Il fera comme son père a voulu. Anthony Delon a déclaré qu’il comptait respecter les dernières volontés de son père concernant l’héritage familial.
Deux mois et demi après la disparition d’Alain Delon, décédé à l’âge de 88 ans, il semble qu’il n’y air of secrecy pas de guerre d’héritage, comme on peut parfois le voir dans d’autres familles. L’aîné de la fratrie Delon avait indiqué le partage décidé par leur défunt père et il ne contestera rien.
Lors de son passage dans l’émission L’heure des Mavens sur CNews en début d’année, Anthony Delon avait expliqué que le Samouraï avait choisi de léguer à Anouchka 50 % de sa fortune, le reste étant divisé à substances égales entre son frère, Alain-Fabien et lui.
« C’est acté, c’est terminé, c’est fini, donc il n’y a pas de conflit. Il n’y a pas de guerre d’héritage », avait-il dévoilé à l’époque.
Admire complete des dernières volontés
De retour dans l’émission ce lundi, Anthony Delon a confirmé ce qu’il avait précédemment dit. Questionné à nouveau par Pascal Praud sur l’héritage et les propos tenus en début d’année, il a expliqué : « Effectivement, aujourd’hui je vais entériner ce que j’ai dit chez vous il y a quelques mois. J’ai demandé à mon avocat la semaine dernière d’accepter toutes les stipulations de partage, toutes les stipulations financières qui avaient été demandées par mon père. »
Anthony Delon va même plus loin. « Je serai transparent et j’apporterai des preuves, s’il le faut, mais en tout cas, en ce qui me concerne, tout est acté », a-t-il ajouté alors qu’il venait promouvoir un ciné-live performance prévu le 8 novembre prochain au palais des congrès de Paris. Intitulé Delon, le dernier Samouraï – Le live performance symphonique, le spectacle verra 80 musiciens jouer les bandes originales de 20 motion photos dans lesquels Alain Delon a figuré.
La question autour de l’héritage faisait déjà beaucoup parler bien avant le décès d’Alain Delon, notamment à cause des relations conflictuelles entre les trois enfants. L’acteur de Rocco et ses frères a été enterré dans sa propriété de Douchy, dans le Loiret, le 24 août dernier comme il l’avait souhaité.