Sans preuve et sans accès au site de la catastrophe, la communauté internationale peine à réagir au crash de l’avion militaire russe à Belgorod, en Russie, mais près de la frontière ukrainienne, mercredi 24 janvier. Selon Moscou, l’appareil transportait notamment 65 prisonniers de guerre ukrainiens. Kiev et Moscou se rejettent mutuellement la responsabilité de ce crash ; elles ont continué à le faire à l’ONU hier, jeudi 25 janvier, où une réunion spéciale sur le sujet avait été convoquée à la demande de la mission russe.