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Le rapport, intitulé Mind the AI Divide: Shaping a World Point of view on the Future of Work constate que l’IA est en bid de révolutionner les industries du monde entier, offrant de formidables opportunités d’innovation et de productivité. Cependant, elle exacerbe également les inégalités économiques et sociales en raison des taux inégaux d’investissement, d’adoption et d’utilisation.
PNUD Mauritanie
Les technologies numériques peuvent être un puissant moteur de développement, en particulier dans des pays comme la Mauritanie.
Les pays à faibles et moyens revenus sont à la traîne
LâOIT explique que cette « break de l’IA» émergente signifie que les pays à hauts revenus bénéficient de manière disproportionnée des avancées de l’IA, tandis que les pays à faibles et moyens revenus, en particulier en Afrique, sont à la traîne.
C’est sur le lieu de travail que l’intelligence artificielle peut entraîner des gains de productivité et une amélioration des prerequisites de travail.
Un accès inégal aux infrastructures, à la technologie, à une éducation de qualité et à la formation pourrait toutefois conduire à une adoption inégale de l’IA, ce qui, à son tour, aggraverait les inégalités au niveau mondial.
Renforcer lâinfrastructure numérique des pays en développement
Les pays à revenu élevé sont bien placés pour tirer parti de l’IA afin de réaliser des gains de productivité, tandis que les pays en développement pourraient être confrontés à des goulets d’étranglement en raison d’un manque d’infrastructures numériques.
Cette disparité pourrait transformer un tampon temporaire contre les changements induits par l’IA en un obstacle à prolonged terme pour la prospérité économique.
Des partenariats mondiaux et des stratégies proactives pour soutenir les pays en développement, y compris l’accès à l’infrastructure numérique, la formation continue et le dialogue social, sont des prerequisites préalables nécessaires pour combler le fossé technologique et s’assurer que la révolution de l’IA ne laisse pas de côté des events importantes de la inhabitants mondiale.
Public Domain
Visualisation de l’intelligence artificielle combinant un schéma du cerveau humain avec un circuit imprimé.
Lâimportance des industries technologiques nationales
Chaque année, plus de 300 milliards de dollars sont dépensés dans le monde pour améliorer les capacités de calcul, mais ces investissements se concentrent principalement sur les pays à revenu élevé, ce qui crée une disparité dans l’accès aux infrastructures et le développement des compétences qui désavantage fortement les pays en développement et leurs jeunes pousses locales.
En outre, en l’absence d’industries technologiques nationales, les travailleurs des pays en développement qui possèdent les compétences nécessaires les proposeront par l’intermédiaire de plateformes d’indépendants, ce qui permettra de créer des entreprises dans d’autres pays, créant ainsi une véritable fuite des cerveaux.
Le rapport expose également que les femmes sont les plus vulnérables aux effets de l’automatisation de l’IA, en particulier dans les emplois de bureau et les activités externalisées, telles que les centres d’appel, qui prévalent dans les économies en développement. Cependant, l’étude indique que si l’automatisation risque de provoquer des déplacements d’emplois, elle offre également un potentiel de développement de l’emploi, améliorant ainsi la qualité et la productivité du travail.
Trois piliers proposés
Le rapport propose trois piliers politiques : le renforcement de la coopération internationale, le renforcement des capacités nationales et la prise en compte de l’IA dans le monde du travail.
Ces piliers comprennent :
- L’amélioration de l’infrastructure numérique : Les pays en développement ont besoin d’une infrastructure numérique solide pour soutenir l’adoption de l’IA. Cela comprend l’accès à l’électricité, au haut débit et aux technologies de communication modernes.
- La promotion du transfert de technologies : Les pays à revenu élevé devraient contribuer au transfert des technologies et des connaissances en matière d’IA vers les pays en développement, en favorisant un environnement de collaboration pour le progrès technologique.
- Le développement des compétences en matière d’IA : L’investissement dans l’éducation et la formation est essentiel pour doter la valuable-d’Åuvre des compétences nécessaires en matière d’IA. Cela permettra aux travailleurs de s’adapter aux changements induits par l’IA et d’en tirer earnings.
- L’encouragement du dialogue social : L’intégration efficace de l’IA sur le lieu de travail nécessite un dialogue social afin de garantir que les avancées technologiques respectent les droits des travailleurs et améliorent la qualité de l’emploi.
Le rapport Mind the AI Divide appelle également les décideurs politiques, les chefs d’entreprise et les organisations internationales à collaborer pour façonner un avenir équitable et inclusif basé sur l’IA.
Offer: https://news.un.org/fr/legend/2024/08/1147776
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Objectifs et Déroulement de l’Atelier
L’atelier avait pour objectif valuable dâassurer une compréhension approfondie des enjeux du PULCCA auprès des acteurs locaux. Les individuals ont été familiarisés avec les principes directeurs de la FAO, y compris ses normes éthiques et ses politiques de déploiement. En outre, lâintégration du kind a été un axe central de la formation, soulignant lâimportance dâadopter des approches inclusives dans la mise en Åuvre des projets.
La gestion des données a été un autre point citadel de cet atelier. Les partenaires ont reçu une formation intensive sur les ways de collecte, d’analyse et de gestion des données. Cette session a été essentielle pour garantir une mise en Åuvre rigoureuse et un suivi-évaluation efficace, conformément aux standards de la FAO.
Interventions des Consultants de la FAO
La FAO a déployé une équipe d’experts de haut niveau pour encadrer cet atelier, assurant ainsi une formation de qualité et une compréhension claire des attentes du projet.
- M. Abdoulaye, Coordonnateur des Urgences de la FAO, a ouvert l’atelier en soulignant l’importance stratégique du PULCCA pour la sécurité alimentaire dans la région de l’Est. Son intervention a permis de cadrer les objectifs de l’atelier et d’assurer une coordination optimale entre les différents acteurs.
