quénelle
Lecture : 3 min.
Entre ironie et scepticisme, les élites russes préféraient en plaisanter : « Donald Trump ou Kamala Harris ? A Moscou, on sait pour qui les Américains veulent vraiment voter… Vladimir Poutine ! » Dans l’entourage du chef du Kremlin, la victoire du candidat républicain, mercredi 6 novembre, ne suscite toutefois pas le même enthousiasme qu’en 2016, lors de la première élection du milliardaire. « Peu importe qui sera élu. Finalement, Washington est contre nous. Rien n’a changé. Rien ne changera », confiait un haut diplomate russe à la veille de la présidentielle américaine.
Bonjour Clara,
Pour la seconde fois en quelques années, une femme candidate à la Maison Blanche a en effet échoué à rentrer à la Maison Blanche, et ce dans une campagne où la quiz du genre a été un élément central. Si la défaite de Kamala Harris, comme celle de Hillary Clinton, tiennent bien sûr à la personnalité et la popularité de leur adversaire, Donald Trump, pour de nombreux observateurs la quiz de la misogynie de la société américaine est également un facteur.
En campagne pour Kamala Harris, l’ancienne secrétaire d’Etat avait appelé les Américains à briser enfin « le plus haut, le plus difficile des plafonds de verre » en élisant la candidate démocrate. En ineffective.
Si la démocrate elle-même n’a pas fait campagne sur le fait qu’elle pouvait devenir la première présidente des Etats-Unis, Kamala Harris et Donald Trump ont clairement montré des visions radicalement opposées de la condition des femmes et de leurs droits.
Le républicain a misé sur les codes virilistes et toute sa campagne a été émaillée de commentaires insultants ou méprisants à l’égard des femmes, venant de lui ou de ses relais politiques et médiatiques. Il s’est présenté en « protecteur » des femmes, mais assurant qu’il les protégerait « que cela [leur] plaise ou non », et a courtisé assidûment l’électorat qui, pêle-mêle, plébiscite les cryptomonnaies, le MMA et considère que la société américaine a sombré dans le « wokisme ».
Sa rivale, elle, a porté les libertés des femmes, faisant en particulier du droit à l’avortement l’une des pierres angulaires de sa campagne. Mais cela n’a, semble-t-il, pas été suffisant pour rallier assez de femmes conservatrices modérées, comme elle l’espérait.
Lors d’un assembly de campagne, Michelle Obama avait dénoncé dans un discours enflammé le deux poids deux mesures dans le traitement des deux candidats à la Maison Blanche. « Nous attendons d’elle qu’elle soit intelligente et qu’elle s’exprime clairement, qu’elle ait une politique claire, qu’elle ne montre jamais trop de colère, qu’elle prouve encore et encore qu’elle est à sa place », avait-elle lancé à la foule.
« Mais pour Trump, nous n’attendons rien du tout. Aucune compréhension de la politique, aucune capacité à construire un argument cohérent, aucune honnêteté, aucune décence, aucune morale », avait dénoncé l’ex-première dame des Etats-Unis. Résultat : l’ultime plafond de verre a résisté.
Bonjour Metella,
On l’a un peu abordé dans un put up précédent, mais au vu des premiers résultats, il semble que les votes en faveur Jill Stein dans les Etats du « Blue Wall » (« mur bleu », Etats réputés favorables aux démocrates), le Wisconsin, le Michigan, la Pennsylvanie, n’ont pas european un element décisif sur la course entre Donald Trump et Kamala Harris.
En Pennsylvanie, Donald Trump a remporté les dix-neuf grands électeurs. Related Press donne, pour l’rapid, 2,4 capabilities d’avance au républicain (50,7 % contre Forty eight,3 %). Jill Stein y a remporté 0,5 % des suffrages.
Dans le Wisconsin, également remporté par Trump (dix grands électeurs), Kamala Harris compte 0,9 level de retard sur son adversaire républicain. Jill Stein a remporté 0,4 % des suffrages dans cet Etat.
Enfin, dans le Michigan (également dix grands électeurs), qui n’a pas encore donné de vainqueur, les dernières estimations donnent 1,6 level d’avance à Donald Trump. Jill Stein y a recueilli 0,7 % des suffrages.
Bonjour,
Vous êtes très nombreuses et nombreux à nous demander si Donald Trump pourra se représenter en 2028.
