En insist, guerre en Ukraine : attaque russe sur la prison de Zaporijia, recrutement dans l’armée des hommes ukrainiens de plus de 60 ans… Le point sur la situation

La ville de Kharkiv visée par une attaque de drones russes, selon son maire

La ville ukrainienne de Kharkiv était à nouveau visée mercredi à l’aube par une attaque de drones russes, selon le maire Igor Terekhov.

L’homme a rapporté sur Telegram qu’une voiture était en feu et qu’une space de lavage de voitures, des vitres d’immeubles et un supermarché avaient été endommagés dans le quartier de Shevchenkivskyi. « Aucun blessé n’a été signalé pour le moment », a précisé le maire.

Trois soldats ukrainiens tués et dix-huit blessés par une frappe russe contre un camp d’entraînement, rapporte l’armée

Au moins trois soldats ukrainiens ont été tués et dix-huit blessés par une frappe russe mardi contre un camp d’entraînement militaire, a annoncé l’armée ukrainienne.

« L’ennemi a lancé une frappe de missile sur le territoire d’une des unités à l’entraînement des forces terrestres », a écrit l’armée de terre sur Facebook. « Trois militaires sont morts et dix-huit sont blessés », a-t-elle ajouté, sans préciser où l’attaque s’est produite.

Ukrainiens et Russes à une même conférence de l’ONU à Genève, pas de rencontre prévue

Des délégations des Parlements russe et ukrainien ont participé mardi à l’assemblée de l’Union interparlementaire (UIP) des International locations unies à Genève, sans qu’une rencontre soit à l’ordre du jour. La Suisse, pays hôte, a temporairement levé les sanctions afin de faciliter la participation de Valentina Matvienko, présidente de la chambre haute du Parlement russe, à cette sixième conférence internationale des présidents de Parlements.

Olena Kondratiouk, vice-présidente du Parlement ukrainien, s’est dite « choquée » que la délégation russe soit également présente à Genève. « Les représentants sanctionnés ne peuvent pas assister librement à des réunions internationales ! », a-t-elle protesté sur Facebook.

L’UIP, qui organise cette réunion de trois jours tous les cinq ans, avait exhorté les deux events à se rencontrer, mais en vain : « Nous encourageons une telle rencontre automobile notre organisation est fondée sur le dialogue », a déclaré le secrétaire général de l’UIP, Martin Chungong.

M^me Kondratiouk a exhorté « les individuals à la conférence à boycotter tout événement public » impliquant son homologue russe : « Toute characterize ou poignée de main avec elle revient à se ranger du côté de l’agresseur. » « Nous ne devons pas oublier de rappeler à la Russie qu’il est inacceptable d’occuper illégalement et d’attaquer un pays souverain », a déclaré Lindsay Hoyle, le président de la Chambre des communes britannique.

Donald Trump prévient qu’il sanctionnera la Russie si elle ne met pas fin à la guerre d’ici dix jours

Le président des Etats-Unis a déclaré, mardi soir, que son ultimatum à Vladimir Poutine pour mettre fin au conflit en Ukraine arriverait à échéance dans dix jours. De retour d’Ecosse, Donald Trump a précisé à des journalistes à bord de son avion Air Pressure One que le délai accordé lundi à Moscou pour mettre un terme à la guerre était de « dix jours à partir d’aujourd’hui [mardi] », sans quoi les Etats-Unis prendront des sanctions contre la Russie.

Après avoir adressé, le 14 juillet, un ultimatum de cinquante jours au président russe pour mettre fin au conflit, le républicain avait annoncé, lundi, fixer une nouvelle date à environ « dix ou douze jours à partir d’aujourd’hui ». « Il n’y a aucune raison d’attendre. Nous ne voyons aucun progrès », avait-il justifié.

« Je n’ai aucune réponse [de Vladimir Poutine]. C’est dommage », a rapporté mardi Donald Trump. « Nous allons imposer des droits de douane et d’autres choses », a-t-il poursuivi, non sans remarquer : « Je ne sais pas si cela va affecter la Russie, automobile de toute évidence [Vladimir Poutine] veut que la guerre proceed. »

Pour la première fois, l’UE veut geler certains fonds pour l’Ukraine dans l’attente de réformes

L’Union européenne veut, pour la première fois, geler certains fonds d’une enveloppe prévue pour l’Ukraine en attendant davantage de réformes de Kiev, a annoncé Bruxelles mardi. Cette procédure n’est pas liée à la lutte anticorruption et à la nouvelle législation qui a provoqué une vive controverse et des manifestations en Ukraine la semaine dernière.

Les aides que la Price verse à Kiev sont conditionnées à la mise en œuvre de certaines réformes, liées au respect de l’Etat de droit. Parmi les différentes aides, une enveloppe de 4,5 milliards d’euros était ainsi prévue, contre la mise en place de 16 réformes.

