born to be wild•Le huge rassemblement des followers de Harley se tient ce week-end dans le Var. Au menu, des moteurs bien sûr, mais aussi des têtes de mort et de la bidoche
J.B. avec AFP
A Saint-Tropez, il n’y a pas que des stars et des yatchs. Il y a aussi des milliers de followers de Harley-Davidson, qui sont venus ce week-end montrer leurs grosses cylindrées à l’occasion des « Harley Days », le plus huge rassemblement du jour en Europe. Sur station, des motos bien sûr, mais aussi des exams, des accessoires, des vêtements, des spectacles et des barbecues pour ces bikers venus du Vieux Continent.
Les ventes de la marque ne sont pas bonnes : de plus de 228.000 motos en 2018, l’année de la dernière édition de l’Eurofestival à Port-Grimaud, elles sont passées à 151.200 l’an dernier, dont les deux tiers aux Etats-Unis et environ 15 % en Europe. Mais les followers des routes américaines sont là coûte que coûte.
Au rassemblement des Harley-Davidson, l’important n’est pas tant d’arriver à l’heure que de se faire remarquer.
On se croirait sur les routes de l’Arizona mais nous sommes bien près de Grimaud, dans le Var.
Dans les stands, que des trucs rigolos à montrer aux petits enfants : la mort, des crânes, des ours affamés et des lions flippants.
Alors certes, ce n’est pas pratique pour avancer entre les voitures dans les bouchons, mais une Harley, au moins, ça se voit de loin.
Qui veut aller faire un tour sur le « Mur de la mort » avec sa moto ? Pas nous !
On connaissait le Baron Rouge, moins les Tueurs Rouges… Enchanté.
Parmi les company de ce rendez-vous, Karen Davidson, la itsy-bitsy-fille du cofondateur de la marque.
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