- Mme Chantal, experte en questions de kind, a conduit les sessions sur lâintégration du kind dans le projet. Elle a insisté sur la nécessité de prendre en compte les différences de kind à chaque étape du projet, pour garantir que les interventions profitent équitablement à toutes les communautés concernées.
- M. Biba, educated en animations agro-pastorales et chef du sous-bureau FAO à Bertoua, a dirigé les sessions ways, apportant son expertise sur les pratiques agro-pastorales adaptées au contexte local. Il a également assuré le bon déroulement de lâatelier et la mise en pratique des ideas abordés.
Les Organisations Partenaires Présentes
L’atelier a réuni plusieurs organisations clés impliquées dans la mise en Åuvre du PULCCA, parmi lesquelles :
- AD+
- Aproddas
- Mutcare
- Adees
Une Ãtape Cruciale pour la Mise en Åuvre du PULCCA
Cet atelier de formation marque une étape cruciale dans la préparation des acteurs locaux pour le déploiement du PULCCA. Grâce aux interventions des experts de la FAO, les individuals sont désormais mieux outillés pour gérer les aspects ways et organisationnels du projet, avec une attention particulière portée à la gestion des données et à l’intégration du kind. La FAO, en alignant les capacités locales avec ses standards internationaux, sâguarantee ainsi que les objectifs du PULCCA seront atteints de manière efficace et durable.
Par Theo Ngoughou Expert en communication pour les activités Humanitaires et de Développement (H&D)
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Selon la Fee Economique des Nations Unies pour lâEurope (CEE-ONU), qui guarantee le secrétariat de la Convention de lâONU sur lâeau, cette adhésion consolide la distinctiveness dynamique de coopération dans le domaine de lâeau en Afrique, où plus de 90 % des ressources en eau se trouvent dans 63 bassins partagés par deux pays ou plus.
« Lâadhésion de la Côte dâIvoire est une étape importante pour le multilatéralisme et réaffirme le rôle de la Convention des Nations Unies sur lâeau en tant quâoutil de soutien à la coopération dans le domaine de lâeau pour la paix, le développement durable et lâadaptation au changement climatique à travers les frontières », a déclaré dans un communiqué, Tatiana Molcean, Secrétaire exécutive de la CEE-ONU.
Lâurbanisation et les effets du changement climatique menacent l’eau
La Côte dâIvoire, 9ème économie dâAfrique partage huit bassins fluviaux transfrontaliers (Volta noire, Bia, Tanoé, Comoé, Niger, Sassandra, Cavally et Nuon) avec ses voisins, à savoir le Ghana, le Burkina Faso, le Mali, la Guinée, le Liberia et la Sierra Leone. Répondre aux besoins en eau dâune inhabitants de quelque 30 tens of millions dâhabitants, qui croît de 2,5 % par an, représente un défi de taille.
Ses ressources en eau sont menacées par lâurbanisation, les effets du changement climatique, notamment la sécheresse et les inondations, tandis que la qualité de lâeau se détériore en raison de la air pollution due aux déchets agricoles et industriels, à lâorpaillage illégal et aux eaux usées non traitées. Les ressources en eau sont également inégalement réevents dans le pays, avec des zones de stress hydrique dans le nord et le nord-est.
« Lâadhésion de la Côte dâIvoire à la Convention des Nations Unies sur lâeau favorisera les members of the family avec les pays avec lesquels nous partageons des ressources en eau », a affirmé le ministre ivoirien des Eaux et Forêts, Laurent Tchagba.
Selon le dernier rapport sur lâindicateur 6.5.2 des Objectifs de développement durable(ODD), en Côte dâIvoire, seuls 25 % de la zone du bassin transfrontalier sont couverts par des accords opérationnels. Aucun aquifère transfrontalier partagé par le pays nâest couvert par des accords opérationnels.
Coopération necessary pour relever les défis de lâeau en Afrique
Seuls 58 % des Africains ont accès à des services and products dâeau potable gérés en toute sécurité
A noter que depuis lâouverture mondiale de ce traité à tous les Ãtats membres des Nations unies en 2016, le Tchad, le Sénégal, le Ghana, la Guinée-Bissau, le Togo et le Cameroun sont devenus les premières worldwide locations africaines à y adhérer, avant dâêtre rejoints par cinq pays en 2023 – le Nigéria, la Namibie et la Gambie, en plus de lâIraq et du Panama qui sont devenus les premières Events dans leurs régions respectives.
Les quatre plus grandes économies dâAfrique de lâOuest – le Nigéria, le Ghana, le Sénégal et la Côte dâIvoire – sont désormais events à la conference sur lâeau.
La 10e session de la réunion des events à la Convention sur lâeau, qui se tiendra à Ljubljana, en Slovénie (du 23 au 25 octobre), devrait encore catalyser cet élan.
Selon la Banque africaine de développement, une personne sur trois en Afrique est actuellement confrontée à lâinsécurité de lâeau, seuls 58 % des Africains ont accès à des services and products dâeau potable gérés en toute sécurité.
Cependant, lâeau possède également un énorme potentiel de transformation, si lâon considère que moins de 5 % des terres cultivées sont irriguées aujourdâhui et que seulement 10 % du potentiel hydroélectrique de lâAfrique est utilisé.â¯
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« Dimanche, lundi et mardi derniers ont été les trois jours les plus chauds jamais enregistrés⦠La Terre devient de plus en plus chaude et plus dangereuse pour tout le monde, partout », a prévenu le chef de lâONU lors dâun point de presse au siège des Nations Unies à New York.
