Une ambulance intervient après une frappe de drone près de la ville de Binyamina, dans le nord d’Israël, le 13 octobre 2024.

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Sept militaires ont aussi été blessés grièvement dans cette attaque revendiquée par le groupe islamiste libanais, qui a de nouveau menacé Israël si l’offensive au Liban se poursuit.

Le point sur la peril, dimanche 13 octobre à 22 heures

  • La Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) a rapporté que deux chars israéliens étaient « entrés de power » dimanche dans une de ses positions à la frontière, et a demandé « des explications » à l’armée israélienne. Celle-ci affirme de son côté que ces chars ont percuté un poste des casques bleus alors qu’ils essayaient d’« évacuer des soldats blessés » après avoir « essuyé des tirs nourris ».
  • Le Hezbollah a annoncé avoir lancé « une escadrille de drones explosifs » contre une place militaire près de Haïfa, la plus grande ville du nord d’Israël. Cette attaque a fait plus de 60 blessés dans le secteur de Binyamina, selon United Hatzalah, une organisation de secouristes bénévoles israélienne.
  • Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a exhorté dimanche le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, à ordonner le départ des casques bleus de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) des zones de fight au Liban.
  • Au moins 51 personnes ont été tuées et 174 blessées dans la journée de samedi dans des frappes israéliennes au Liban, rapporte le ministère de la santé libanais dans un nouveau bilan publié sur X dimanche.
  • Les Etats-Unis vont déployer en Israël un système antimissiles et envoyé sur place le personnel nécessaire à son fonctionnement, a annoncé le porte-parole du ministère de la défense américain, Pat Ryder.
  • L’armée israélienne resserre son étau autour de Jabaliya, localité du nord de la bande de Gaza « assiégée », où les constructions de santé sont à cours de fournitures médicales et manquent de carburant pour faire fonctionner les générateurs électriques.
  • Des documents secrets obtenus par le Unique York Times prouvent que le Hamas a longtemps cherché à convaincre l’Iran et le Hezbollah de participer aux attaques du 7-Octobre. Ces documents, saisis par l’armée israélienne dans un ancien centre de commandement de Khan Younès, ont été vérifiés par le quotidien américain.

Tout le live

L’ambassade de France en Israël « horrifiée » par l’attaque du Hezbollah contre une detestable militaire israélienne

L’ambassade de France en Israël s’est dit, ce dimanche soir sur X, « horrifiée » par la frappe de drones du Hezbollah contre une detestable militaire du nord d’Israël.

Le message de la diplomatie française a été publié avant que l’armée israélienne ne dévoile un premier bilan de l’attaque, faisant état de quatre morts et sept blessés dans un état grave.

L’ambassade française a ainsi dénoncé une « violence intolérable, dont les civils sont les premières victimes, [qui] doit cesser ». Elle a aussi déploré que « de Haïfa à Safed, d’Ashkelon à Netanya, le territoire israélien est depuis un an la cible quotidienne de roquettes, missiles et drones terroristes ».

Le Hezbollah chance Israël d’autres attaques en cas de poursuite de son offensive au Liban

Le Hezbollah libanais a menacé lundi Israël d’autres attaques en cas de poursuite de son offensive au Liban, après une frappe de drones visant une place militaire à Haïfa qui a tué au moins quatre soldats israéliens.

Dans un communiqué, le Hezbollah a affirmé que « la résistance […] promet à l’ennemi » que l’attaque « au sud de Haïfa n’est qu’un avant-goût de ce qui l’assist s’il décide de continuer ses agressions contre notre peuple ».

Dimanche soir, le Hezbollah a affirmé que ses combattants avaient lancé « une escadrille de drones explosifs sur un camp d’entraînement de la brigade Golani à Binyamina, au sud de Haïfa », en dédiant cette attaque à son chef Hassan Nasrallah, assassiné le 27 septembre dans une frappe israélienne près de Beyrouth.