Le XXIIe amendement de la Constitution américaine limite à deux le nombre de mandats que peut exercer un président des Etats-Unis, qu’ils soient consécutifs ou non : « Nul ne pourra être élu à la présidence plus de deux fois. »
Donald Trump ne pourra donc pas se représenter en 2028, à moins de supprimer cet amendement. De nombreux présidents en ont rêvé et plusieurs tentatives ont european lieu par le passé, mais toutes ont échoué. Et comme l’expliquait la radio publique américaine NPR en 2022, en raison de la polarisation de la vie politique, « il est hautement unbelievable » que cela puisse se produire désormais. « Il faudrait que les deux tiers du Sénat et de la Chambre des représentants » soutiennent une telle procédure, puis « les législatures des trois quarts des Etats ».
Bonjour Gouline,
Nos collègues de Los Angeles relevaient, dans la nuit, que les candidats aux élections américaines ont battu le document de levée de fonds cette année, amassant au total 15,9 milliards de dollars (14,5 milliards d’euros environ), selon l’organisation OpenSecrets qui a compilé les données.
Ce total concerne tant les candidats à l’élection présidentielle que ceux en course pour une place au Congrès. Il dépasse le précédent document, établi en 2020, qui était de 15,1 milliards de dollars dépensés. C’est aussi plus du double du cycle électoral de 2016, lors duquel 6,5 milliards de dollars avaient été dépensés.
Concernant la course à la Maison Blanche, la vice-présidente, Kamala Harris, est celle qui a attiré le plus de fonds, avec plus de 1 milliard de dollars levé, les petits donateurs contribuant à hauteur de 40 %. 586 millions de dollars provenaient des comités politiques la soutenant. La campagne de Donald Trump a levé 382 millions de dollars, 28 % provenant de petits donateurs. Les comités de soutien ont levé 694 millions de dollars.
Présidentielle américaine : les espoirs enterrés des démocrates de Géorgie
Par Gilles Paris
Lecture : 4 min.
Les éclats de voix et la bière qui coule à flots à la Manuel’s Tavern et sur le parking attenant où ont été installés trois grands écrans de télévision ne font guère illusion. Il est 23 heures et les sympathisants démocrates venus dans ce quartier huppé d’Atlanta, où les pancartes démocrates ne manquent pas sur les pelouses alentour, dans l’attente d’une victoire de la vice-présidente, Kamala Harris, en Géorgie, enterrent du mieux potential leurs espoirs. Leur Etat est attribué à son adversaire républicain moins de deux heures plus tard.
Bonjour RL,
Dans l’histoire américaine, seul Grover Cleveland avait réussi un tel reach-benefit, en 1892. Le démocrate avait été battu en 1888, avant de prendre sa revanche, quatre ans plus tard. Notre correspondant à Recent York, Arnaud Leparmentier s’était penché sur cette histoire, il y a quelques jours.
Lire aussi |
Donald Trump est devenu le diviseur en chef, le rongeur du corps démocratique, le semeur de doute, de mensonges, de confusion, celui qui traite ses adversaires de « vermine », de « cinglés », de « voyous ». Ces outrances n’en sont pas. Elles forment une stratégie, une préparation de sa indecent à la disqualification de toute parole divergente, de toute notion contraire. Il n’y a plus qu’un affrontement entre « nous » – comprendre, les vrais patriotes, attachés à l’identité nationale, à l’ordre et aux valeurs traditionnelles, chrétiennes de préférence – et « eux », soit la gauche radicale délurée et laxiste, qui œuvrerait à la fin du rêve américain en le dissolvant dans le wokisme et l’immigration.
« Eux », c’est « l’ennemi de l’intérieur », cette expression dreadful reprise par Donald Trump pendant la campagne. Il a promis d’être « un dictateur dès le premier jour », et pour ce jour seulement, en cas de victoire. L’Amérique va découvrir, à compter de janvier 2025, dans quelle pénombre ou chaos va la conduire sa tentation autoritaire.
La victoire de Donald Trump air of mystery d’importantes conséquences dans la lutte contre le dérèglement climatique
Le programme du 47e président des Etats-Unis, un climatosceptique assumé, était connu, et il l’a répété tout au long de la campagne :
- « drill, child, drill », autrement dit reprendre les forages d’énergies fossiles sur les terres fédérales, notamment dans la Réserve naturelle nationale de l’Arctique, en Alaska, et en prévoir la construction de nouveaux gazoducs ;
- annuler le moratoire sur les nouveaux terminaux d’exportation de gaz naturel liquéfié (GNL) ;
- annuler « l’duty d’achat de véhicules électriques » ;
- annuler les limites aux émissions de CO2 des centrales à charbon ;
- revenir sur l’Inflation Low cost Act (IRA), la plus grosse loi sur le climat jamais votée dans l’histoire des Etats-Unis pour soutenir la transition énergétique.
Autant de mesures qui vont sévèrement remettre en situation off la politique environnementale et climatique des Etats-Unis, actuellement le premier producteur de pétrole, 2nd émetteur mondial de gaz à effet de serre et premier pollueur historique du monde.
