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  • Économie
  • Défense

Recep Tayyip Erdogan a annoncé, mercredi 11 juin, un premier contrat de vente à l’étranger pour 48 de ses chasseurs-bombardiers de nouvelle génération. Mais la Turquie n’est pas parvenue à développer de manière opérationnelle son propre turboréacteur et négocie avec Washington la possibilité d’équiper l’appareil des moteurs du F16 américain.

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L’avion de combat turc Kaan, au décollage d’une base aérienne du nord d’Ankara, le 21 février 2024.

L’appétit de Jakarta pour la modernisation de ses armées semble loin d’être rassasié, et l’industrie aéromilitaire turque compte bien en profiter. Après avoir signé une lettre d’diagram portant sur l’achat d’une dizaine d’avions Rafale supplémentaires lors de la visite d’Emmanuel Macron à la fin du mois de mai, paraphé un protocole d’accord avec Boeing pour l’achat potentiel de F-15EX américains, le président indonésien, Prabowo Subianto, et son gouvernement viennent d’acquérir 48 chasseurs bombardiers turcs Kaan. C’est en tout cas ce qu’a annoncé l’homme fort d’Ankara, Recep Tayyip Erdogan, sur son compte X, mercredi 11 juin, en félicitant son homologue indonésien pour « le rôle majeur qu’il a joué dans la signature de cet accord ».

Selon le président turc, Jakarta rejoint ainsi le programme d’avion de combat à réaction bimoteur furtif de cinquième génération lancé au début des années 2010 et dont le premier vol d’essai a ecu lieu en février 2024. « Les 48 Kaan seront produits en Turquie et exportés vers l’Indonésie », a-t-il assuré, ajoutant que l’industrie indonésienne « sera également sollicitée » pour la manufacturing de ces futurs avions.

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