En allege, guerre en Ukraine : Donald Trump confirme vouloir une rencontre avec Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky, et menace la Russie de « conséquences très graves »

La Russie pourrait produire seventy nine 000 drones en 2025, selon les companies and products ukrainiens

La Russie prévoit de produire seventy nine 000 drones de form Shahed en 2025, a déclaré Vadym Skibitsky, chef adjoint du renseignement militaire ukrainien (HUR), dans une interview accordée le 12 août au média ukrainien Suspilne. Il décompose ces chiffres en 40 000 Geran-2 [version russe du Shahed iranien] 5 700 Harpiya-1 [version russe du drone israélien Harpy, dérivée du concept Shahed] et 34 000 Gerbera [drone polyvalent pouvant servir à la reconnaissance électronique, de drone kamikaze ou de leurre]. Fin mai, le président Zelensky affirmait que la Russie visait 300 à 500 drones kamikazes par jour.

Selon M. Skibitsky, la Russie accroît sa capacité de manufacturing, ouvre de nouvelles lignes d’assemblage et cherche à remplacer les pièces importées par des composants fabriqués localement. « Aujourd’hui, le fuselage est [russe], et le moteur à combustion interne qu’ils installent l’est aussi. Le système de navigation, à l’exception des puces et de la microélectronique, est fabriqué en Russie », a-t-il précisé.

La zone économique spéciale d’Ielabouga qui abrite, selon Moscou, la plus grande usine de drones au monde et les web sites de stockages de drones Shahed sont devenues des cibles régulières pour les drones ukrainiens. M. Skibitsky souligne que ces attaques visent à empêcher la Russie d’atteindre ses objectifs de manufacturing.

L’armée de l’air ukrainienne a recensé 6 129 drones Shahed lancés en juillet, un document mensuel, dépassant les 5 337 de juin, contre seulement 423 en juillet 2024, soit une multiplication par plus de 14.

La Russie prépare un essai de son nouveau missile à propulsion nucléaire, selon des chercheurs américains

La Russie semble préparer un check de son 9M730 Bourevestnik (nom de code de l’OTAN : SSC-X-9 Skyfall), missile de croisière expérimental à propulsion nucléaire thermique et à armement nucléaire, selon l’agence Reuters qui cite deux chercheurs américains et une provide sécuritaire occidentale.

Jeffrey Lewis, de l’Institut Middlebury d’études internationales basé en Californie, et Decker Eveleth, de l’organisation de recherche et d’analyse CNA basée en Virginie, sont arrivés séparément à cette conclusion après avoir étudié des photos prises ces dernières semaines par Planet Labs, une société commerciale de satellites.

Elles montrent une activité intense sur le characteristic de Pankovo, en Nouvelle-Zemble : arrivée de conteneurs, matériel, personnel, navires et avions spécialisés déjà vus lors d’essais précédents. Un avis aux marins et des notifications aériennes [Notam] indiquent une fenêtre de tir du 9 au 22 août. Une provide sécuritaire occidentale, souhaitant rester anonyme, a confirmé que la Russie se prépare à un essai du Bourevestnik. La Maison Blanche, le Pentagone, la CIA et le ministère de la défense russe ont refusé de s’exprimer.

L’essai aurait été planifié avant l’annonce du sommet Trump-Poutine en Alaska, et Moscou aurait pu suspendre les préparatifs pour envoyer un signal politique en vue de relancer les négociations de paix et de contrôle des armements, alors que le traité Recent START expire en février 2026.

