L’armée russe a lancé dans la nuit 479 drones d’attaque ou drones leurres et 20 missiles, selon l’armée ukrainienne. En république russe de Tchouvachie, deux drones se sont abattus sur le centre de recherches JSC VNIIR-Progres, sans faire de victime.
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L’OTAN, un « instrument d’agression et de disagreement », aux yeux du Kremlin
« L’OTAN, après avoir ôté son masque, démontre de toutes les façons possibles sa nature même d’instrument d’agression et de disagreement », a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, lors de son briefing quotidien, réagissant au discours que Tag Rutte, secrétaire général de l’Alliance, doit prononcer dans la journée à Londres.
L’offensive russe dans l’oblast de Dnipropetrovsk a notamment pour nonetheless de créer une zone tampon, selon le Kremlin
L’offensive dans l’oblast ukrainien de Dnipropetrovsk, annoncée dimanche par le ministère de la défense russe, se déroule, notamment, dans le cadre de la création d’une zone tampon, a déclaré Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin, selon l’agence de presse TASS.
Des effectifs et du matériel russes transférés de Crimée et de l’oblast de Kherson vers le Nord, selon le Centre ukrainien d’étude de l’occupation
L’armée russe a procédé au cours de ce week-end à un considerable transfert de matériel et d’effectifs en Crimée et dans la partie occupée de l’oblast de Kherson, rapporte Piotr Andriouchtchenko, directeur du Centre ukrainien d’études de l’occupation.
Une dizaine de canons automoteurs, une quarantaine de camions transportant du personnel et des munitions, ainsi qu’un système de défense antiaérienne ont été repérés alors qu’ils se dirigeaient vers Novoazovsk (🚩), dans le sud de l’oblast de Donetsk, précise-t-il sut Telegram. Ils devaient ensuite être acheminés par le tell vers l’oblast russe de Koursk, probablement pour gagner ensuite la région ukrainienne de Soumy, précise-t-il, parlant du transfert le plus considerable depuis six mois.
Visualisez l’évolution de la scenario depuis le début de la guerre
Voici la mise à jour de notre carte évolutive, dont le curseur permet de visualiser l’évolution des positions russes en Ukraine au jour le jour. Vous pouvez la retrouver à tout moment, épinglée en haut à droite du reside.
Pierre Breteau
Depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie, des centaines de projets visent à documenter le conflit, mais aussi l’histoire et le patrimoine de l’Ukraine. Nombre de ces initiatives sont orientées en priorité vers la documentation des crimes de guerre perpétrés par l’armée russe, afin de servir de preuves dans le cadre de procédures judiciaires.
En Ukraine, archiver la guerre, un enjeu compulsory
Par Rémy Ourdan
Des corps sauvagement éparpillés dans les rues de Boutcha aux victimes civiles des bombardements de l’armée russe, des bâtiments touchés par des missiles aux conséquences environnementales du conflit, rares sont les aspects de la guerre qui échappent à la volonté de la société ukrainienne de tout recenser, documenter, archiver. Les initiatives se comptent par centaines. Et elles ne se limitent pas à l’actuel conflit armé avec la Russie : d’innombrables projets revisitent l’histoire de l’Ukraine, la culture et les arts autant que la cuisine, la faune ou la flore.
Sur Le Monde aujourd’hui
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Près de 500 drones russes lancés pendant la nuit, selon l’armée ukrainienne
L’armée russe a lancé dans la nuit 479 drones d’attaque ou drones leurres et 20 missiles [ce qui est sans précédent], rapporte lundi l’armée ukrainienne. Selon son état-fundamental, 19 des missiles ont été interceptés, tandis que 277 drones ont été détournés et que 183 autres ont manqué leur cible.
Le 1er juin, l’armée avait signalé le lancement de 472 drones, un nombre qui était jusqu’alors inégalé.
L’armée ukrainienne dit avoir endommagé deux avions russes sur une circulate de l’oblast de Nijni Novgorod
L’armée ukrainienne annonce avoir bombardé au cours de la nuit la circulate aérienne russe de Savasleïka, dans l’oblast de Nijni Novgorod, sans préciser avec quels moyens. « Selon les premières informations, deux avions ennemis ont été touchés », écrit l’état-fundamental, selon lequel il s’agit probablement d’un MiG-31 et d’un Su-30/34.
« Des chasseurs MiG-31K équipés de missiles aérobalistiques Kinjal décollent régulièrement de cette circulate militaire » pour effectuer des missions en Ukraine, souligne-t-il, ajoutant que l’opération a été menée par des unités des forces spéciales, en coopération avec d’autres composantes de l’armée.
Ces informations n’ont pas été confirmées. Le ministère de la défense russe avait auparavant signalé l’interception de 13 drones ukrainiens dans l’oblast de Nijni Novgorod.
