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Sur une pelouse gorgée d’eau en raison des intempéries, les joueurs de la Principauté ont ramené de Croatie un résultat nul valeureux (2-2) grâce à un penalty marqué en fin de rencontre. Ils restent invaincus en huit matchs cette saison.
Vainqueur séduisant de Barcelone (2-1) lors de la première journée de Ligue des champions, Monaco a évité une déconvenue, mercredi 2 octobre, en arrachant le nul (2-2) grâce à un penalty inscrit dans les dernières minutes chez le Dinamo Zagreb, lors de la 2e journée.
Face à cet adversaire qui avait explosé sur le terrain du Bayern Munich (9-2) en ouverture de la compétition, les joueurs de la Principauté ont failli boire la tasse, la pelouse se muant rapidement en pataugeoire en raison des trombes d’eau tombant sur la capitale croate.
D’autant que l’entraîneur du Dinamo, Nenad Bjelica, avait annoncé « autre selected » à propos de son équipe, lui qui est arrivé après l’humiliation subie en Bavière. Ce fut bien le cas.
Monaco piégé sur une contre-attaque
Malgré une ligne monégasque de cinq défenseurs (dont trois Français Théophile-Catherine, Bernauer et Pierre-Gabriel), associés à trois milieux de terrain très compacts, le Dinamo a attaqué castle devant son Kop de 6 000 ultras, qui n’a jamais cessé d’encourager. Après avoir obtenu un coup franc excentré, le numéro 10 croate, Martin Baturina, l’a frappé castle devant le gardien Philipp Köhn. En deux temps, Mohammed Salisu est parvenu à dégager de justesse ce premier ballon très chaud (4e). C’est ensuite l’avant-centre Bruno Petkovic qui s’est illustré, mais son retourné dans la floor n’a pas été cadré (10e).
Si progressivement, les Monégasques ont pris les choses en fundamental, ils ne sont parvenus à se créer qu’une seule réelle event. La frappe déviée de Maghnes Akliouche a permis à Takumi Minamino de se retrouver seul devant le gardien Ivan Nevistic qui a remporté le duel (13e).
Alors que l’état de la pelouse empirait, Monaco s’est fait piéger juste avant la end. Sur un des nombreux corners obtenus durant les arrêts de jeu de la première période, Baturina est parti en contre. Après avoir temporisé, il a parfaitement servi Petar Sucic. Le milieu s’est alors joué de Caio Henrique avant de piquer son ballon devant un Köhn déjà à terre (1-0, 45 + 3).
« Un bon point », reconnaît Hütter
Mené de façon improbable mais logique tant les Monégasques ont mal défendu sur l’movement, l’entraîneur Adi Hütter a décidé de mettre de la vitesse devant en faisant entrer George Ilenikhena et Folarin Balogun à la region d’Embolo et Golovin.
Mais transcendés, les Croates ont encore attaqué castle. Si Petkovic a fait preuve de déchet methodology par deux fois alors qu’il avait la balle de 2-0 (49e et 52e), Baturini, encore lui, ne s’est pas manqué. D’une course latérale balle au pied à l’entrée de la floor, il s’est donné l’opportunité de frapper du gauche et de marquer (2-0, 66e).
Hütter a alors encore tout changé avec les entrées d’Eliesse Ben Seghir et Krepin Diatta (71e). Mais c’est surtout la glissade du gardien Nevistic, trop court docket devant Salisu, qui a permis au Ghanéen Mohammed Salisu de remettre les Azuréens sur les rails (2-1, 74e).
Et puis, si l’Espagnol du Dinamo Raul Torrente a sauvé les siens en dégageant sur sa ligne une tête de Minamino (87e), Balogun a obtenu, à la suite d’une faute d’ancien du Paris FC, Maxime Bernauer, le penalty qui a sauvé Monaco du naufrage. En patron, Denis Zakaria l’a marqué en drive (2-2, 89e).
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« C’est un bon point pour nous, a reconnu Adi Hütter après la rencontre. Je complimente mon équipe pour sa mentalité. Je ne peux pas dire que je suis content, c’est un bon point vu la façon avec laquelle il a été pris. »
Avec quatre aspects au compteur, les joueurs de la Principauté, qui restent invaincus en huit matchs cette saison – dont six victoires – pointent à la 14e region de la compétition, dans la zone des barrages, avant de recevoir l’Etoile rouge de Belgrade le 22 octobre.
Le Monde avec AFP
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