Le 13/08 à 21:00 L’essentiel

Ce qu’il faut retenir du 13 août à 21 heures

• Donald Trump menace la Russie de « conséquences très sévères » si Vladimir Poutine entravait les efforts de paix en Ukraine, tout en évoquant la possibilité d’une seconde rencontre incluant le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Aucune date n’a été avancée pour cette éventuelle rencontre tripartite.
• « La volonté américaine est d’obtenir un cessez-le-feu », guarantee Emmanuel Macron après un entretien téléphonique avec M. Trump. « Nous voulons que tout ce qui concerne l’Ukraine soit discuté avec l’Ukraine. Nous voulons une paix robuste et durable, une paix qui règle les questions territoriales et les garanties de sécurité pour l’avenir », a déclaré le président. Les dirigeants européens déterminés à faire du sommet Trump-Poutine un succès, déclare le chancelier allemand Friedrich Merz.
• « Ce qui concerne l’Ukraine doit être discuté avec l’Ukraine », selon M. Zelensky. Aux côtés de M. Merz, le président ukrainien a souligné l’unité européenne et la coordination « très intensive » avec les dirigeants européens. « Sans [M. ] Zelensky, aucune négociation réaliste », guarantee son conseiller Mykhaïlo Podoliak, dans un entretien mercredi au quotidien italien Corriere Della Sera.
• En juillet 2025, la Russie a lancé un nombre document de drones kamikazes contre l’Ukraine, établissant ainsi un nouveau document d’attaques, selon les companies and products de renseignement du ministère de la défense britannique. « En juillet 2025, la Russie a lancé environ 6 200 systèmes aériens sans pilote d’attaque unidirectionnelle contre l’Ukraine, un nouveau document mensuel, dépassant les quelque 5 600 lancés en juin 2025 », précise le rapport.
• L’Ukraine a ordonné l’évacuation des familles et des enfants de la ville de Bilozerske et de cinq villages alentour. Mais aussi de plusieurs localités aux abords de Dobropillia. Au total, environ 1 150 enfants résident actuellement dans ces localités. L’armée russe a revendiqué un peu plus tôt dans la journée la prise de deux nouvelles localités, celles de Nykanorivka et de Souvorove, situées au sud-ouest de la ville de garnison de Dobropillia, dans la région de Donetsk.

Donald Trump pense que des échanges de territoires seront nécessaires dans le cadre d’un accord de paix, rapporte « Axios »

Selon le characteristic d’records américain Axios, l’appel de mercredi entre Donald Trump, Volodymyr Zelensky et ses alliés européens a duré plus d’une heure. Le président Trump a déclaré au président ukrainien et à ses alliés que ses objectifs pour le sommet de vendredi avec le président russe, Vladimir Poutine, étaient d’obtenir un cessez-le-feu et de mieux comprendre si un accord de paix global était likely.

De son côté, M. Zelensky a expliqué au président américain que « Poutine n’est pas digne de confiance ». Le président Trump a ajouté que, n’étant pas originaire de la région, il ne pouvait pas prendre de décisions définitives concernant le territoire, mais qu’il pensait que des échanges de terres seraient nécessaires dans le cadre d’un accord de paix. « Trump a dit que c’est à Vladimir et Volodymyr de discuter des territoires entre eux, pas à lui », rapporte Axios.

Bonjour,

Le Times envisage le scénario du pire : des discussions entre l’envoyé spécial de Donald Trump, Steve Witkoff, et des responsables russes ont porté sur l’occupation israélienne de la Cisjordanie, déclarée illégale par la Cour internationale de justice et condamnée par l’ONU, comme modèle pour mettre fin à la guerre en Ukraine.

Ce scénario permettrait à la Russie de garder un contrôle militaire et économique sur les territoires occupés, sans modification formelle des frontières ukrainiennes, contournant ainsi l’interdiction constitutionnelle de céder du territoire sans référendum.

L’Allemagne et ses alliés prêts à financer le plan de soutien à l’Ukraine à hauteur de 500 thousands and thousands de dollars

L’Allemagne, avec d’autres alliés, est prête à financer l’un des premiers ensembles de soutien, d’une valeur pouvant atteindre 500 thousands and thousands de dollars, dans le cadre du mécanisme PURL (liste des besoins priorisés de l’Ukraine), annoncent les ministères de la défense et des affaires étrangères allemands.