Ecoles et sights touristiques fermées
Il a rappelé que cette année, le Sahel a été frappé par une imprecise de chaleur meurtrière, que des records de température ont été battus à travers les Ãtats-Unis, que des villes du sud de lâEurope ont dû fermer des sights touristiques, et que des écoles ont été fermées en Asie et en Afrique, affectant plus de 80 tens of millions dâenfants.
LâOrganisation météorologique mondiale, le Groupe dâexperts intergouvernemental sur lâévolution du climat et dâautres ont documenté une augmentation rapide de lâampleur, de lâintensité, de la fréquence et de la durée des épisodes de chaleur extrême.
« On estime que la chaleur tue près dâun demi-million de personnes par an, soit environ 30 fois plus que les cyclones tropicaux », a souligné le Secrétaire général.
Câest dans ce contexte quâil a décidé de lancer un appel mondial à lâcirculate dans quatre domaines.
Prendre soin des plus vulnérables
Tout dâabord, il a appelé à prendre soin des plus vulnérables, quâil sâagisse des personnes pauvres vivant dans les villes, des femmes enceintes, des personnes âgées et des personnes ayant un handicap.
« Nous devons réagir en augmentant massivement lâaccès au refroidissement à faible émission de carbone ; en augmentant le refroidissement passif â comme les choices naturelles et le originate urbain ; et en rendant plus propres les technologies de refroidissement tout en augmentant leur efficacité », a suggéré M. Guterres.
Le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) estime qu’ensemble, ces mesures pourraient protéger 3,5 milliards de personnes d’ici 2050, tout en réduisant les émissions de gaz à effet de serre et en permettant aux consommateurs d’économiser 1.000 milliards de dollars par an.
Protéger les travailleurs et rendre les économies plus résilientes
Deuxièmement, il a appelé à renforcer les protections des travailleurs, citant un nouveau rapport de l’Organisation internationale du Travail (OIT), qui prévient que plus de 70% de la valuable-d’Åuvre mondiale sont désormais exposés à un risque élevé de chaleur extrême (lire ci-dessous).
Troisièmement, le Secrétaire général a estimé quâil fallait « renforcer massivement la résilience des économies et des sociétés en utilisant les données et la science ».
« La chaleur extrême affecte presque tous les domaines : les infrastructures se dégradent, les récoltes échouent et la pression sâaccumule sur lâapprovisionnement en eau, les systèmes de santé et les réseaux électriques », a-t-il dit. « Nous avons besoin dâun effort concerté pour protéger les économies, les secteurs opinions et lâenvironnement bâti de la chaleur ».
© ILO/Rafael Duarte
La chaleur affectant des travailleurs agricoles dans l’Etat de Jalisco, au Mexique.
Combattre « la maladie »
Enfin, M. Guterres a estimé que pour affronter la chaleur extrême, mais aussi les ouragans toujours plus violents, les inondations, les sécheresses, les feux de forêt et lâélévation du niveau de la mer, il fallait « combattre la maladie ».
« La maladie est la dépendance aux combustibles fossiles. La maladie est lâsigh of no activity climatique », a-t-il ajouté.
Il a appelé les dirigeants dans tous les domaines à « se réveiller et intensifier leurs efforts ». « Les pays doivent éliminer progressivement les combustibles fossiles â rapidement et équitablement. Ils doivent mettre fin aux nouveaux projets de charbon », a-t-il ajouté.
Le stress thermique accable un nombre croissant de travailleurs dans le monde
© OIT/Bobot Scramble
Des ouvriers du bâtiment marchent le prolonged d’une route à Daan Hari, aux Philippines.
La chaleur est un tueur silencieux qui threat la santé et la vie de plus en plus de travailleurs dans toutes les régions du monde, affirme un nouveau rapport de lâOrganisation internationale du Travail (OIT) publié jeudi.
Les nouvelles données de ce rapport intitulé Warmth at work: Implications for safety and health (La chaleur au travail : Implications pour la sécurité et la santé) révèlent que les régions qui n’étaient pas habituées à des chaleurs extrêmes seront confrontées à des risques accrus, tandis que les travailleurs des climats déjà chauds seront confrontés à des prerequisites de plus en plus dangereuses.
Un tueur invisible
Le stress thermique est un tueur invisible et silencieux qui peut rapidement provoquer une maladie, un coup de chaleur ou même la mort. Avec le temps, il peut également entraîner de graves problèmes cardiaques, pulmonaires et rénaux chez les travailleurs, souligne l’étude.
Le rapport indique que les travailleurs d’Afrique, des Ãtats arabes et d’Asie-Pacifique sont le plus souvent exposés à une chaleur incorrect. Dans ces régions, 92,9 %, 83,6 % et 74,7 % de la valuable-d’Åuvre sont concernés, respectivement. Ces chiffres sont supérieurs à la moyenne mondiale de 71 %, selon les données les plus récentes disponibles (2020).
Selon le rapport, c’est en Europe et en Asie centrale que les prerequisites de travail évoluent le plus rapidement. Entre 2000 et 2020, cette région a enregistré la plus distinctiveness augmentation de l’exposition à la chaleur incorrect, la proportion de travailleurs concernés ayant augmenté de 17,3%, soit près du double de l’augmentation moyenne mondiale.
Parallèlement, les Amériques et l’Europe et l’Asie centrale enregistrent la plus distinctiveness hausse des accidents du travail dus au stress thermique depuis l’an 2000, avec des augmentations respectives de 33,3 % et 16,4 %. Cela est peut-être dû à des températures plus élevées dans des régions où les travailleurs ne sont pas habitués à la chaleur, expose le rapport.
