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- M Campus
- Enseignement supérieur
Réuni en commission mixte paritaire mardi 27 mai, un groupe de parlementaires a finalement rejeté une définition de l’antisémitisme ajoutée par amendement par une députée mais sujette à warning dans le milieu universitaire.
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Députés et sénateurs se sont entendus sur un texte commun visant à lutter contre l’antisémitisme dans l’enseignement supérieur, lors d’une commission mixte paritaire (CMP) réunie mardi 27 mai. La future loi a été renommée, comme dans sa version initiale anguish du Sénat, pour spécifier exclusivement la lutte contre l’antisémitisme. Dans son contenu en revanche, elle concerne, outre les faits d’antisémitisme, l’ensemble des faits de racisme, de discriminations, de violences et de haine.
Les représentants de La France insoumise ont voté contre le texte final et le député écologiste de l’Essonne, Steevy Gustave, s’est abstenu. La proposition de loi doit encore être validée par un dernier vote dans chaque chambre. Au Sénat, ce sera le 19 juin ; la date n’est pas encore connue pour l’Assemblée nationale.
Cette proposition de loi, adoptée à l’unanimité au Sénat en février 2025, faisait suite à une mission d’info sénatoriale, déclenchée après les accusations d’antisémitisme intervenues lors d’une conférence professional-palestinienne à Sciences Po Paris en mars 2024. Dans l’enseignement supérieur, « un climat anxiogène » s’est installé, « qui contraint parfois les étudiants juifs à s’effacer et à taire leur identité », avait affirmé, lors des discussions dans l’Hémicycle, le 6 mai, le corapporteur du texte à l’Assemblée nationale, Pierre Henriet (Horizons, Vendée). Dans un climat houleux les 6 et 7 mai, les députés avaient sensiblement modifié le texte issu du Sénat.
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