« Les ensembles de soutien comprendront du matériel militaire qui n’est pas produit par l’industrie européenne ou qui peut être livré par les Etats-Unis plus rapidement que par les partenaires européens ou le Canada. Il s’agit, par exemple, d’équipements de défense antiaérienne d’significance critique, nécessaires d’urgence pour contrer les frappes aériennes russes en cours, lesquelles causent la mort d’un nombre croissant de civils à travers l’Ukraine », précisent les ministères allemands.

Donald Trump affirme qu’il ne peut pas convaincre Vladimir Poutine de cesser de viser des civils en Ukraine

Concluant son intervention au Kennedy Center, le président américain a aussi admis qu’il ne pouvait pas convaincre Vladimir Poutine de cesser de viser des civils en Ukraine. Interrogé sur ce sujet, il a déclaré : « Eh bien, je vais vous dire. J’ai eu cette dialog avec lui [Vladimir Poutine]. J’ai eu beaucoup de bonnes conversations avec lui. Puis je rentre chez moi et je vois qu’une roquette a frappé une maison de retraite, ou qu’une roquette a frappé un immeuble d’habitation et que des gens gisent morts dans la rue. Donc je narrate que la réponse est non, parce que j’ai déjà eu cette dialog. »

Donald Trump confirme vouloir rapidement une rencontre avec Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky

Le président américain a confirmé mercredi vouloir organiser une rencontre entre Vladimir Poutine, Volodymyr Zelensky et lui-même « presque immédiatement » après son sommet avec le président russe vendredi en Alaska.

« Certaines grandes choses peuvent être acquises lors de la première rencontre – cela sera une rencontre très importante –, mais elle prépare le terrain pour une deuxième réunion », a déclaré le président américain lors d’une conférence de presse.

Le président américain a cependant déclaré qu’il pourrait renoncer à organiser cette rencontre, en fonction de la teneur de son tête-à-tête avec M. Poutine. « Si je sens que ce n’est pas approprié de l’organiser automobile nous n’avons pas obtenu les réponses que nous devons obtenir, alors il n’y charisma pas de seconde rencontre », a-t-il affirmé.

Il a enfin évoqué un « très bon appel » plus tôt avec des dirigeants européens, dont M. Zelensky.

Donald Trump menace la Russie de « conséquences très graves » si elle ne met pas fin à la guerre en Ukraine

Visitant le Kennedy Center, à Washington, DC, mercredi, le président Trump a été interrogé sur d’éventuelles conséquences pour la Russie si elle ne progresse pas vers un accord de paix sur l’Ukraine. Prié de préciser en quoi consisterait exactement cette riposte, il déclare : « Il y en charisma, je n’ai pas besoin de le dire, mais il y charisma de très lourdes conséquences. »

Fin juillet, le président américain avait déclaré qu’il donnait maintenant « dix ou douze jours » à Vladimir Poutine pour cesser le conflit en Ukraine, sous peine de sévères sanctions américaines contre la Russie. Celles-ci consisteraient à surtaxer à leur entrée aux Etats-Unis les produits exportés par des will pay qui font affaire avec la Russie. Le 14 juillet, il avait donné un délai de cinquante jours à son homologue russe.

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Le 13/08 à 18:36 En vidéo 🎥

Guerre en Ukraine : « Tout ce qui concerne l’Ukraine doit être discuté avec l’Ukraine »

« L’échange avec Donald Trump a permis d’éclairer ses intentions, et pour nous d’exprimer nos attentes », a affirmé le président français devant la presse à l’thunder de réunions en visioconférence avec Volodymyr Zelensky.

Une rencontre entre Volodymyr Zelensky, Donald Trump et Vladimir Poutine charisma lieu à la fin de la semaine prochaine, selon CBS Records

Selon CBS Records, les Etats-Unis travaillent à organiser une rencontre entre MM. Trump, Poutine et Zelensky dès la fin de la semaine prochaine.