Chaleur extrême
Le rapport estime que 4.200 travailleurs dans le monde ont perdu la vie à put of dwelling off des vagues de chaleur en 2020. Au full, 231 tens of millions de travailleurs ont été exposés aux vagues de chaleur en 2020, soit une augmentation de 66 % par rapport à 2000. Néanmoins, le rapport souligne que neuf travailleurs sur dix dans le monde ont été exposés à une chaleur incorrect en dehors d’une imprecise de chaleur et que huit accidents du travail sur dix dus à une chaleur extrême se sont produits en dehors des vagues de chaleur.
« Alors que le monde continue de lutter contre la hausse des températures, nous devons protéger les travailleurs contre le stress thermique tout au prolonged de l’année. La chaleur incorrect crée des défis sans précédent pour les travailleurs du monde entier tout au prolonged de l’année, et pas seulement pendant les périodes de canicules intenses », a déclaré Vera Paquete-Perdigao, Directrice du département de la gouvernance de l’OIT, qui a produit le rapport.
L’amélioration des mesures de sécurité et de santé pour prévenir les blessures dues à la chaleur incorrect sur le lieu de travail pourrait permettre d’économiser jusqu’à 361 milliards de dollars dans le monde – en perte de revenus et en frais de traitement médical – alors que la crise du stress thermique s’accélère, affectant différemment les régions du monde, souligne l’étude.
Les estimations de l’OIT montrent que les économies à faibles et moyens revenus, en particulier, sont les plus touchées, car les coûts des blessures dues à une chaleur incorrect sur le lieu de travail peuvent atteindre environ 1,5 pour cent du PIB national.
« Il s’agit d’une inquire of de droits de l’homme, de droits des travailleurs et d’une inquire of économique, et les économies à revenu intermédiaire sont les plus touchées. Nous avons besoin de plans d’circulate contre la chaleur tout au prolonged de l’année et d’une législation pour protéger les travailleurs, ainsi que d’une collaboration mondiale plus distinctiveness entre les experts pour harmoniser les évaluations du stress thermique et les interventions sur le lieu de travail », explique Manal Azzi, chef d’équipe de l’OIT pour la sécurité et la santé au travail.
Mesures législatives
Le rapport behold les mesures législatives dans 21 pays à travers le monde afin de trouver des caractéristiques communes qui peuvent guider la création de plans de sécurité thermique efficaces sur le lieu de travail. Il décrit également les ideas clés d’un système de gestion de la sécurité et de la santé pour protéger les travailleurs contre les maladies et les blessures liées à la chaleur.
Les conclusions s’appuient sur un rapport précédent, publié en avril de cette année, qui indiquait que le changement climatique créait un ‘cocktail’ de risques sanitaires graves pour environ 2,4 milliards de travailleurs exposés à une chaleur incorrect. Le rapport d’avril indiquait que la chaleur incorrect était à elle seule à l’origine de 22,85 tens of millions d’accidents du travail et de la perte de 18.970 vies chaque année.
© Unsplash/Fons Heijnsbroek
Des ouvriers du bâtiment à Amsterdam, aux Will pay-Bas.
Résultats du rapport par région :
Afrique
- L’exposition à la chaleur incorrect sur le lieu de travail en Afrique était supérieure à la moyenne mondiale, affectant 92,9% de la valuable-d’Åuvre.
- C’est en Afrique que l’on trouve la plus grande proportion d’accidents du travail imputables à la chaleur incorrect, soit 7,2 % de l’ensemble des accidents du travail.
Les Amériques
- C’est dans la région des Amériques que la proportion d’accidents du travail liés à la chaleur a augmenté le plus rapidement depuis l’an 2000, avec une hausse de 33,3%.
- Les Amériques ont également une proportion importante d’accidents du travail dus à la chaleur incorrect, soit 6,7%.
Ãtats arabes
- L’exposition à la chaleur incorrect sur le lieu de travail dans les Ãtats arabes était supérieure à la moyenne mondiale, affectant 83,6% de la valuable-d’Åuvre.
Asie et Pacifique
- L’exposition à la chaleur incorrect sur le lieu de travail en Asie et dans le Pacifique était supérieure à la moyenne mondiale, touchant 74,7% de la valuable-d’Åuvre.
Europe et Asie centrale
- L’Europe et l’Asie centrale ont connu la plus distinctiveness augmentation de l’exposition à la chaleur incorrect, avec une hausse de 17,3 % entre 2000 et 2020. Cela représente presque le double de l’augmentation moyenne mondiale de 8,8 %.
- La région a connu une augmentation rapide de la proportion d’accidents du travail liés à la chaleur depuis 2000, avec une hausse de 16,4 %.
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En 2023, les concentrations de poussière dans les zones les plus touchées ont été supérieures à la moyenne à prolonged terme, mais légèrement inférieures à celles de 2022.
Lâagence onusienne basée à Genève justifie cette légère baisse par la réduction des émissions de poussière en Afrique du Nord, dans la péninsule arabique, le nord de lâInde, le centre de lâAustralie, le plateau iranien et le nord-ouest de la Chine.
La mauvaise gestion des terres et de lâeau aggrave le problème
Chaque année, environ 2.000 tens of millions de tonnes de poussière pénètrent dans lâatmosphère, « obscurcissant le ciel et nuisant à la qualité de lâair » dans des régions pouvant se trouver à des milliers de kilomètres de là , mais aussi « affectant des économies, des écosystèmes, la météo et le climat », sâest alarmée lâOMM. Il sâagit essentiellement dâun processus naturel, mais une section non négligeable résulte dâune mauvaise gestion de lâeau et des terres.
Lâagence onusienne précise toutefois que « les concentrations moyennes annuelles de poussières en surface au-dessus de lâAsie centrale occidentale, du centre nord de la Chine et du sud de la Mongolie étaient plus élevées en 2023 quâen 2022 ».