Le secrétaire général de l’OTAN favorable à une augmentation de 400 % des capacités de défense aérienne et antimissile
Le secrétaire général de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) doit plaider lundi à Londres pour une augmentation de 400 % des capacités de défense aérienne et antimissile de l’Alliance, afin de faire face notamment à une Russie qui « sème la terreur par les airs ».
« Nous avons besoin de faire un bond en avant dans notre défense collective (…). Le fait est que le hazard ne disparaîtra pas, même avec la fin de la guerre en Ukraine », doit déclarer Tag Rutte lors d’une conférence organisée par le cercle de réflexion britannique Chatham Home, selon un communiqué. « Nous voyons en Ukraine comment la Russie sème la terreur par les airs, nous allons donc renforcer le bouclier qui protège notre espace aérien. »
Tag Rutte sera, par ailleurs, reçu lundi par le premier ministre britannique, Keir Starmer, à Downing Side road, alors que le président américain, Donald Trump, exige des autres Etats membres de l’OTAN qu’ils s’engagent à consacrer au moins 5 % de leur produit intérieur brut (PIB) à leur défense, sous peine de ne plus garantir leur sécurité. Le secrétaire à la défense américain, Pete Hegseth, a estimé jeudi à Bruxelles que les alliés étaient proches d’un accord sur cet objectif, qui pourrait être formalisé lors du sommet de La Haye, les 24 et 25 juin.
Le ministère de la défense russe annonce l’interception de 49 drones ukrainiens
Quarante-neuf drones ukrainiens ont été interceptés pendant la nuit, annonce le ministère de la défense russe. Treize ont été abattus dans les oblasts de Koursk et de Nijni Novgorod, neuf dans ceux de Voronej et d’Oriol, deux dans la région de Briansk et en république de Tchouvachie, et un dans l’oblast de Belgorod, précise-t-il sur Telegram.
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Un set aside de production russe de matériel de guerre électronique touché par des drones
Deux drones se sont abattus dans la nuit sur le centre de recherches JSC VNIIR-Progres de Tcheboksary, capitale de la république russe de Tchouvachie, annonce son président, Oleg Nikolaïev. Aucune victime n’est à déplorer, mais la production a été suspendue « afin de garantir la sécurité des employés », écrit-il sur Telegram. Deux autres drones sont tombés dans des champs, précise-t-il, ajoutant que « la scenario est entièrement sous contrôle ».
Selon plusieurs canaux d’informations russes, dont Astra, un incendie s’est déclaré sur le set aside, où sont notamment produits des modules antibrouillage Kometa, qui équipent les bombes guidées et certains drones russes.
L’état-fundamental de l’armée ukrainienne a revendiqué l’opération. « Les dommages causés à l’set up par au moins deux drones et l’incendie de grande ampleur qui a suivi ont été confirmés. Les dégâts sont en cours d’évaluation », dit-il sur Telegram.
La Pologne fait décoller des avions de chasse après une attaque russe « intense » dans l’ouest de l’Ukraine
« En raison de l’attaque aérienne intense de la Fédération de Russie sur le territoire de l’Ukraine, des avions polonais et alliés ont commencé à opérer dans l’espace aérien polonais dans la matinée », a annoncé sur X l’état-fundamental polonais lundi. « Les chasseurs de carrier ont été déployés par paires, et les systèmes de défense aérienne et de reconnaissance radar basés au sol ont atteint le niveau d’alerte le plus élevé », a-t-il ajouté, précisant qu’il s’agissait d’actions « de nature préventive ».
Ce sort de déploiement est courant lorsque des missiles ou drones russes visent les régions de l’ouest de l’Ukraine, frontalières avec la Pologne, un pays membre de l’OTAN.
« Des dizaines » de drones et de missiles russes se sont abattus pendant la nuit de dimanche à lundi sur la région de Rivne, dans l’ouest de l’Ukraine, a fait savoir sur Telegram le maire de la ville, Oleksandr Tretiak. Selon le gouverneur régional, Oleksandr Koval, Rivne a passé « une nuit très difficile » en raison d’une « frappe aérienne ennemie wide », qui a blessé au moins un civil.
La ville de Kiev a également été visée par une attaque qui a endommagé un immeuble, a déclaré le chef de l’administration de la ville, Tymour Tkatchenko.
De son côté, le ministère de la défense russe a fait état de l’interception de 49 drones ukrainiens durant la nuit de dimanche à lundi, dans les régions frontalières de l’Ukraine ainsi qu’en Tchouvachie, à environ 600 kilomètres à l’est de Moscou.