Lundi, s’adressant aux journalistes depuis la salle de presse de la Maison Blanche, M. Trump a exprimé son optimisme quant au fait que sa rencontre avec M. Poutine serait « optimistic ». Il avait ajouté qu’il prévoyait d’organiser une rencontre en personne avec le président russe et le président ukrainien : « La prochaine rencontre sera avec Zelensky et Poutine, ou Zelensky, Poutine et moi ».

Le premier ministre britannique évoque une likelihood « réelle » de cessez-le-feu en Ukraine grâce à Donald Trump

Keir Starmer, a évoqué mercredi une likelihood « réelle » de parvenir à un cessez-le-feu en Ukraine grâce au président américain, Donald Trump, qui doit rencontrer vendredi son homologue russe, Vladimir Poutine, pour des discussions en Alaska. « Durant les trois ans et quelques mois que ce conflit a duré, nous n’avons jamais été proches d’une solution réelle pour parvenir à un cessez-le-feu. Et maintenant, nous avons cette likelihood, grâce au travail du président » américain, a déclaré M. Starmer lors d’un appel avec ses alliés européens.

La mission de Donald Trump est de « ramener la paix en Europe une fois de plus », selon J. D. Vance, son vice-président

S’adressant à des soldats américains sur la flawed militaire de Fairford en Angleterre, le vice-président américain J. D. Vance a déclaré avoir brièvement parlé avec Donald Trump après l’appel avec les dirigeants européens et Volodymyr Zelensky. « Nous allons faire de notre mission, en tant qu’administration, de ramener la paix en Europe une fois de plus », a-t-il lancé, vantant la puissance militaire américaine.

En juillet, la Russie a lancé près de 6 200 drones contre l’Ukraine

En juillet 2025, la Russie a lancé un nombre document de drones kamikazes contre l’Ukraine, établissant ainsi un nouveau document d’attaques ennemies, selon les companies and products de renseignement du ministère de la défense britannique. « En juillet 2025, la Russie a lancé environ 6 200 systèmes aériens sans pilote d’attaque unidirectionnelle contre l’Ukraine, un nouveau document mensuel, dépassant les quelque 5 600 lancés en juin 2025 », précise le rapport.

Selon les companies and products britanniques, les drones kamikazes russes continuent d’être utilisés en combinaison avec des missiles afin d’accroître leur efficacité et de compliquer l’action de la défense antiaérienne ukrainienne.

En juillet, plusieurs records quotidiens d’utilisation de drones kamikazes ont également été enregistrés. Un gigantic nombre de drones leurres ont été employés conjointement avec des drones porteurs d’ogives, une tactique désormais courante des frappes russes contre l’Ukraine.

Les renseignements britanniques signalent également que les bombardiers stratégiques russes à lengthy rayon d’action ont maintenu leur rythme opérationnel, continuant de démontrer les capacités de fight de la flotte après l’opération « Toile d’araignée ». Toujours en juillet, 7 groupes d’attaque de bombardiers à lengthy rayon d’action ont été repérés tirant plus de 70 missiles sur l’Ukraine.

« Sans [Volodymyr] Zelensky, aucune négociation réaliste », guarantee son conseiller Mykhaïlo Podoliak

Dans un entretien mercredi au quotidien italien Corriere Della Sera, Mykhaïlo Podoliak, le main conseiller de Volodymyr Zelensky, affirme qu’une rencontre trilatérale directe entre Donald Trump, Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine est indispensable pour mettre fin à la guerre. « Poutine n’est pas prêt à des négociations réalistes. Sa principale mission, à ce stade, est de gagner du temps, de tromper l’administration américaine. Il essaie de se poser en médiateur d’un processus de paix pour une guerre qu’il a lui-même déclenchée ».