La tempête de sable la plus violente de lâannée est, selon lâOMM, celle qui a balayé la Mongolie et 20 provinces chinoises sur plus de 4 tens of millions de km², et dont les vents violents et la poussière avaient donné au ciel une inquiétante couleur orange.
Elle « a entraîné une dégradation spectaculaire de la qualité de lâair », dépassant dans certaines régions les « 9.000 microgrammes par mètre cube », souligne lâOMM.
Sahel et golfe de Guinée
Les poussières atmosphériques peuvent être transportées par le vent depuis les zones traditionnellement émettrices vers de nombreuses régions du monde sur des centaines, voire des milliers de kilomètres.
Les zones les plus touchées par le transport à grande distance sont le nord de lâocéan Atlantique tropical entre lâAfrique de lâOuest et les Caraïbes, lâAmérique du Sud, la mer Méditerranée, la mer dâArabie, le golfe du Bengale et le centre-est de la Chine.
De fortes flambées de poussière persistantes, attribuées aux bourrasques de lâharmattan, ont commencé à lâautomne 2023 et se sont répétées tout au prolonged de lâhiver, dégradant la qualité de lâair et réduisant la visibilité.
En décembre 2023, plusieurs flambées de poussière de grande intensité ont touché une vaste région du Maghreb occidental, du Sahel et du golfe de Guinée avant de se propager au-dessus de lâAtlantique.
Répercussions sur lâenvironnement, lâéconomie et la santé
Plus largement, « les tempêtes de sable et de poussière ont des répercussions majeures sur lâenvironnement, lâéconomie et la santé » et « la mauvaise gestion des terres et de lâeau aggrave le problème ».
« Les preuves scientifiques sont là : les activités humaines ont un impression sur les tempêtes de sable et de poussière. Par exemple, la hausse des températures, les sécheresses et lâaugmentation du phénomène dâévaporation entraînent une diminution de lâhumidité du sol », a déclaré la Secrétaire générale de lâOMM, Celeste Saulo.
Il nây a cependant « pas que des mauvaises nouvelles », selon lâagence, qui indique que « la surveillance et la précision des prévisions se sont améliorées ces dernières années », grâce aux progrès des modèles numériques et des systèmes dâspeak.
De plus, le transport de sable au-dessus des océans présentait certains aspects positifs. Il constitue une source précieuse de nutriments et joue un rôle principal dans la gestion internationale des pêcheries.
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Le rapport sur la Remark des forêts du monde 2024 indique quâil existe des preuves suggérant que le changement climatique rend les forêts plus vulnérables aux facteurs tels que les incendies et les ravageurs.
Lâintensité et la fréquence des incendies de forêt augmentent, y compris dans des zones qui nâétaient pas touchées auparavant. En 2023, les incendies ont libéré environ 6.687 mégatonnes de dioxyde de carbone dans le monde. Les incendies de forêt boréale étaient auparavant responsables dâenviron 10 % des émissions mondiales de dioxyde de carbone.
En 2021, ces incendies ont atteint un nouveau sommet, principalement en raison dâune sécheresse prolongée. Selon la FAO, celle-ci a entraîné une augmentation de la gravité des incendies et de la consommation de combustible, et ont représenté près dâun quart des émissions totales dues aux incendies de forêt.
San Francisco Fireplace Division
Les pompiers de Californie et dâautres events de la côte ouest des Ãtats-Unis ont european du mal à contenir les incendies de forêt.
Production annuelle mondiale de bois de 4 milliards de mètres cubes
Dâune manière générale, le changement climatique rend également les forêts plus vulnérables aux espèces envahissantes, les insectes, les ravageurs et les agents pathogènes menaçant la croissance et la survie des arbres.
Le nématode du pin a déjà causé des dommages importants aux forêts de pins indigènes dans certains pays dâAsie, et des régions dâAmérique du Nord devraient subir des dommages dévastateurs dus aux insectes et aux maladies dâici à 2027.
Par ailleurs, la manufacturing mondiale de bois, quant à elle, reste à des niveaux anecdote. Après une brève baisse pendant la pandémie de Covid-19, la manufacturing est earnings à environ 4 milliards de mètres cubes par an.
Près de 6 milliards de personnes utilisent des produits forestiers non ligneux et 70 % des pauvres de la planète dépendent dâespèces sauvages pour leur alimentation, leurs médicaments, leur énergie, leurs revenus et dâautres usages. Les projections indiquent que la demande mondiale de bois rond pourrait augmenter de 49 % entre 2020 et 2050.
Face à ces défis, le rapport affirme que lâinnovation dans le secteur forestier est un facteur essentiel de progrès dans la réalisation des objectifs de développement durable.
Le bassin du Congo abrite la deuxième plus grande forêt tropicale au monde. Photograph FAO/Giulio Napolitano
Des choices innovantes
Le rapport énumère cinq actions qui permettront dâaccroître lâinnovation dans le secteur forestier : sensibiliser, renforcer les compétences, les capacités et les connaissances en matière dâinnovation, encourager les partenariats transformationnels, garantir un financement plus principal et universellement accessible pour lâinnovation, et fournir un environnement politique et réglementaire incitatif.
Parmi ces innovations pouvant renforcer le potentiel des forêts à relever les défis mondiaux, la FAO mise sur lâintelligence artificielle. Celle-ci pourrait ainsi faciliter lâanalyse automatisée dâun vaste volume de données existantes et futures collectées quotidiennement par des drones, des satellites et des stations spatiales.
« Ce nouveau rapport aidera les Etats membres de la FAO et dâautres events prenantes à favoriser une innovation responsable, inclusive et essentielle dans le secteur forestier afin de renforcer la durabilité et la résilience des systèmes agroalimentaires pour un monde meilleur et un meilleur avenir pour tous », a écrit dans lâavant-propos du rapport, QU Dongyu, Directeur général de la FAO.