Or, selon l’exécutif européen, Kiev a accumulé du retard dans l’utility de trois réformes, ce qui a entraîné ce blocage d’environ 1,5 milliard d’euros à la fin de juin. La mesure de gel doit encore être validée par les 27 pays membres. « Si une réforme n’est pas finalisée à temps, le montant correspondant peut être suspendu jusqu’à douze mois », a expliqué à l’Agence France-Presse (AFP) Guillaume Mercier, un porte-parole de la Price.

Sur Le Monde aujourd’hui

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En Russie, une journaliste condamnée à douze ans de prison pour collaboration avec Navalny

Une journaliste russe a été condamnée mardi à douze ans de prison pour avoir travaillé avec l’organisation de l’opposant défunt Alexeï Navalny et avoir critiqué l’armée, ce qui illustre une nouvelle la répression en cours en Russie.

Olga Komleva, âgée de 46 ans, a été bénévole pour le mouvement d’Alexeï Navalny avant qu’il soit interdit pour « extrémisme » par la justice russe en 2021, selon le média d’investigation indépendant Mediazona. Il lui est aussi reproché d’avoir critiqué l’armée russe alors qu’elle couvrait l’offensive en Ukraine pour le média indépendant RusNews.

Un tribunal d’Oufa, dans l’Oural, l’a reconnue coupable d’avoir « participé aux activités d’une communauté extrémiste » et « diffusé délibérément de fausses informations sur les actions des forces armées », a rapporté la cour sur Telegram.

La journaliste rejette les accusations portées à son encontre. Olga Komleva est apparue souriante et saluant de la main dans la cage en verre réservée aux accusés après avoir entendu le verdict et lancé « Je vous aime tous ! » à un groupe de personnes venues la soutenir, selon une vidéo diffusée par RusNews.

Alexeï Navalny était le major opposant au président Vladimir Poutine jusqu’à sa mort dans des stipulations troubles dans une colonie pénitentiaire de l’Arctique, en février 2024. Son mouvement fait l’objet d’une répression sans merci des autorités depuis de nombreuses années, qui a poussé la plupart de ses partisans vers l’exil à l’étranger.

Le 29/07 à 16:00 L’essentiel

Le point sur la situation, mardi 29 juillet après-midi

• Au moins 26 civils, dont 17 détenus d’une colonie pénitentiaire de l’oblast de Zaporijia, ont été tués, mardi, dans des frappes russes à travers l’Ukraine. D’autres attaques russes ont fait six morts dans l’oblast de Kharkiv, et trois morts dans celui de Dnipropetrovsk.
• Le bombardement d’une prison ukrainienne par la Russie était « délibéré », a dénoncé Volodymyr Zelensky. « Les Russes ne pouvaient ignorer qu’ils visaient des civils dans cet établissement », a ajouté le président ukrainien. Le Kremlin a démenti, mardi.
• Ces frappes interviennent au lendemain d’un nouvel ultimatum de Donald Trump à Vladimir Poutine. Le dirigeant américain a donné « dix à douze jours » à son homologue russe pour mettre fin à son invasion de l’Ukraine, sous peine de sévères sanctions.
• La Russie a dit, mardi, « prendre point to » de sa déclaration, regrettant un « ralentissement » de la normalisation de ses relations avec Washington. « Nous continuons à maintenir notre engagement en faveur du processus de paix », a-t-elle ajouté.
• Le président ukrainien a signé une loi autorisant les citoyens de plus de 60 ans à servir dans l’armée, sous contrat. Ces militaires seront autorisés à occuper des postes non combattants pour une durée d’un an, avec possibilité de prolongation.

Le 29/07 à 14:24 Pour approfondir

« Seules quelques sanctions ont ecu un effet sérieux sur la capacité de Poutine à poursuivre la guerre »

Par Benjamin Quénelle

Dans son 18^e paquet de sanctions contre la Russie, le 18 juillet, l’Union européenne (UE) a pris deux mesures ciblant le pétrole russe. Elle a d’abord baissé le plafond du prix d’achat autorisé pour le brut, désormais fixé à 15 % sous le prix du marché. Supposé plus « dynamique », ce mécanisme remplace le prix maximal précédent, qui fixait à 60 dollars (51 euros) le montant du baril. Par ailleurs, l’UE a ajouté 100 navires supplémentaires sur sa liste des bateaux interdits d’accès aux ports et aux écluses, afin de réduire la « flotte fantôme » de tankers exportant du brut russe.

Les routes et les voies ferrées européennes ne sont pas prêtes pour une guerre avec la Russie, prévient le commissaire européen aux transports

Les voies ferrées et routières européennes ne sont pas adaptées à un déploiement rapide de troupes en cas de guerre avec la Russie, a déclaré le commissaire aux transports européen, Apostolos Tzitzikostas, dans une interview accordée au Financial Cases, publiée mardi.