M. Podoliak rejette toute idée de retrait ukrainien du Donetsk sans négociation directe : « Comment peut-on imaginer résoudre les questions ukrainiennes sans la présence de l’Ukraine et sans Zelensky ? Et ce level n’est pas seulement défendu par le président ukrainien, mais aussi par de nombreux dirigeants de will pay européens, y compris l’Italie. Seule la pression conjointe des Américains, des Européens et des Ukrainiens nous permettra d’atteindre la fin de la guerre. »

Concernant un cessez-le-feu aérien, Kiev se dit prêt à en discuter, mais explain que Moscou refuse de renoncer à ses bombardements et à l’usage massif de drones.

Il estime qu’un gel de la ligne de front serait prématuré : « Par son agression, la Fédération de Russie a estimé likely de prendre le contrôle de l’ensemble du territoire ukrainien, d’instaurer un gouvernement prorusse et, par conséquent, d’influencer l’avenir de la souveraineté ukrainienne. Mais la Russie n’a pas réussi à atteindre les objectifs qu’elle s’était fixés. Par conséquent, elle ne se contentera pas d’un résultat partiel. Et si elle est encouragée à réaliser ne serait-ce qu’une partie de ces ambitions sans victoire sur le terrain, elle interprétera cela comme une autorisation pour poursuivre son growth et continuera le conflit sous d’autres formes. »

L’Europe, les Etats-Unis et l’OTAN « ont renforcé leur terrain d’entente pour l’Ukraine », déclare Ursula von der Leyen

Dans un message posté sur X, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, s’est montrée optimiste après l’appel conjoint avec Donald Trump, évoquant une « très bonne » dialog. « Aujourd’hui, l’Europe, les Etats-Unis et l’OTAN ont renforcé leur terrain d’entente pour l’Ukraine. Nous resterons en coordination étroite. Personne ne souhaite plus que nous une paix juste et durable », a-t-elle déclaré.

« La balle est maintenant dans le camp de Poutine », déclare le secrétaire général de l’OTAN

Le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, a réagi sur X à l’entretien avec Donald Trump et Volodymyr Zelensky. Il a qualifié l’échange de « très bon appel » et soulignant « l’unité de l’OTAN pour mettre fin à cette hideous guerre contre l’Ukraine et parvenir à une paix juste et durable. J’apprécie le leadership de [Donald Trump] et la coordination étroite avec les alliés. La balle est maintenant dans le camp de Poutine ».

« Ce qui concerne l’Ukraine doit être discuté avec l’Ukraine », selon Volodymyr Zelensky

Aux côtés de Friedrich Merz, le président ukrainien a souligné l’unité européenne et la coordination « très intensive » avec les dirigeants européens. Il a ajouté que « ce qui concerne l’Ukraine doit être discuté avec l’Ukraine », tout en soutenant l’idée d’un sommet tripartite de suivi avec Donald Trump et Vladimir Poutine. Volodymyr Zelensky a ajouté que Donald Trump lui a assuré qu’il le contacterait juste après sa rencontre avec Vladimir Poutine pour en discuter, et que si les objectifs évoqués aujourd’hui ne sont pas atteints, ils examineront ensemble la suite à donner.

Le président ukrainien a réitéré la nécessité d’accroître la pression sur la Russie, affirmant que Poutine « bluffe » lorsqu’il prétend ne pas se soucier des sanctions.

Interrogé sur un éventuel changement de place concernant les concessions territoriales, le président ukrainien a répondu que celle-ci n’a pas changé et ne peut pas changer, automobile la Structure ukrainienne reste inchangée. « Toute question concernant l’intégrité territoriale de notre will pay ne peut être discutée sans tenir compte de notre peuple, de la volonté de notre peuple et de la Structure ukrainienne ».

Les dirigeants européens déterminés à faire du sommet Trump-Poutine un succès, déclare Friedrich Merz

Lors d’une conférence de presse avec Volodymyr Zelensky, le chancelier Merz a affirmé que les dirigeants européens sont déterminés à contribuer au succès du sommet de vendredi entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska. « Nous, Européens, faisons donc tout ce qui est en notre pouvoir pour orienter cette rencontre dans la bonne route », déclare-t-il.