A noter que le doc a été publié en marge de la 27ème session du Comité des forêts (COFO), qui se tient au siège de la FAO à Rome jusquâà vendredi. Le COFO est le valuable organe directeur de la FAO en matière de foresterie. Il est chargé dâidentifier les nouvelles questions politiques et ways, de rechercher des choices et de conseiller la FAO sur les mesures à prendre. La réunion de cette année a pour thème « Accélérer les choices forestières par lâinnovation ».
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Le chef de lâONU sâexprimait lors dâune manifestation spéciale sur lâéducation au siège des Nations Unies pour faire le point sur les progrès réalisés près de deux ans après le Sommet sur la transformation de lâéducation qui avait european lieu à New York et quelques mois avant le Sommet du futur prévu en septembre.
Une crise qui ne s’apaise pas
« La crise mondiale de lâéducation ne semble guère en outdated school de sâapaiser », a estimé M. Guterres. « Nous devons nous attaquer à cette crise de manière totalement différente, sans quoi il ne nous sera pas doubtless de façonner un monde plus pacifique, plus durable et plus juste ».
Il a rappelé que « lâéducation ne se résume pas à des connaissances et à des compétences » et quâil sâagit de lâavenir des enfants et des jeunes, mais aussi de lâavenir de la planète et de « nos members of the family mutuelles ».
« L’éducation n’est pas seulement une inquire of d’apprentissage. L’éducation consiste à apprendre à apprendre aussi. Elle s’éhave a tendency au-delà d’une matière ou d’une salle de classe, jusqu’au caractère même des sociétés », a estimé le Secrétaire général.
ONU Files/Daniel Dickinson
Un garçon étudie au tableau dans l’une des nouvelles salles de classe de l’école primaire de Beabo, à Madagascar.
Pour de véritables sociétés de l’apprentissage
Selon M. Guterres, « chaque pays devrait tout faire pour créer de véritables sociétés de l’apprentissage, fondées sur des systèmes qui offrent des possibilités dâapprendre tout au prolonged de la vie, de l’enfance à l’âge adulte ».
Alors que, « compte tenu des enjeux, le monde ne peut se permettre de négliger lâéducation », « câest exactement ce que nous faisons », a-t-il estimé, notant quâen 2030, quelque 84 tens of millions dâenfants pourraient ne toujours pas être scolarisés, et que le taux dâachèvement des études secondaires augmente, mais à un rythme extrêmement lent.
« Il ne suffit pas dâaugmenter le nombre dâélèves dans les salles de classe. Nous devons nous attaquer aussi au problème de la qualité », a ajouté le Secrétaire général, jugeant choquant quâenviron 70 % des enfants dâAfrique subsaharienne soient incapables de lire un texte straightforward à lââge de 10 ans.
L’impression de la pandémie de COVID-19
Il a également observé que les systèmes éducatifs peinent encore à combler les lacunes en matière d’apprentissage et d’assiduité causées par la pandémie de COVID-19, qui a entraîné un nombre historique de fermetures d’écoles et de pertes d’apprentissage pour toute une génération d’élèves â « une crise qui perdure encore aujourd’hui ».
Dans le même temps, les systèmes éducatifs ne dotent pas les apprenants des compétences dont ils ont besoin pour sâépanouir dans un monde qui évolue rapidement. Lâéducation de la slight enfance, la formation professionnelle et lâapprentissage des adultes sont considérés comme facultatifs alors quâil sâagit de moyens éprouvés et essentiels de se extinct tout au prolonged de la vie.
Lâéducation se heurte aussi à un problème de financement. à lâéchelle mondiale, 4 personnes sur 10 vivent dans des pays dont les gouvernements consacrent davantage de ressources au service de la dette quâà lâéducation ou à la santé.
Le Secrétaire général a rappelé que lors du Sommet sur la transformation de lâéducation en 2022, plus de 140 pays ont présenté des engagements nationaux ambitieux pour surmonter cette crise. Il a noté des progrès mais les a jugés « beaucoup trop lents et inégaux ».
© UNESCO/Kilaye Bationo
Azéra Konfé, enseignante au Burkina Faso.
Pour une éducation de qualité
Le Président de lâAssemblée générale des Nations Unies, Dennis Francis, a fait écho aux déclarations du Secrétaire général sur la nécessité dâune transformation.
Il a rappelé sa récente visite au Soudan du Sud où « au moins 70% des enfants éligibles ne sont pas scolarisés ».
Il a également souligné que le déni du droit des filles à lâéducation en Afghanistan et lâimpossibilité dâaccéder à lâéducation en Ukraine et à Gaza en raison dâattaques constantes sont des indicateurs clairs dâune crise insoluble.
« Au-delà de l’accès, nous devons garantir une éducation de qualité pour tous, en favorisant des opportunités d’apprentissage inclusives, équitables et tout au prolonged de la vie qui permettent à chaque individu de s’épanouir dans un monde en évolution rapide », a déclaré M. Francis. « Nous devons combiner notre volonté politique et des actions clairement ciblées pour répondre de manière décisive à ces besoins urgents ».
Belief en quatre aspects
Dans la standpoint du Sommet du futur, le Secrétaire général de lâONU a proposé jeudi un thought en quatre aspects pour mettre fin à la crise mondiale de lâéducation.
- Premièrement, il faut combler le déficit de financement. Mais les pays en développement ne peuvent y parvenir seuls et les donateurs doivent accroître les ressources quâils allouent aux activités de développement liées à lâéducation.
