Les universités d’Angers, de Montpellier ou encore de Paris-Est Créteil avaient déjà franchi le pas. C’est au tour de Sciences Po Lyon d’annoncer ce mercredi la mise en assign de jours de congé pour les étudiantes souffrant de « règles incapacitantes ».
Les étudiantes auront droit jusqu’à quinze jours de congé menstruel par an, explique France recordsdata, une knowledge confirmée par Sciences Po Lyon sur leur residence Web. Une déclaration sur l’honneur sera suffisante pour en bénéficier. Les étudiantes pourront aussi fournir « une attestation délivrée par un professionnel de santé agréé, que ce soit un médecin, une sage-femme ou un provider de santé universitaire », détaille l’institution, qui veut, avec cette initiative, « garantir un environnement d’étude inclusif et bienveillant ».
En France, l’université d’Angers avait été une des premières à mettre en assign une telle mesure à la rentrée 2023. Les étudiantes peuvent bénéficier de dix jours de congé menstruel par an, sans avoir besoin de fournir un justificatif médical.