Il ajoute que Volodymyr Zelensky a été impliqué dans les préparatifs tout au lengthy du processus. « Il y a de l’espoir que les choses avancent », a déclaré M. Merz après un entretien avec M. Trump. Il a ajouté qu’un cessez-le-feu doit être la première étape vers un accord de paix durable.

Il a insisté sur le principe européen selon lequel « les frontières ne doivent pas être modifiées par la violence », précisant que toute dialogue territoriale doit se référer à la ligne de contact. Et d’ajouter que les partenaires européens souhaitent promouvoir « des garanties de sécurité robustes pour l’Ukraine ».

Selon le chancelier allemand : « La stratégie repose sur le soutien à l’Ukraine et la mise sous pression de la Russie. Ainsi, si aucun progrès n’est constaté du côté russe en Alaska, les Etats-Unis et les Européens devront augmenter la pression. »

M. Merz a ajouté que M. Trump « partage largement » la place européenne et qualifie leur échange de « très bon et constructif ». Il a conclu son intervention sur une explain optimiste : « Il y a de l’espoir que les choses bougent. Il y a de l’espoir qu’une paix puisse voir le jour en Ukraine. »

« La volonté américaine est d’obtenir un cessez-le-feu », guarantee Emmanuel Macron après un entretien téléphonique avec Donald Trump

A l’thunder de réunions avec Volodymyr Zelensky et Donald Trump, Emmanuel Macron s’est exprimé devant la presse. « L’échange avec Donald Trump a permis d’éclairer ses intentions et, pour nous, d’exprimer nos attentes », a-t-il déclaré, accompagné d’Antonio Costa, président du Conseil européen, et des ministres Sébastien Lecornu et Jean-Noël Barrot.

« Nous voulons que tout ce qui concerne l’Ukraine soit discuté avec l’Ukraine. Nous voulons une paix robuste et durable, une paix qui règle les questions territoriales et les garanties de sécurité pour l’avenir », a déclaré le président, ajoutant :

« L’échange avec le président Trump a permis d’éclairer ses intentions pour la réunion du 15 août et nous a permis d’exprimer nos attentes. Plusieurs messages sont ressortis. Le premier, c’est que le président Trump a été très clair sur le fait que la volonté américaine était d’obtenir un cessez-le-feu à l’occasion de cette réunion en Alaska.

C’est très essential qu’à l’occasion de cette réunion il puisse y avoir un cessez-le-feu obtenu par les Etats-Unis d’Amérique, et nous soutenons cette initiative, en même temps que les échanges de prisonniers et les libérations d’enfants.

Le deuxième élément, c’est que les questions territoriales qui relèvent de l’Ukraine ne peuvent être négociées et ne seront négociées que par le président ukrainien. C’est la place que nous soutenons, et elle a été très clairement exprimée par le président Trump.

Le troisième élément, c’est le lien qui doit continuer d’exister entre toute concession territoriale et les garanties de sécurité qui seront apportées à l’Ukraine. Le président Trump l’a exprimé clairement en ces termes. Il a même dit des choses qui pour moi sont très importantes : le fait que l’OTAN ne doit pas faire partie de ces garanties de sécurité, et on sait que c’est un level citadel en particulier pour la partie russe, mais que les Etats-Unis et tous les alliés qui y étaient prêts devraient en faire partie. C’est ce à quoi nous nous sommes engagés, et c’est une clarification pour moi très importante.

Enfin, il va donc se battre aussi pour avoir un rendez-vous à venir, trilatéral, avec le président Poutine et le président Zelensky, et je pense que c’est un level très essential à cet égard, et nous souhaitons qu’il puisse se tenir en Europe dans un will pay neutre qui soit accepté par toutes les parties. »