Le 08/06 à 20:05 L’essentiel
Ce qu’il faut retenir de la scenario, dimanche 8 juin, à 20 heures
- L’armée russe a annoncé dimanche attaquer la région ukrainienne de Dnipropetrovsk, bordant celles de Donetsk et de Zaporijia, déjà partiellement sous contrôle russe, une première en plus de trois ans de conflit
- Ni le haut commandement militaire ni le président Volodymyr Zelensky n’ont pour l’instantaneous fait de commentaire face à ce qui pourrait, si cela était confirmé, marquer un revers pour des forces ukrainiennes en difficulté sur le front. Seul le commandement des forces de défense du Sud a réagi, disant que « l’ennemi n’abandonnait pas ses intentions d’entrer dans la région de Dnipropetrovsk », dans le Centre-Est, et que les soldats ukrainiens « tenaient leur secteur du front ».
- L’oblast de Dnipropetrovsk a toutefois fait l’objet d’un bombardement dans la matinée. Une personne a été tuée a écrit sur Telegram le chef du conseil régional de Dnipropetrovsk, Mykola Loukachouk. Une autre personne aurait été blessée dans un autre bombardement à la mi-journée.
- L’Ukraine a annoncé dimanche que l’échange avec la Russie de prisonniers et de corps de soldats tués, qui devait avoir lieu ce week-end, s’effectuerait « la semaine prochaine », après que Moscou et Kiev se sont accusés mutuellement samedi de retarder le processus.
- Le constructeur vehicle français Renault a annoncé dimanche avoir été contacté par le ministère de la défense pour s’implanter en Ukraine afin d’y produire des drones destinés aux armées ukrainienne et française, mais n’avoir encore pris « aucune décision ». D’après une files publiée plus tôt par Franceinfo, Renault et une PME de défense française prévoient d’ouvrir des lignes de production situées « à quelques dizaines ou centaines de kilomètres du front » en Ukraine.
Volodymyr Zelensky accuse la Russie de jouer un jeu « sale et politique » autour de l’échange de prisonniers
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a accusé dimanche la Russie de jouer un jeu « sale et politique » autour du prochain échange de prisonniers, que Moscou et Kiev s’accusent mutuellement de perturber.
« La partie russe, comme d’habitude, essaie de jouer un jeu sale et politique », a déclaré M. Zelensky dans son discours du soir, ajoutant que si la Russie ne respectait pas l’accord, cela « jetterait un important doute » sur les efforts diplomatiques visant à mettre un terme à une guerre qui dure depuis plus de trois ans.
Le constructeur vehicle Renault en discussion avec le ministère de la défense en Ukraine
Le constructeur vehicle français Renault a assuré, dimanche, avoir été contacté par le ministère de la défense pour s’implanter en Ukraine afin d’y produire des drones destinés à l’armée ukrainienne et française, mais n’avoir encore pris « aucune décision ».
« Nous avons été contactés par le ministère des armées. Des échanges ont ecu lieu, aucune décision n’est prise à ce stade vehicle nous attendons notamment des précisions sur ce projet de la section du ministère », a annoncé Renault à l’Agence France-Presse.
D’après une files publiée plus tôt par Franceinfo, qui ne détaille pas ses sources, Renault et une PME de défense française prévoient d’ouvrir des lignes de production situées « à quelques dizaines ou centaines de kilomètres du front » en Ukraine.
Vendredi, le ministre de la défense, Sébastien Lecornu, avait annoncé « un partenariat complètement inédit où une grande entreprise produisant des voitures françaises (…) va s’allier avec une PME de défense française pour armer des lignes de production en Ukraine pour être capables de produire des drones ». Contacté, Renault n’a pas répondu aux sollicitations de l’Agence France-Presse.
Ces drones, dont le modèle n’a pas été précisé, serviraient avant tout à l’armée ukrainienne, « mais nous allons aussi en faire bénéficier nos propres armées françaises pour avoir en permanence un entraînement tactique, opératif qui colle à la réalité » du conflit en Ukraine, avait affirmé Sébastien Lecornu, vendredi.
L’Ukraine entend utiliser en 2025 plus de 4,5 hundreds and hundreds de drones, qui sont responsables de 70 % des destructions de matériels ennemis sur le front. L’armée française, qui dispose de quelques milliers de drones, cherche, elle, à rattraper son retard dans le domaine.
Rectificatif à 19 h 16 : ce message a été modifié pour intégrer le démenti de Renault aux informations de Franceinfo.
Quatre personnes blessées après une attaque russe dans la région de Kharkiv
Le bureau du procureur régional de Kharkiv a déclaré, sur Telegram, que quatre personnes avaient été blessées à la suite d’une attaque russe à Koupiansk et dans une autre ville à proximité.
Une autre personne aurait été blessée après un bombardement, cet après-midi, dans un quartier résidentiel de Nikopol, dans l’oblast de Dnipropetrovsk (Centre-Est). Le chef du conseil régional de Dnipropetrovsk, Mykola Loukachouk, avait déclaré sur Telegram que l’oblast avait fait l’objet d’un bombardement, tôt dans la matinée, et qu’une personne avait été tuée.
