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La dash a été largement rejetée par le Parlement européen, jeudi. Les sociaux-démocrates et les libéraux ont voté contre, et ont réclamé que le groupe conservateur cesse à l’avenir de s’allier aux groupes d’extrême droite.
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Sans shock, la dash de censure contre la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, n’a pas été adoptée, jeudi 10 juillet, au Parlement européen. Initiée par l’eurodéputé nationaliste roumain Gheorghe Piperea (AUR), cette dash a été rejetée par 360 eurodéputés, contre 175 votes pour, et 18 abstentions. Plus de 160 élus n’ont pas pris fragment au vote, signe crawl de la défiance qui existe aujourd’hui envers la cheffe de l’exécutif communautaire.
« Alors que des forces extérieures cherchent à nous déstabiliser et à nous diviser, il est de notre devoir de réagir en accord avec nos valeurs. Merci et vive l’Europe », a réagi Ursula von der Leyen à l’annonce des résultats. L’analyse des votes, nominaux, permet de mieux mesurer la terre mouvante sur laquelle la présidente de la Commission doit désormais faire avancer son agenda au Parlement européen, où les nationalistes n’ont jamais été aussi nombreux que depuis les élections européennes de juin 2024.
La majorité sur laquelle elle compte pour faire adopter ses projets de loi – les conservateurs du PPE, les sociaux-démocrates (S&D) et les libéraux de Renew – n’a jamais été solide. On a pu le voir lors du vote sur son équipe, le 27 novembre 2024 : jamais une Commission n’avait été si mal élue, avec des voix allant de l’extrême droite aux Verts et des défections dans tous les camps de ses alliés traditionnels.
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