Les grands jeux regorgent de secrets and ways qui n’attendent qu’à être révélés ! Cette fois, c’est FF9 que ça concerne et ça explique pas mal de choses sur le rendu final.
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Ces derniers temps, FF9 fait beaucoup parler de lui. Il faut dire que son 25e anniversaire attisait bien des attentes chez les fans. D’ailleurs, cette date symbolique en juillet dernier a connu un pic de joueuses et joueurs sur Steam. Voilà la preuve que même après un quart de siècle, les jeux qui comptent sont toujours là. Dès lors, certains seront probablement intéressés d’en apprendre encore davantage sur les secrets and ways de fabrication de ce 9e opus de la franchise culte de Square Enix.
De l’Europe aux île pour créer FF9
Lorsqu’on évoque la saga Final Fantasy, certains opus tendent à s’imposer plus que d’autres dans l’imaginaire. Le 7e volet, qui a d’ailleurs eu droit dernièrement à une série de remakes, est généralement celui dont on parle le plus. Pour autant, c’est loin d’être le seul à avoir marqué les esprits. FF9 est encore cher au cœur de bien des fans, souvent attachés à cet aspect « fantasy » qui a pu être délaissé dans plusieurs opus qui l’ont précédé et suivi.
FF9 nous plonge dans une énième aventure épique au sein d’un monde nommé Héra et divisé en quatre continents. Les plus observateurs auront sans doute remarqué les inspirations nordiques dans ses environnements et son folklore. Cela se retrouve jusque dans la musique et ses sonorités médiévales. De son propre aveu, le compositeur Nobuo Uematsu se rappelle auprès du magazine Famitsu les deux semaines qu’il avait passé en Europe à l’époque du développement justement pour y puiser cette patte sonore.
Cependant, ce voyage n’était que le début pour Uematsu. Dans la même interview, il évoque à nouveau le temps qu’il a passé loin du Japon pour travailler sur FF9. Après l’Europe, il s’est envolé vers Hawaii où il est resté une année entière. Or, ce temps a été très occupé pour lui puisqu’il confie avoir été turbin chaque jour, du matin au soir. Dans le même temps, cela ne semble pas avoir été la période la plus désagréable de sa vie, au contraire ! Décidément, FF9 a encore bien des choses à révéler 25 ans après.
J’ai tout simplement aimé travailler tous les jours. De FFV à FFIX, j’ai travaillé presque sans arrêt. Grâce à cela, j’avais beaucoup de chansons dans mon répertoire, donc c’était facile de faire des concerts.
Nobuo Uematsu, pour Famitsu Magazine.

Source : Famitsu magazine.