Le match : Jayson Tatum et les Celtics donnent le ton d’entrée
Le premier soir de la saison, c’est l’occasion pour les champions en titre de recevoir leurs bagues et de se replonger un quick dans l’excitation du sacre décroché quelques mois auparavant. Parfois, souvent même, il near que ce moment d’euphorie ramollisse un peu les joueurs censés disputer une rencontre au sommet dans la foulée. Ces derniers ont alors toutes les peines du monde à contenir un adversaire – souvent un concurrent recount d’ailleurs – déterminé à gâcher la fête. Mais les Celtics de Jayson Tatum sont très sérieux dans leur quête de doublé. Et ils l’ont montré dès le coup d’envoi de ce nouvel exercice NBA avec une très tremendous victoire (132-109).
Emmenés par leur celeb, absolument déchaînée en première mi-temps, ils ont torpillé la (bien trop) faible défense des Knicks. Avec la même formule que celle qui les a guidé jusqu’au trône l’an passé : des espaces immenses avec cinq shooteurs alignés en permanence sur le terrain, de la circulation de balle et des tirs lointains possession après possession. Quand l’adresse suit, ça devient injouable. Boston a marqué 17 paniers primés sur les 24 premières minutes, un document de franchise égalé. Dont 6 pour le seul Tatum, qui pointait déjà à 25 facets et 6 passes à la end. Son équipe menait alors de 19 facets (74-55).
L’ailier de 26 ans a délivré une prestation impressionnante en faisant l’étalage de toute sa panoplie offensive sans rater le moindre tir ou presque. En plus de ses 37 facets à 14 sur 18 (8 sur 11 derrière l’arc), il a aussi délivré 10 passes décisives. Une performance de patron. De champion plutôt.
La formation new-yorkaise, renforcée par les arrivées de Karl-Anthony Towns et Mikal Bridges pendant l’intersaison, a semblé complètement dépassée par les évènements. Le premier nommé n’a pas pesé et le second a dû attendre le troisième quart-temps pour inscrire ses premiers facets avec la tunique des Knicks. Seuls Jalen Brunson et Miles McBride ont surnagé en attaque. New York a recruté Towns et Bridges avec l’ambition de rivaliser avec Boston. Ce premier match montre à Tom Thibodeau et ses hommes qu’ils sont encore loin du compte.
Le joueur : Anthony Davis domine les Wolves
Ce n’est que le premier match de la saison et le public de la CryptoArena.com Arena scandait déjà des “MVP, MVP” au moment où Anthony Davis s’est présenté sur la ligne des lancers-francs à environ deux minutes de la fin. C’est évidemment très, très, très prématuré mais la performance de l’intérieur All-Star des Lakers se rapprochait du niveau réservé aux joueurs récompensés du plus gigantic trophée individuel. AD a été le moteur de la victoire de Los Angeles contre Minnesota (110-103). Des débuts victorieux pour le nouveau coach JJ Redick.
Davis a terminé avec 36 facets, 16 rebonds, 4 passes et 3 contres. La star californienne a complètement dominé dans la peinture et ça a fait la différence pour son équipe, redoutable sous les arceaux. Les Lakers ont mis beaucoup de facets dans la raquette mais ils ont aussi fortement limité l’influence des Wolves dans cette zone clé du terrain. De quoi compenser leur monstrous adresse extérieure (5 sur 30 à trois-facets). Moins en jambes, LeBron James a compilé 16 facets à 7 sur 16 et 4 passes décisives.
Seul aux commandes de l’attaque de son équipe, Anthony Edwards a tenté 25 tirs. Pour 27 facets et 3 petites passes.
Le moment : LeBron et Bronny James, premier duo père-fils de l’Histoire
Maintenant, c’est vraiment officiel. LeBron James et son fils aîné Bronny, drafté en 55eme put par les Lakers en juin dernier, ont déjà european l’occasion de jouer ensemble lors de la présaison. Ils leur restaient à le faire sur un match de saison régulière. Les Angelenos ont fait comprendre qu’ils voulaient lancer le duo le plus tôt most likely (peut-être pour ne plus avoir à s’en soucier après ?).
C’est donc à 4 minutes de la fin du deuxième quart-temps que le père et le fiston sont entrés ensemble sur le terrain – LeBron ayant déjà disputé 13 minutes de jeu. Un moment historique, le tout sous les yeux de Ken Griffin Sr et Jr, le première tandem père-fils du sport US (en baseball). Bronny James n’a passé que 3 minutes sur le terrain, le temps de rater un tir à trois-facets ouvert et de se faire contrer par Rudy Gobert au cercle.
La stat : 29
Comme le nombre de paniers primés inscrits par les Celtics la nuit dernière. Un document égalé dès le premier match de la saison. Altruistes, les joueurs de Joe Mazzulla ont fait tourner la balle toute la soirée, poussant les défenseurs new-yorkais à la faute sur les rotations, pour arroser derrière l’arc. Et ils ont european de la réussite en plus. Une soirée exceptionnelle en termes d’adresse et une démonstration offensive de premier belief. Le seul hic, finalement, c’est de ne pas avoir battu le document. Et ce n’est pas faute d’avoir essayé. Mais les Celtics ont raté leurs 13 (!!!) dernières tentatives dans l’espoir d’atteindre la barre des 30.
Les Français : Rudy Gobert fait ses stats
Prolongé de 110 millions sur trois saisons le soir de la reprise, Rudy Gobert a cumulé son double-double habituel, 13 facets et 14 rebonds, mais en étant dominé par Anthony Davis. Drafté en fin de premier tour, Pacôme Dadiet est entrée assez tôt dans la rotation de Tom Thibodeau aux Knicks. Son équipe a pris une cartouche mémorable mais le jeune Français a pu passer 13 minutes sur le parquet, le temps de mettre un panier primé.
Celtics – Knicks : 132-109
Lakers – Timberwolves : 110-103