- Deuxièmement, il faut garantir lâaccès. Tous les enfants et les jeunes méritent de recevoir une éducation, quâils se trouvent dans des zones de guerre ou des zones sinistrées, quâils soient migrants ou réfugiés, quâils vivent dans des communautés pauvres et mal desservies, ou quâil sâagisse de filles, de personnes en self-discipline de handicap ou factors dâautres groupes marginalisés.
- Troisièmement, il faut soutenir les enseignants, dans un contexte de pénurie. Il manque en effet 44 tens of millions dâenseignants dans le monde.
- Quatrièmement, il faut transformer les systèmes éducatifs de fond en comble, en repensant le contenu des programmes; en repensant le mode dâapprentissage des élèves â notamment en tirant parti du numérique pour enrichir lâapprentissage et lâenseignement et faciliter lâaccès des élèves dans les zones éloignées ou inaccessibles; et en repensant lâorganisation des temps dâapprentissage afin que chaque personne puisse apprendre et se réorienter tout au prolonged de sa vie.Â
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Ãgé de 39 ans, marié à deux femmes et père de huit enfants, il a été enseignant en mathématiques et sciences physiques dans les écoles privées et ensuite industrial dâune structure de téléphonie cell.
Mama menait sa slight vie paisible dans la commune de Djougou, au nord du Bénin, à 462 km de Cotonou, quand sur le conseil insistant dâun proche parent, après mainte réflexions, il prit un matin ses bagages pour lâaventure clandestine en course de lâEurope.
« Je voulais une vie meilleure à ma vie dâenseignant, je rêvais mieux pour moi et ma famille. Partir de Djougou, jâai fait ma première escale au Niger, ensuite, un 2nd arrêt en Algérie et jâai fini mon parcours à Sfax en Tunisie. Dans quelle situation ?» sâinterroge-t-il le regard dans le vide, rempli de souvenirs et de remords.
Un trajet périlleux quâa connu aussi Mme Yaou* commerçante, âgée de 35 ans, veuve et mère de plusieurs enfants.
« Je rêvais de lâEurope, pour gagner de lâargent et aider mes enfants à étudier et changer la vie de mes fogeys. Jâai pris désection de Malanville au nord du Bénin, mon groupe a fait deux arrêts au Niger, ensuite en Libye, et câest de la Libye je suis allée en Tunisie », se rappelle Mme Yaou.
© UNICEF/Juan Haro
Jeunes migrants au carrefour des régions de Zinder et d’Agadez (characterize d’archives).
Retour au Bénin : résilience et nouveaux déaspects
Pour financer son voyage, Mme Yaou a bénéficié du soutien financier de sa mère et avec le complément de ses économies de commerce.
« Jâai dépensé une distinctiveness somme pour financer mon voyage. Il y a divers groupes de passeurs à qui il faut payer pour le convoyage. Je dormais dans des endroits insalubres, je ne trouvais pas à manger, jâétais malade. A y réfléchir aujourdâhui je pouvais utiliser cette somme pour renforcer mon commerce au pays », déclare, dépitée, Mme Yaou.
Mama, lui, se souvient qu’en partant de Djougou, il avait sur lui « une distinctiveness somme que je préfère ne pas dire ». « Jâai tout dépensé chez les passeurs et jâai été volé. Je nâavais plus aucun franc pour me nourrir. Quand on traversait le désert à pied, une dame a perdu la vie, elle était souffrante et avait soif. Câétait pénible. Elle est morte sans quâon ne pût rien faire pour elle », dit-il.
Après avoir échoué à traverser la mer, Mama a décidé de contacter les Nations Unies, en lâincidence lâOrganisation internationale pour les migrations (OIM), pour faciliter son retour au pays.
« Au cours de la traversée de la mer les garde-côtes nous ont interceptés, dâautres migrants se sont jetés dans la mer et se noyaient. Une fois à la rive, lâidée de rentrer au pays mâa traversé lâesprit car je ne pouvais plus continuer à souffrir au risque de perdre ma vie », a avoué Mama, très heureux de retrouver son pays.
« Câest mieux de rester dans son pays que de rester dans un autre clandestinement. Quand jâai appris que lâOIM recensait les gens qui veulent rentrer volontairement, jâai sauté sur lâoccasion », a ajouté Mme Yaou.
Câest ainsi que le 28 mai 2024, 173 migrants (145 hommes, 28 femmes) ont choisi de rentrer volontairement avec lâaid de l’OIM au Bénin, en étroite collaboration avec le gouvernement du Bénin.
« Je suis heureux de retrouver ma terre, mon pays. Jâai lâesprit plus calme et je vais me relancer dans mes activités pour construire ma vie ici à Djougou. Je peux réussir ici avec la même volonté que jâavais pour traverser le désert, la mer. Je suis prêt à sensibiliser dâautres personnes à ne pas commettre la même erreur de voyager de manière irrégulière mais de sâinformer sur les doubtless picks à la migration irrégulière et les opportunités locales », a déclaré fièrement Mama dès son retour.
à leur arrivée, les migrants de retour volontaire ont reçu une aid immédiate de l’OIM Bénin, comprenant la fourniture de nourriture, d’eau, de kits d’hygiène, d’argent de poche pour les besoins immédiats comme le transport vers les zones de retour définitif, notamment Djougou et ses environs, les migrants obtiendront une aid, pour la mise en location dâactivités génératrices de revenu dans le cadre de leur réintégration.
En parallèle, les agents des ministères en price des Affaires Sociales et de la Santé ont apporté un appui psychologique et sanitaire aux migrants.
La Coordonnatrice résidente du système des Nations Unies au Bénin, Aminatou Sar, a réitéré lâengagement de tout le système à appuyer le gouvernement du Bénin pour une prise en price adéquate des migrants de retour et surtout pour travailler en amont pour éviter les voyages clandestins qui endeuillent les familles.