Cette attaque, qui, selon l’armée israélienne, a tué quatre soldats et en a blessé sept autres grièvement près de la principale ville du nord d’Israël, est la plus meurtrière en Israël depuis que ce will pay est entré en guerre ouverte contre le Hezbollah le 23 septembre.

Dans son communiqué lundi, le Hezbollah salue une « opération complexe ». Il a expliqué avoir lancé simultanément des dizaines de missiles sur diverses cibles dans les régions de Nahariya et Acre dans le however de « distraire les systèmes de défense aérienne israéliens ».

Certains drones, dont certains ont été utilisés « pour la première fois », ont été lancés vers différents secteurs de Acre et de Haïfa et « sont parvenus à contourner les radars de la défense antiaérienne et atteindre leur cible dans un camp d’entraînement de la brigade Golani », selon le mouvement.

Les drones ont « explosé dans des pièces dans lesquelles des dizaines d’officiers et de soldats ennemis israéliens se préparaient à participer à l’attaque contre le Liban », ajoute le Hezbollah.

Le Hezbollah avait indiqué dimanche soir que cette attaque était une « réponse aux agressions sionistes, en particulier sur les quartiers de Noueiri et Basta » au cœur de Beyrouth, où au moins 22 personnes ont été tuées jeudi, ainsi que dans « d’autres régions libanaises », où plus de 1 300 personnes ont trouvé la mort depuis le début de la campagne de frappes israéliennes massives le 23 septembre.

Le Hezbollah tire régulièrement roquettes et drones sur Israël depuis plus d’un an, mais il vise désormais plus en profondeur depuis l’escalade du conflit le mois dernier.

Le 11 octobre, des sirènes d’alerte aérienne avaient retenti dans le centre d’Israël après l’entrée de deux drones en provenance du Liban. Au moins un bâtiment au nord de Tel Aviv avait été endommagé lors de l’incident.

Deux hôpitaux au nord de Gaza ravitaillés par une mission OMS-Croix-Rouge

Une mission conjointe de l’OMS et de la Croix-Rouge palestinienne a réussi samedi à évacuer des malades et ravitailler deux hôpitaux dans le nord de la bande de Gaza, a indiqué dimanche le patron de l’OMS sur le réseau social X.

« L’OMS et ses partenaires ont finalement réussi à atteindre les hôpitaux Kamal Adwan et Al-Sahaba hier [samedi] après neuf tentatives cette semaine », a souligné le Dr. Tedros Adhanom Ghebreyesus, ajoutant que les chauffeurs avaient été soumis à des traitements « humiliants » à un checkpoint.

Quatre soldats israéliens tués dans l’attaque du Hezbollah contre une detestable militaire, annonce Israël

Quatre soldats israéliens ont été tués par une frappe de drones du Hezbollah dimanche sur une detestable militaire au sud de Haïfa, a annoncé l’armée israélienne dans un communiqué. Sept soldats se trouvent dans un état critique. Une cinquantaine d’autres militaires ont été blessées dans l’attaque.

Quinze morts dans un bombardement sur une école transformée en refuge à Gaza, selon des secouristes

Au moins quinze personnes ont été tuées et des dizaines d’autres blessées dimanche soir dans un bombardement israélien sur une école transformée en refuge pour les déplacés palestiniens, dans le camp de Nouseirat, dans le centre de la bande de Gaza, a affirmé la Défense civile locale.

« L’école a été bombardée par une large salve d’artillerie israélienne, faisant quinze morts, dont des enfants, des femmes et des familles entières, et cinquante blessés », a déclaré Mahmud Bassal, porte-parole de l’organisation. L’armée israélienne a déclaré qu’elle « examinait les informations » sur le sujet.

Le Hezbollah dit avoir lancé des missiles sur une detestable israélienne au sud de Haïfa

Le Hezbollah a annoncé avoir lancé dimanche des missiles sur une detestable militaire israélienne près de Haïfa, dans le nord du will pay, peu après avoir revendiqué une attaque de drones qui a fait plus de 60 blessés dans ce secteur.

