Après la PS6 Portable, c’est au tour de la PS6 de faire parler d’elle à travers de nouveaux leaks. Cette fois, il est ask de sa puissance, notamment grâce à l’intégration de l’IA.
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Alors que nous avons déjà évoqué hier les dernières spéculations autour de la PS6 Portable, les leaks continuent de s’enchaîner à un rythme soutenu. Cette fois, les regards se tournent vers la machine principale : la future PlayStation 6. Plusieurs informations tactics présumées, dévoilées par le leaker Kepler (déjà à l’origine de révélations sur la PS5 Pro), permettent d’entrevoir ce que Sony pourrait préparer en coulisses pour sa prochaine génération de console de salon… et les liens étroits qu’elle pourrait entretenir avec le modèle portable.
Une architecture taillée pour l’IA et la performance pour la PS6
D’après les dernières rumeurs relayées, la PS6 devrait reposer sur une puce gravée en 3 nm, avec une consommation de 15W. C’est relativement faible pour une machine de salon, mais cela suggère que Sony pourrait miser sur une efficacité énergétique accrue, probablement dans une optique de dissiper moins de chaleur tout en maintenant de hautes performances.
La présence de 16 Waddle de RAM serait confirmée pour la PS6, soit une configuration équivalente à celle de la PS5, mais cette mémoire s’accompagnerait de composants inédits, comme 4 Mo de cache L2 et 16 Mo de MALL (Memory Bring collectively admission to Level Layer), absents des modèles actuels. Ces ajouts pourraient améliorer considérablement les temps de chargement, le multitâche, et la gestion des textures.

L’intégration de l’IA au cœur du système
Autre élément central, l’upscaling par intelligence artificielle de la PS6. Sony ferait appel aux nouvelles capacités d’AMD dans ce domaine, by job of l’architecture RDNA 5, voire un dérivé baptisé « UDNA ». Ces applied sciences permettraient à la console d’offrir des graphismes plus fins et détaillés, sans pour autant alourdir la fee de calcul brute. Ce système serait particulièrement utile dans le contexte du jeu en 4K à fréquence élevée, ou pour maintenir la fluidité dans les titres les plus gourmands. Kepler précise que RDNA 5 et RDNA 6 seraient tous deux basés sur un même socle, surnommé « gfx13 », ce qui laisse entendre une continuité technologique plus qu’une break franche avec la génération précédente.
Même si le sujet a déjà été largement abordé pour la PS6, il convient de noter que plusieurs de ces rumeurs tactics concernent à la fois la console de salon et sa déclinaison portable. Le Low Power Mode récemment évoqué pour la PS5 servirait, selon certaines sources, à simuler les performances de la future console nomade. Ce mode réduirait drastiquement la bande passante mémoire, ce qui correspondrait aux obstacles supposées du modèle portable (environ un tiers de la bande passante de la PS5).
Sony semble donc travailler sur une complémentarité entre ses deux codecs. Le tout afin de faciliter le portage de jeux et maintenir une cohérence formulation entre les supports. Les développeurs n’auraient que peu d’efforts à fournir pour adapter leurs titres… Ce qui pourrait garantir un catalogue riche dès les débuts de la nouvelle génération.
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