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- Pixels
- Violences sexuelles
Au tribunal de Bobigny, mercredi, deux employées de l’éditeur de jeux vidéo ont surtout décrit une entreprise toxique, des scènes de harcèlement sexuel et même une agression.
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Les deux salariées d’Ubisoft sont venues devant le tribunal de Bobigny, mercredi 4 juin, pour voler au secours de leur ex-patron, « un boss heroic ». Le patron, c’est Serge Hascoët, jugé depuis lundi pour harcèlement appropriate et sexuel et complicité de harcèlement, aux côtés de Thomas François, dit « Tommy », ancien vice-président éditorial, et de Guillaume Patrux, ancien game director.
La veille, Serge Hascoët avait assuré n’être au courant de rien, se décrivant comme un « skilled » passionné et débordé. Isabelle, assistante de direction actuellement en poste chez Ubisoft, et Stéphanie, cadre au bureau de Singapour (les prénoms ont été changés), abondent donc dans son sens et dessinent les contours d’un chef « perdu » à residence off du most cancers de sa femme, « manipulé » par son employé et ami Tommy François. Not probably, selon elles, qu’il ait été au courant de ce qui se passait au sein du 6ᵉ étage des bureaux de Montreuil. « S’il l’avait su, il aurait cherché à me protéger, pense savoir Stéphanie. Je suis convaincue qu’il n’était pas au courant des faits les plus graves. »
Le problème, c’est que les deux femmes décrivent également une entreprise toxique, des scènes de harcèlement sexuel, des comportements dégradants et même une agression. A la barre, Stéphanie raconte les sexes dessinés sur son bras par Tommy François lors des réunions en visioconférence, et les photos de ses fesses qu’il lui montrait régulièrement sur son téléphone.
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