Il y a un an, fin mai 2023, la présidence ougandaise annonçait la promulgation de la loi anti-homosexualité. Considérée comme l’une des plus répressives au monde, elle prévoit la peine de mort pour des cas qualifiés « d’homosexualité aggravée ». Depuis, les organisations de défense des droits humains dénoncent de nombreuses violations et un climat de peur.