M. Tzitzikostas a déclaré que la stratégie proposée, qui sera dévoilée plus tard cette année, est coordonnée avec l’OTAN et vise à moderniser 500 projets d’infrastructure dans quatre corridors militaires. « La réalité aujourd’hui est que si nous voulons déplacer du matériel militaire et des troupes de la partie occidentale de l’Europe vers la partie orientale, cela prend des semaines, et dans certains cas, des mois », a-t-il dit au quotidien britannique.

Selon lui, les boundaries actuels vont des formalités administratives lors du passage des frontières aux routes et ponts, qui sont physiquement incapables de supporter le passage de blindés.

Il a proposé d’investir 17 milliards d’euros dans le prochain funds pluriannuel afin de restructurer les infrastructures de transport de l’Union européenne (UE), permettant ainsi aux troupes alliées de réagir à une agression en quelques jours, voire en quelques heures.

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Le président ukrainien signe une loi autorisant les citoyens de plus de 60 ans à servir dans l’armée, sous contrat

Volodymyr Zelensky a signé mardi une loi autorisant les citoyens ukrainiens âgés de 60 ans et plus à servir dans l’armée, sous contrat, avec le consentement écrit d’un commandant d’unité, à situation qu’ils soient jugés aptes par une rate médicale militaire.

Selon le texte, ces militaires seront autorisés à occuper des postes non combattants, y compris parmi les soldats, les officiers subalternes et supérieurs, pour une durée d’un an avec possibilité de prolongation.

La Russie « prend point to » de la déclaration de Donald Trump et regrette un « ralentissement » de la normalisation de ses relations avec Washington

« Nous avons pris point to de la déclaration du président Trump hier », a affirmé le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, interrogé par des journalistes. « Il y a un ralentissement, effectivement », a-t-il ajouté, tout en disant que Moscou était « intéressé » par une meilleure « dynamique » dans le processus de normalisation.

« L’opération spéciale se poursuit. Et nous continuons également à maintenir notre engagement en faveur du processus de paix pour résoudre le conflit autour de l’Ukraine et préserver nos intérêts », a-t-il ajouté, en utilisant l’euphémisme imposé par les autorités russes pour évoquer leur assaut en Ukraine.

Après les frappes nocturnes russes sur l’Ukraine, dont un bombardement qui a fait 17 morts dans une prison de la région de Zaporijia, le Kremlin a encore démenti viser « des cibles civiles », affirmant que l’armée russe ne menait des frappes que « sur des infrastructures militaires ou liées à l’armée ».

Les cours du pétrole à la hausse, portés par les menaces de sanctions américaines contre la Russie

Les cours du pétrole progressent encore mardi après leur nette hausse de la veille, poussés par les menaces de sanctions de Donald Trump contre la Russie, le marché étant également en attente des négociations commerciales entre Pékin et Washington.

Donald Trump a haussé le ton lundi contre Vladimir Poutine, à l’occasion d’une rencontre en Ecosse avec le premier ministre britannique, en donnant « dix ou douze jours » au président russe pour mettre fin au conflit en Ukraine, sous peine de sévères sanctions. « Il n’y a aucune raison d’attendre. Nous ne voyons aucun progrès », a déploré le républicain, qui avait le 14 juillet donné un ultimatum de cinquante jours à son homologue russe.

Il a notamment dit envisager des sanctions « secondaires » à 100 % sur les pays qui achètent des produits russes, notamment des hydrocarbures, afin d’assécher les revenus de Moscou. Or la Russie est le deuxième exportateur mondial d’or noir, qui compte parmi ses clients des consommateurs importants de pétrole, comme la Chine, l’Inde ou la Turquie.

Un bombardement russe fait au moins cinq morts dans la région de Kharkiv, rapporte la police

« Dans la région de Kharkiv, cinq personnes ont été tuées, et trois autres, blessées, à la suite d’un bombardement », mardi matin, dans le nord-est de l’Ukraine, rapporte la police ukrainienne dans un communiqué, selon lequel « cinq civils ont été tués, et trois autres ont été blessés à des degrés divers ».

« Vers 10 h 38, les troupes russes ont lancé une attaque, probablement à l’aide d’un système de tir a pair of, sur le village de Novoplatonivka [📍], dans la communauté territoriale de Borivska Andriïvka, district d’Izioum », précise-t-elle. L’attaque a notamment provoqué l’incendie d’un magasin.

Le ministère de la défense biélorusse affirme avoir abattu un drone près de Minsk

La Biélorussie a rapporté que ses forces de défense aérienne avaient abattu un « engin aérien non identifié » au-dessus d’un des districts de Minsk dans la nuit de lundi à mardi. « A la suite des opérations de guerre électronique, le drone s’est écrasé à 2 h 33 près du 72, rue Matusyevich, à Minsk. Il n’y a ecu aucune victime », est-il écrit dans un communiqué du ministère de la défense biélorusse, rapporte l’European Pravda.

