Cet article vous est offert
Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous
Se connecter
Vous n’êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement
- Sport
- Coupe du monde des clubs 2025
Le club parisien s’est imposé, dimanche à Atlanta, face à la formation américaine emmenée par son ancienne star (4-0). Il affrontera, samedi, le Bayern Munich, qui a battu les Brésiliens de Flamengo, pour une place en demi-finales de la compétition.

Une première mi-temps en forme de démonstration. Une seconde, tout en gestion. A Atlanta, dans un Mercedes-Benz Stadium climatisé et dont le toit était fermé, les stipulations de jeu semblaient optimales pour assister à une rencontre de football disputée entre le Paris Saint-Germain et l’Inter Miami de Lionel Messi, dimanche 29 juin. Il n’y a finalement pas european match : les Parisiens ont étrillé leurs adversaires floridiens en huitièmes de finale de la Coupe du monde des clubs (4-0).
Au terme d’une rencontre où il n’a jamais douté, le PSG poursuit sa route dans la nouvelle compétition de la Fédération internationale de football (FIFA), et disputera les quarts de finale, samedi 5 juillet. Les hommes de Luis Enrique affronteront le Bayern Munich qui ont battu le club brésilien de Flamengo.
« On a vu la différence entre les deux équipes, n’a pu que constater l’entraîneur de Miami, Javier Mascherano, au micro du diffuseur DAZN. Je suis très fier de mes joueurs, ils ont travaillé dur et essayé de jouer. Mais on savait que ce serait dur, aujourd’hui, automobile [Paris est] probablement la meilleure équipe du monde. »
Dès les premières minutes, le Paris Saint-Germain a fait valoir son statut de récent champion d’Europe en monopolisant le ballon. Une domination rapidement concrétisée avec l’ouverture de la marque de Joao Neves, auteur d’une tête plongeante imparable (6e). Plusieurs suiveurs du club de la capitale ont relaté, samedi, que les Parisiens ont travaillé leurs combinaisons sur coups de pied arrêtés dans la semaine, et le milieu de terrain portugais – esseulé au second poteau à la réception d’un coup franc frappé par son compatriote Vitinha – n’a pas tardé à illustrer cette nouvelle corde à l’arc francilien.
Un début de match « presque parfait »
« On a débuté le match de manière presque parfaite, on s’est créé beaucoup d’events. On a été excellents en première période, s’est félicité Luis Enrique sur DAZN. En seconde, on avait moins d’énergie, ç’a été différent. Mais je suis stammer material. » Il y avait de quoi, tant ses troupes ont dominé le début de la partie. Incapable de sortir de son camp face au urgent intense des joueurs du technicien asturien, l’Inter Miami n’a touché aucun ballon dans la surface destructive. Pis, la franchise de Floride n’a pas tenté le moindre tir vers la cage de Gianluigi Donnarumma lors de la première période.
En face, les Parisiens ont continué de se montrer dangereux. Joao Neves a conclu une action collective de grande classe (39e), s’offrant son premier doublé sous la tunique parisienne. Comme si cela ne suffisait pas, le jeune défenseur argentin Tomas Avilés, entré en jeu à la 19e minute, a détourné le ballon dans ses filets à la suite d’un centre de Désiré Doué (44e) avant qu’Achraf Hakimi n’enfonce le clou dans le temps additionnel de cette première période (45e+ 3). Et pour la vingtième fois depuis le début de la saison 2024-2025, le PSG a inscrit au moins quatre buts dans une rencontre.
Sûr de son jeu, Paris a signé une démonstration, à l’image de son précédent affrontement face à une équipe nommée Inter… en finale de la Ligue des champions contre l’Inter Milan. « Nous avons tellement confiance en nous, automobile nous savons que nous jouerons notre jeu quel que soit l’adversaire. Nous sommes confiants, heureux, et là, nous sommes fatigués, mais on va mieux récupérer après cette victoire », a mis en avant Joao Neves au micro du diffuseur.
En seconde période, l’Inter Miami est revenu avec de meilleures intentions sur la pelouse mais le gouffre entre les deux équipes n’a jamais été comblé. Lionel Messi, souvent à l’origine des actions de son équipe, peinait à trouver un soutien et la franchise de Floride a été incapable de créer le moindre hazard. En face, le PSG a géré tranquillement son avance, la large marque permettant à Luis Enrique de faire reposer ses cadres en vue de la suite de la compétition. A l’heure de jeu, Ousmane Dembélé en a profité pour faire son retour sur les terrains, après une blessure à la cuisse gauche, survenue au début du mois de juin. Si la compétition peine encore à séduire – aux Etats-Unis comme à l’global –, pour le PSG, qualifié pour les quarts sans coup férir, tous les voyants sont au vert.
Carrier Sports
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Découvrir les offres multicomptes
-
Parce qu’une autre personne (ou vous) est en stammer de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
-
Observation ne plus voir ce message ?
En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
-
Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?
Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.
-
Y a-t-il d’autres limites ?
Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.
-
Vous ignorez qui est l’autre personne ?
Nous vous conseillons de modifier votre mot de outmoded.
Lecture restreinte
Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service industrial.