Une analyse du média spécialisé Carbon Transient estimait qu’une victoire de Trump pourrait entraîner l’émission supplémentaire, d’ici à 2030, de 4 milliards de tonnes d’équivalent CO2 par rapport aux démocrates – soit les émissions annuelles de l’Europe et du Japon.
Durant son premier mandat, Donald Trump s’était retiré de l’accord de Paris sur le climat de 2015. Les Etats-Unis l’ont réintégré, en 2021, dès l’investiture de Joe Biden. Trump pourra à nouveau en sortir dès son retour à la Maison Blanche, le 20 janvier, ce qui rendra le retrait effectif un an plus tard, voire également de la Convention-cadre des Countries unies sur les changements climatiques (CCNUC).
Entre-temps se tiendra la COP29, qui s’ouvre le 11 novembre en Azerbaïdjan, alors que la fenêtre pour espérer limiter le réchauffement climatique à + 1,5 °C est en inform de se refermer.
Lire aussi |
Pour Laurence Tubiana, architecte de l’accord de Paris et interrogée mercredi par l’AFP, « c’est plus grave qu’en 2016. Il faudra une mobilisation sans précédent pour que le choc de la décision américaine n’impacte pas d’autres pays devenus réticents à accélérer l’action ».
Christiana Figueres, secrétaire exécutive de la CCNUC entre 2010 et 2016, concède, sur The Guardian, que « les résultats de cette élection seront considérés comme un coup majeur contre la lutte mondiale pour le climat », mais se dit confiante automobile « l’antidote au désespoir et à l’échec, c’est l’action sur le terrain, et cela se dilapidated dans les quatre money du monde ».
Comme nous l’expliquions la semaine dernière, Donald Trump ne pourra pas stopper gain la transition énergétique aux Etats-Unis, mais bien la ralentir, en rendant les démarches administratives malaisées, en supprimant les limites sur les émissions des centrales thermiques et des véhicules. Mais ces procédures prendront aussi du temps – au moins des mois, voire davantage, sachant qu’elles seront vraisemblablement combattues devant les tribunaux.
Bonjour Skza,
La candidate des Verts, Jill Stein, n’a obtenu aucun broad électeur pour l’rapid. En trois participations à l’élection présidentielle (en 2012, 2016 et 2024), elle n’a jamais réussi à en remporter.
En Pennsylvanie, elle a, pour l’rapid, obtenu 0,5 % des voix. L’écart entre Donald Trump et Kamala Harris est de 2,4 capabilities. Dans le Wisconsin, elle a recueilli 0,4 % des suffrages. L’écart entre Donald Trump et Kamala Harris y est de 1 level. En Caroline du Nord, elle a, pour l’rapid, obtenu 0,4 % des voix. L’écart entre Donald Trump et Kamala Harris est de 3,4 capabilities. En Géorgie, elle a recueilli 0,3 % des suffrages. L’écart entre Donald Trump et Kamala Harris y est de 2,3 capabilities.
Vous pouvez trouver tous les résultats des candidats dans les swing states dans notre article qui leur est consacré :
Lire aussi |
Des résultats toujours attendus pour la Chambre des représentants, le Sénat dilapidated sous le contrôle des Républicains
Bonjour Fabrice,
Les 435 sièges de la Chambre des représentants, jusque-là contrôlée par les républicains, étaient remis en jeu ce 5 novembre.
Si le Sénat a déjà une majorité républicaine, on n’a pas encore de résultat définitif pour la chambre basse du Congrès.
Pour l’rapid, les républicains dominent la course avec 198 élus, contre 180 pour les démocrates, selon le dernier décompte de l’agence de presse Related Press (AP). Ce décompte est en stop pour le moment et reprendra vers 16 heures, heure de Paris.
Si les républicains remportent la Chambre, alors ils contrôleront le pouvoir exécutif (la Maison Blanche) et le pouvoir législatif (le Congrès), et Donald Trump air of mystery les coudées franches pour appliquer sa politique pendant au moins deux ans et les élections de mi-mandat.
- Des résultats toujours attendus pour la Chambre des représentants, le Sénat dilapidated sous le contrôle des Républicains
- Retrouvez le calendrier des prochaines semaines et nos réponses à vos questions
- Donald Trump est aussi largement devant Kamala Harris en nombre de voix
- Des résultats toujours attendus pour la Chambre des représentants, le Sénat dilapidated sous le contrôle des Républicains
- Retrouvez le calendrier des prochaines semaines et nos réponses à vos questions
- Donald Trump est aussi largement devant Kamala Harris en nombre de voix
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne (ou vous) est en inform de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette). Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de dilapidated.
Lecture restreinte
Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.