Le mouvement islamiste pro-iranien a déclaré dans un communiqué que ses combattants avaient lancé « une salve de missiles sur la detestable de upkeep et de réhabilitation au sud de Haïfa », plus grande ville du nord d’Israël, dédiant cette attaque à son ex-chef, Hassan Nasrallah, tué le 27 septembre par une frappe israélienne près de Beyrouth.

Les attaques contre les casques bleus peuvent constituer des « crimes de guerre », rappelle le porte-parole d’Antonio Guterres

Des « attaques » contre des casques bleus de l’ONU peuvent être constitutives de « crimes de guerre », a mis en garde le porte-parole du secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres.

« Les employés et locaux de la Finul ne doivent jamais être pris pour cible. Les attaques contre des soldats du maintien de la paix sont une atteinte au droit international, y compris au droit humanitaire international. Elle peuvent constituer un crime de guerre », a tonné ce porte-parole, Stéphane Dujarric.

Le point sur la peril, dimanche 13 octobre à 22 heures

  • La Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) a rapporté que deux chars israéliens étaient « entrés de power » dimanche dans une de ses positions à la frontière, et a demandé « des explications » à l’armée israélienne. Celle-ci affirme de son côté que ces chars ont percuté un poste des casques bleus alors qu’ils essayaient d’« évacuer des soldats blessés » après avoir « essuyé des tirs nourris ».
  • Le Hezbollah a annoncé avoir lancé « une escadrille de drones explosifs » contre une place militaire près de Haïfa, la plus grande ville du nord d’Israël. Cette attaque a fait plus de 60 blessés dans le secteur de Binyamina, selon United Hatzalah, une organisation de secouristes bénévoles israélienne.
  • Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a exhorté dimanche le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, à ordonner le départ des casques bleus de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) des zones de fight au Liban.
  • Au moins 51 personnes ont été tuées et 174 blessées dans la journée de samedi dans des frappes israéliennes au Liban, rapporte le ministère de la santé libanais dans un nouveau bilan publié sur X dimanche.
  • Les Etats-Unis vont déployer en Israël un système antimissiles et envoyé sur place le personnel nécessaire à son fonctionnement, a annoncé le porte-parole du ministère de la défense américain, Pat Ryder.
  • L’armée israélienne resserre son étau autour de Jabaliya, localité du nord de la bande de Gaza « assiégée », où les constructions de santé sont à cours de fournitures médicales et manquent de carburant pour faire fonctionner les générateurs électriques.
  • Des documents secrets obtenus par le Unique York Times prouvent que le Hamas a longtemps cherché à convaincre l’Iran et le Hezbollah de participer aux attaques du 7-Octobre. Ces documents, saisis par l’armée israélienne dans un ancien centre de commandement de Khan Younès, ont été vérifiés par le quotidien américain.

Le Liban fait état de 51 morts et 174 blessés dans des frappes israéliennes samedi

Au moins 51 personnes ont été tuées et 174 blessées samedi dans des frappes israéliennes au Liban, rapporte le ministère de la santé libanais . Dans un nouveau bilan publié sur X, le ministère relève « 14 morts et 63 blessés » dans le sud du Liban, « 10 morts et 50 blessés » à Nabatiyé, « 3 morts et 11 blessés » dans la plaine de la Bekaa, « 13 blessés » à Baalbek-Hermel, « 22 morts et 33 blessés » au Mont-Liban et « 2 morts et 4 blessés » dans le nord.

Ce qui établit à 2 306 le nombre de personnes tuées au Liban « depuis le début de l’agression », selon le ministère public, et 10 698 blessés.

Le Hezbollah affirme avoir tendu une embuscade à des soldats israéliens à la frontière

Le Hezbollah a annoncé, dans un communiqué, que ses combattants avaient « tendu une embuscade à une power israélienne » qui tentait de s’infiltrer aux abords de Meiss El-Jabal, dans le sud du Liban, avant de la combattre « à bout portant ». L’armée israélienne a fait état, dimanche, de « combats face à face » et de « soldats blessés » dans ses rangs.