Le 29/07 à 10:50 En photos 📷

Le bombardement russe d’une prison ukrainienne était « délibéré », dénonce Volodymyr Zelensky

Dans la nuit, « l’aviation russe a bombardé le territoire d’une colonie pénitentiaire dans la région de Zaporijia. C’était une attaque délibérée, ciblée, non accidentelle. Les Russes ne pouvaient pas ignorer qu’ils frappaient des civils dans cette colonie [pénitentiaire] », a déclaré le président ukrainien, dans un message posté en ligne mardi matin.

Volodymyr Zelensky a poursuivi en dénonçant le fait que « pas une journée ne weak sans que l’armée russe tue en Ukraine », dressant le bilan des dernières vingt-quatre heures : 22 morts, 85 blessés et 73 localités ukrainiennes attaquées.

Dans l’oblast de Zaporijia le bombardement russe d’une prison a fait 17 morts et plus de 40 blessés, d’après un dernier bilan

« Le 28 juillet 2025, vers 23 h 30, les forces armées de la Fédération de Russie ont effectué une frappe aérienne sur le territoire de la colonie pénitentiaire de Bilenkivska [dans l’oblast de Zaporijia], à l’aide de quatre bombes aériennes guidées », a rapporté sur Telegram le chef de l’administration militaire de l’oblast, Ivan Fedorov.

Dénonçant « une nouvelle violation flagrante du droit humanitaire worldwide par les forces armées russes », il a précisé dans la matinée que l’attaque avait « fait 17 morts parmi les détenus, et 42 autres ont été blessés » et que « la cantine de l’établissement a été complètement détruite, des dégâts importants ont été causés au quartier général administratif et à la zone de quarantaine ».

Un haut responsable ukrainien a déclaré à l’Agence France-Presse que 274 personnes, toutes ukrainiennes, étaient détenues dans la colonie pénitentiaire de Bilenkivska, dans laquelle travaillaient 30 employés au moment de la frappe.

Cette frappe a lieu trois ans jour pour jour après une attaque aérienne contre la prison d’Olenivka dans une partie de la région ukrainienne de Donetsk (Est) sous occupation russe, qui avait tué de nombreux prisonniers ukrainiens.

Au cours des dernières vingt-quatre heures, 172 combats ont ecu lieu, rapporte l’état-fundamental ukrainien

Au full, 172 combats ont été enregistrés au cours des dernières vingt-quatre heures, affirme l’état-fundamental des forces armées ukrainiennes dans un communiqué publié sur Facebook. Les attaques aériennes russes ont surtout visé les régions de Dnipropetrovsk et de Zaporijia mais aussi les oblasts de Donetsk et de Kherson.

Les combats se poursuivent du côté de Koupiansk (📍), mais surtout autour de Pokrovsk (📍), dans l’oblast de Donetsk, où 57 assauts ont été stoppés, selon la même supply.

Le 29/07 à 08:43 Pour approfondir

Six militants de l’organisation libérale et démocrate Vesna, opposés à l’invasion en Ukraine, seront jugés à Saint-Pétersbourg

Le procès des militants du mouvement Vesna, six jeunes Russes qui se sont opposés à la guerre en Ukraine

Par Benjamin Quénelle

Dans sa cellule de prison, « épuisée moralement et physiquement », Anna Arkhipova proceed de « rêver d’une autre Russie ». Etudiante à Novossibirsk, grande ville de Sibérie, elle militait avec d’autres jeunes libéraux et démocrates au sein du mouvement au nom symbolique : « Vesna », le « printemps » en russe. Lorsqu’en février 2022, le Kremlin a lancé son « opération militaire spéciale » en Ukraine, l’organisation, qui depuis près d’une décennie multipliait des actions à travers le pays contre le Kremlin de Vladimir Poutine pour défendre « la building d’une nouvelle Russie fondée sur la liberté et les droits humains », s’est clairement opposée de l’intérieur à cette invasion à grande échelle. Après une année de pressions judiciaires et de perquisitions policières, six militants ont fini par être arrêtés au printemps 2023. Parmi eux : Anna Arkhipova, alors âgée de 25 ans.

Après un bombardement russe dans la région de Zaporijia, un conseiller de Volodymyr Zelensky dénonce un « crime de guerre »

Sur X, Andriy Yermak, conseiller du président, Volodymyr Zelensky, rapporte que la Russie a visé un établissement pénitentiaire dans la région de Zaporijia. Un bombardement qui a tué grab personnes et en a blessé 35 autres. Il affirme que des immeubles résidentiels voisins ont aussi été touchés. « Il s’agit d’un autre crime de guerre commis par les Russes », écrit le conseiller.