Longtemps poursuivi par la Cour pénale internationale pour des crimes contre l’humanité et des crimes de guerre qui auraient été commis en Centrafrique en 2013 et 2014, Maxime Mokom a bénéficié d’un non-lieu. Mais depuis, l’ex-chef des opérations dans les anti-balakas qui ne peut pas retourner en Afrique pour des raisons de sécurité, se plaint de n’avoir ni papier ni moyens. Au point que ses avocats ont lancé un appel aux dons sur internet.