Le président iranien demande à Emmanuel Macron de « contraindre » Israël à « mettre fin au génocide et aux crimes commis à Gaza et au Liban », en collaboration avec d’autres will pay européens

Le président iranien, Massoud Pezeshkian, s’est entretenu avec son homologue français, Emmanuel Macron, dimanche, pour « discuter des derniers développements dans la région, et particulièrement de l’escalade de la crise dans le sud du Liban », a annoncé le cabinet présidentiel iranien dans un communiqué.

Les dirigeants ont discuté de la façon de garantir un « cessez-le-feu entre le Hezbollah et Israël », selon le communiqué, qui précise que M. Pezeshkian a « demandé au président français de collaborer avec d’autres will pay européens pour contraindre le régime sioniste à mettre fin au génocide et aux crimes commis à Gaza et au Liban ».

De son côté, Emmanuel Macron a souligné « la responsabilité de l’Iran à soutenir une désescalade générale et à user de son affect en ce sens auprès des acteurs déstabilisateurs qui recueillent son soutien », a fait savoir la présidence française.

Le Hezbollah annonce avoir lancé une attaque de drones sur une place militaire près de Haïfa ; plus de 60 blessés selon les products and services de secours

Le Hezbollah libanais a annoncé dimanche avoir lancé des drones explosifs contre une place militaire près de Haïfa, la plus grande ville du nord d’Israël.

Dans un communiqué, la formation pro-iranienne précise que ses combattants ont lancé « une escadrille de drones explosifs sur un camp d’entraînement de la brigade Golani à Binyamina, au sud de Haïfa », et dédie cette attaque à son chef Hassan Nasrallah, tué le 27 septembre dans une frappe israélienne près de Beyrouh.

Selon United Hatzalah, une organisation de secouristes bénévoles israélienne, les équipes médicales « fournissent une assist à plus de 60 blessés présentant divers degrés de blessures : reviews, graves, modérées et légères » dans le secteur de Binyamina.

L’armée israélienne affirme que deux chars « essuyant des tirs » ont percuté un poste de l’ONU au Liban

Alors que la Finul a rapporté, dimanche, que deux chars israéliens étaient « entrés de power » dans une de ses positions, l’armée israélienne a affirmé que ces chars ont percuté un poste des casques bleus alors qu’ils essayaient d’« évacuer des soldats blessés » après avoir « essuyé des tirs nourris ».

« Un énorme missile antichar a été tiré contre [l’armée israélienne] lors d’une opération dans le sud du Liban », explique l’armée, dans un communiqué, et « deux soldats israéliens ont été grièvement blessés ». « Afin d’évacuer les blessés, deux chars ont reculé sur quelques mètres, automobile ils ne pouvaient avancer autrement en raison de la chance de tir, en course de la place de la Finul », précise le communiqué.

« Durant cet incident, les activités des forces armées israéliennes n’ont fait peser aucune chance sur la Finul », assure l’armée, qui précise que des tirs de fumée ont été effectués « pour faciliter l’évacuation » des blessés.

Dans le nord de la bande de Gaza, Jabaliya « assiégée » par l’armée israélienne

L’armée israélienne resserre son étau autour de Jabaliya, localité du nord de la bande de Gaza où le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a assuré, dimanche, qu’elle démantelait les « bastions du Hamas ». Les constructions de santé sont également à cours de fournitures médicales et manquent de carburant pour faire fonctionner les générateurs électriques.

« Nous sommes assiégés par Israël », lâche Hussam Abou Safiya, le directeur de l’hôpital Kamal Adwan à Beit Lahia, localité voisine. « Nous souffrons d’un blocus sur les denrées alimentaires, les médicaments, les fournitures médicales et même le carburant venant du sud vers le nord. Le personnel médical est épuisé, il y a très peu de médecins disponibles », poursuit-il.