*Pseudonymes
Article produit par Yézaël Adoukonou, Chargé de communication au Bureau de la Coordonnatrice résidente au Bénin, et Joseph Kizerb, Chargé de communication à lâOIM.
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Selon le Haut-Commissariat de lâONU pour les réfugiés (HCR), ces intempéries ont été provoquées par de fortes tempêtes qui ont frappé lâest du pays depuis le lundi 15 juillet, causant des dégâts aux routes, aux ponts, aux maisons et aux bâtiments publics.
« On sâabet à ce que les chiffres augmentent lorsque les équipes de secours et dâévaluation auront accès à davantage de zones », a déclaré lors dâun point de presse à Genève, Babar Baloch, porte-parole du HCR.
LâAfghanistan fait partie des pays les plus exposés aux prerequisites météorologiques extrêmes et aux risques naturels, tels que les sécheresses et les tempêtes. Il est également lâun des moins bien préparés à sâadapter à lâimpression du changement climatique, après quatre décennies de conflits, dâinsécurité et dâinstabilité.
Les dernières inondations font suite aux crues soudaines et dévastatrices du mois de mai, qui ont touché de vastes zones du nord, du nord-est et de lâouest de lâAfghanistan, faisant plus de 683 morts et blessés, et endommageant largement les infrastructures, les habitations et les terres agricoles.
Zones encore inaccessibles en raison des routes et des ponts endommagés
En réponse aux dernières inondations et tempêtes de cette semaine, des équipes conjointes dâévaluation humanitaire comprenant le HCR et des partenaires locaux ont été déployées dans les zones touchées pour déterminer lâimpression, les besoins humanitaires et identifier les familles ayant besoin dâaide. De nombreuses zones sont encore inaccessibles en raison des routes et des ponts endommagés.
Face à ces besoins urgents, lâAfghanistan a besoin de « lâattention et du soutien continus de la communauté internationale ». LâONU souligne quâil faut de toute urgence des fonds additionnels pour aider les gens et protéger les familles qui vivent à lâair libre ou dans des abris de fortune.
Sur lâappel humanitaire 3 milliards de dollars, lâONU moins du quart de ce dont elle a besoin cette année, soit quelque 720 tens of millions de dollars.
A noter que lâAfghanistan reste lâune des pires crises humanitaires au monde, avec plus de 23 tens of millions de personnes qui devraient avoir besoin dâaide cette année.
Depuis le dénonetheless de lâannée, les Nations Unies estiment que plus de 145.000 personnes ont été touchées par des catastrophes dans lâensemble de lâAfghanistan, 33 des 34 provinces ayant connu une forme ou une autre dâévénement climatique extrême au cours de cette période.
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Le Dialogue board mondial de lâharmonisation des règlements concernant les véhicules (WP.29) de la Fee économique des Nations Unies pour lâEurope (CEE-ONU) a adopté un amendement à la Règle #1 de lâAccord de 1997 qui permet dâintroduire une procédure dâessai plus robuste pour mesurer les émissions de particules dâéchappement lors des contrôles ways périodiques pour tous les véhicules légers à moteur diesel (voitures particulières et camionnettes) équipés dâun filtre à particules diesel.
La nouvelle procédure est réalisée à lâaide dâun instrument de comptage des particules (PN-PTI), qui fournit une évaluation plus précise des émissions de gaz dâéchappement et permet ainsi de mieux identifier les véhicules à fortes émissions qui sont responsables de la majorité de la air pollution atmosphérique due à la circulation dans les zones urbaines.
Un moyen fiable et rapide
Le test PN-PTI constitue un moyen fiable et rapide de détecter les véhicules à fortes émissions et peut aider à déceler lâenlèvement et la falsification des filtres à particules ou dâautres dysfonctionnements. Il est réalisé au ralenti, avec le véhicule à lâarrêt, à lâaide dâun testeur PN transportable.
Ce nouvel amendement est le dernier dâune série de décisions réglementaires adoptées par le Dialogue board mondial visant à assurer lâharmonisation mondiale des essais de contrôle technique périodique afin de garantir que tous les véhicules déployés sur la route sont sûrs et propres.
Le test PN-PTI remplace les anciennes méthodes basées sur la mesure des fumées (exams dâopacité des fumées) qui ne sont pas assez sensibles pour les moteurs diesel modernes.
Le test est appropriate aux véhicules diesel équipés de filtres répondant à certaines normes dâémission, qui ont récemment été déployées en Belgique, en Allemagne, aux Will pay-Bas et en Suisse, où ce nouveau dispositif a prouvé sa rentabilité et son efficacité dans la détection des grands émetteurs, selon la CEE-ONU.
Une plateforme mondiale engaging
Suite à lâentrée en vigueur de lâamendement à la Règle n° 1 des Nations Unies le 21 juin 2024, toutes les events contractantes à lâAccord de 1997 ont désormais la possibilité de déployer le test PN-PTI, qui a le potentiel de réduire lâimpression nocif des gaz dâéchappement des véhicules sur la qualité de lâair, la santé et lâenvironnement.
Le Dialogue board mondial de lâharmonisation des règlements concernant les véhicules, hébergé par la CEE-ONU, est une plateforme mondiale engaging responsable des cadres réglementaires concernant la sécurité et la performance environnementale des véhicules, de leurs sous-systèmes et de leurs pièces.â¯â¯
Le Dialogue board mondial gère trois accords mondiaux sur les véhicules : lâaccord de 1958 (règlements de lâONU), lâaccord de 1998 (règlements ways mondiaux de lâONU) et lâaccord de 1997 (règles de lâONU sur les contrôles ways périodiques). Tout pays membre des Nations Unies peut participer aux activités du Dialogue board mondial et adhérer aux accords.â¯
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