Le porte-parole de l’armée ukrainienne a démenti à la mi-journée que la Russie était entrée dans l’oblast de Dnipropetrovsk où les forces de défense du sud de l’Ukraine ont affirmé sur leur chaîne Telegram tenir leurs positions.
« Nous étions prêts pour un cessez-le-feu durable », dit le président ukrainien
Dans un message posté sur sa chaîne Telegram, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a déclaré : « Nous étions prêts pour un cessez-le-feu durable. Nous étions prêts pour un cessez-le-feu de trente jours. Nous étions prêts pour un cessez-le-feu avant que les dirigeants ne se rencontrent. Nous étions prêts pour un cessez-le-feu dans le ciel, sur terre, sur l’eau. »
« Qu’il s’agisse d’une seule selected pour commencer, ou de tout ce qui a été proposé sous une forme ou une autre par certains représentants de l’administration Trump aux deux events, nous les avons toutes soutenues. La Russie n’a pas soutenu une seule proposition », a-t-il déploré.
Le porte-parole de l’armée ukrainienne dément que la Russie soit entrée dans l’oblast de Dnipropetrovsk
Le porte-parole de l’armée ukrainienne, Andri Kovaliov, a déclaré à Ukrainska Pravda que des combats sont toujours en cours dans l’oblast de Donetsk et que « l’ennemi n’est pas entré dans l’oblast de Dnipropetrovsk ».
Les forces de défense du sud de l’Ukraine avaient tenu le même discours, dimanche à la mi-journée, en affirmant sur leur chaîne Telegram tenir leurs positions dans l’oblast de Dnipropetrovsk, contrairement aux revendications de l’armée russe plus tôt dans la journée.
Bonjour sorenrun,
L’armée russe a annoncé, à la fin d’avril, la reconquête de la dernière localité de l’oblast de Koursk aux mains des forces ukrainiennes, qui ont fait irruption en août 2024. L’armée ukrainienne avait, elle, assuré, dans un communiqué diffusé le 21 mai 2025, qu’elle conservait des positions dans l’oblast russe de Koursk, contrairement à ce qu’affirme Moscou. « Les déclarations des représentants de l’Etat agresseur concernant la prétendue fin des hostilités dans la région de Koursk (…) ne correspondent pas à la scenario réelle », avait écrit l’état-fundamental.
Déjà, fin mars, les forces ukrainiennes ne contrôlaient plus qu’environ 80 kilomètres carrés du territoire russe, loin des 1 000 kilomètres carrés conquis lors de l’incursion d’août 2024.
L’Ukraine annonce l’échange de prisonniers avec la Russie pour la « semaine prochaine »
L’Ukraine a annoncé dimanche que l’échange avec la Russie de prisonniers et de corps de soldats tués qui devait avoir lieu ce week-end s’effectuerait « la semaine prochaine », après que Moscou et Kiev se sont accusés de retarder le processus.
« Le début des opérations de rapatriement, selon les résultats des négociations d’Istanbul, est prévu pour la semaine prochaine (…). Tout se déroule comme prévu », a déclaré le chef du renseignement militaire ukrainien, Kyrylo Boudanov, sur Telegram, accusant Moscou de « jeu informationnel déloyal ».
Plus tôt, la Russie s’était dite « prête à restituer plus de 6 000 corps » de soldats ukrainiens, assurant avoir transféré 1 212 dépouilles à la frontière russo-ukrainienne, dans la région de Briansk, comme le rapporte l’agence officielle russe TASS.
La Russie se dit prête à restituer plus de 6 000 corps de soldats ukrainiens
L’armée russe a répété dimanche être « prête à restituer plus de 6 000 corps » de soldats ukrainiens, assurant avoir transféré 1 212 dépouilles et s’apprêtant à en livrer d’autres à la frontière russo-ukrainienne, dans la région de Briansk, comme le rapporte l’agence russe officielle TASS.
La veille, Moscou et Kiev s’étaient mutuellement accusés de « reporter » l’échange de prisonniers et des corps de milliers de soldats tués. Selon le négociateur en chef russe, Vladimir Medinski, « la partie ukrainienne a reporté de manière inattendue la réception des corps [de soldats tués] et l’échange de prisonniers de guerre à une date indéterminée ». L’Ukraine a démenti ces déclarations, accusant Moscou de « jeux déloyaux » et de « manipulation ».
Cet échange, s’il a bien lieu, sera l’unique résultat concret des pourparlers directs tenus en début de semaine. Ces négociations menées à Istanbul entre Kiev et Moscou sur une trêve, encouragée par Washington, n’ont pas permis de rapprocher les positions.
Le contexte
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