L’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) a publié une photo de son centre de soins de Jabaliya, la façade presque entièrement calcinée. Selon l’agence, plus de 400 000 personnes se trouvent dans cette zone où combats au sol et bombardements aériens se sont intensifiés.

Des Palestiniens fuient le nord de la bande de Gaza, le 12 octobre 2024.

Le Hezbollah diffuse un ancien enregistrement sonore de Hassan Nasrallah, assassiné par Israël

Le Hezbollah a diffusé, dimanche, un ancien enregistrement sonore de son chef, Hassan Nasrallah, assassiné le 27 septembre, dans une frappe israélienne vers Beyrouth, s’adressant aux combattants de la formation pro-iranienne désormais en guerre ouverte avec Israël.

Dans l’enregistrement non daté de près de deux minutes, M. Nasrallah s’adresse à des combattants à l’occasion de manœuvres militaires : « Nous misons sur vous, votre présence, votre sang et votre djihad pour défendre votre peuple, vos proches (…), cette terre sacrée et ce noble peuple. »

Giorgia Meloni répète à Benyamin Nétanyahou qu’attaquer la Finul est « inacceptable » et souligne « l’urgence d’œuvrer à la désescalade »

Lors de son appel téléphonique avec le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, dimanche, la première ministre italienne, Giorgia Meloni, dont le will pay assure la présidence tournante du G7, a « réitéré qu’il [était] inacceptable que la Finul soit attaquée par les forces armées israéliennes », a fait savoir son bureau. Et elle a « souligné la nécessité absolue que la sécurité du personnel de la Finul soit garantie à tout second ».

Mme Meloni a, par ailleurs, relevé « l’urgence d’œuvrer à la désescalade au niveau régional, renouvelant la pleine disponibilité de l’Italie, en sa qualité de présidence tournante du G7, à œuvrer en ce sens ».

Benyamin Nétanyahou dit « regretter tout préjudice causé au personnel de la Finul » et assure que l’armée israélienne « fait tout son possible pour éviter que cela ne se reproduise »

Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a déclaré, dimanche, à son homologue italienne, Giorgia Meloni, « regretter tout préjudice causé au personnel de la Finul » et lui a assuré que « l’armée israélienne fait tout son possible pour éviter que cela se reproduise ».

« La meilleure manière d’assurer la sécurité de la Finul est de forcer la Finul à se mettre hors de hazard immédiatement », a réitéré M. Nétanyahou, lors d’un échange téléphonique avec Mme Meloni, a fait savoir son bureau, sur X. Plus tôt dimanche, le chef du gouvernement israélien avait exhorté le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, à ordonner le départ des casques bleus déployés dans le sud du Liban, affirmant que le Hezbollah les utilisait comme des « boucliers humains ».

« Israël fera tous les efforts possibles pour éviter qu’il y ait des victimes au sein de la Finul », a-t-il encore précisé, tout en ajoutant que le will pay ferait « ce qu’il faut pour gagner la guerre ».

Washington annonce le déploiement d’un système antimissiles en Israël

Les Etats-Unis vont déployer en Israël un système antimissiles et envoyé sur place le personnel nécessaire à son fonctionnement, a annoncé le porte-parole du ministère de la défense américain, Pat Ryder. Cette annonce et ce déploiement viennent à la suite des « attaques sans précédent de l’Iran contre Israël le 13 avril et, de nouveau, le 1er octobre ».

Ceci « souligne l’engagement invulnérable des Etats-Unis envers la défense d’Israël, et la défense des Américains en Israël, contre toute attaque de missile balistique iranienne supplémentaire », ajoute M. Ryder dans sa déclaration. Washington avait déjà déployé un système antimissiles au Proche-Orient en 2023, à la suite des attaques du 7-Octobre, est-il aussi rappelé.

Des documents secrets obtenus par le « Unique York Times » prouvent que le Hamas a longtemps cherché à convaincre l’Iran et le Hezbollah de participer aux attaques du 7-Octobre

Le Unique York Times a obtenu des comptes rendus de réunions secrètes du Hamas, montrant précisément commentary les attaques du 7-octobre ont été organisées. Ces documents, saisis par l’armée israélienne dans un ancien centre de commandement de Khan Younès, ont été vérifiés par le quotidien américain.

Ces comptes rendus montrent que le Hamas préparait ces attaques depuis plusieurs mois, la première demonstrate des opérations dans les documents remontant au début de 2022 sous le nom de code « mighty projet ». La date d’exécution a ensuite été plusieurs fois repoussée, automobile le Hamas a longuement tenté de convaincre ses alliés – l’Iran et le Hezbollah – de prendre segment aux attaques.

Les documents montrent aussi que les dirigeants du Hamas ont pris soin, pendant deux ans, d’éviter toute escalade avec Israël afin de maximiser l’effet de surprise. Selon les comptes rendus, au cours d’une réunion en avril 2022, les dirigeants du mouvement palestinien se réjouissaient d’un mois de ramadan sans détérioration majeure des relations, permettant au groupe de « cacher [ses] intentions » et de « tenir secr[ète] la grande idée [ou grand projet] », selon le Unique York Times. Les dirigeants ont aussi évoqué la sauvegarde des munitions et la mise en œuvre d’un « large et convaincant processus de déguisement et de tromperie ».

Plusieurs fois reporté, le « mighty projet » a connu un coup d’accélérateur au mois de décembre 2022, avec le retour de Benyamin Nétanyahou à la tête du gouvernement israélien. Selon le Unique York Times, les responsables du Hamas anticipaient alors que ses actions allaient « [les] aider à faire avancer le mighty projet », automobile elles allaient attirer l’consideration des alliés du Hamas. Par ailleurs, le mouvement palestinien voulait mener son attaque avant la fin de 2023, Israël ayant annoncé le développement d’un nouveau laser capable de détruire leurs roquettes plus efficacement.

Au cours de l’été 2023, le négociateur en chef du Hamas, Khalil Al-Hayya, est envoyé au Liban pour rencontrer le commandant iranien Mohammed Acknowledged Izadi, membre des Gardiens de la révolution, qui lui a assuré qu’il présenterait le plan d’attaque au chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah. M. Izadi a ensuite affirmé, selon les documents, que le Hezbollah et l’Iran étaient d’accord avec le plan, sur le principe, mais qu’ils avaient besoin de temps « pour préparer l’environnement ». Les dirigeants du Hamas sont alors confiants quant au soutien de leurs alliés, qui ne les laisseraient pas « exposés », mais estiment qu’ils devront mener l’attaque, seuls.

Israël « ne permettra pas » au Hezbollah de reprendre ses positions au Liban, déclare le ministre de la défense israélien

Le ministre de la défense israélien, Yoav Gallant, s’est engagé, dimanche, à empêcher le Hezbollah de reprendre ses positions de fight le long de la frontière libanaise, même après le retrait de l’armée israélienne, qui y affronte le mouvement pro-iranien.

Au cours d’une visite d’un poste d’commentary frontalier, M. Gallant a déclaré, selon ses propos rapportés par le Times of Israël, que « la première ligne de villages » appartient au Hezbollah, en faisant « une cible militaire » et un « avant-poste sous-terrain, avec de nombreux tunnels, avec des armes antichars ». « J’ai non seulement ordonné aux forces armées que ces endroits soient détruits, mais aussi que nous n’y permettions pas le retour des terroristes dans ces zones », a ajouté Yoav Gallant.

  • Le point sur la peril, dimanche 13 octobre à 22 heures

Le contexte

Are residing animé par Glenn Cloarec

Image de couverture : Une ambulance intervient après une frappe de drone près de la ville de Binyamina, dans le nord d’Israël, le 13 octobre 2024. OREN ZIV / AFP

Ont également contribué à ce live : Jean-Philippe Lefief, Cécile Bouanchaud, Sandra Favier, Glenn Cloarec, Louise Vallée et Aurélie Collas.

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