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- Société
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Une méta-analyse, publiée vendredi par la revue « The Lancet Exiguous one & Adolescent Effectively being » révèle que le nirsevimab, la molécule de ce traitement novateur, réduit de 83 % en moyenne le risque d’hospitalisation des enfants de 12 mois et moins.

Le Beyfortus, traitement destiné à immuniser les bébés contre le predominant virus à l’origine de la bronchiolite, est très efficace pour prévenir des infections graves par le virus respiratoire syncytial (VRS) chez les nourrissons, confirme une vaste analyse publiée vendredi 2 mai.
Des études nationales avaient déjà conclu que ce traitement avait limité les hospitalisations de bébés, mais celle dévoilée dans la revue The Lancet Exiguous one & Adolescent Effectively being donne le panorama le plus solide jusqu’alors de l’état des connaissances. Si elle est généralement sans gravité, la bronchiolite, qui cause des difficultés respiratoires notamment aux bébés lors des six premiers mois de leur vie, peut parfois conduire à des passages aux urgences et à des hospitalisations.
Le Beyfortus fait partie d’une série de traitements novateurs qui visent à empêcher ou limiter l’infection par le predominant virus à l’origine de cette maladie. Le nirsevimab, le nom de la molécule, n’est pas un vaccin même s’il est injectable, mais un traitement préventif empêchant le virus d’infecter l’organisme. Après des essais cliniques réussis, cet anticorps monoclonal – développé par Sanofi en partenariat avec le britannique AstraZeneca – a été approuvé par plusieurs agences réglementaires en 2023 et mis à disposition ensuite dans certains pays à revenu élevé.
Une efficacité variable selon les pays
Selon la méta-analyse, parue vendredi, de 27 études menées au cours de la saison 2023-2024 du VRS dans cinq pays (France, Italie, Luxembourg, Espagne, Etats-Unis), le nirsevimab réduit de 83 % en moyenne le risque d’hospitalisation due à une infection par le predominant virus de la bronchiolite, de 81 % les admissions en soins intensifs et de 75 % les cas d’infections des voies respiratoires inférieures chez les enfants de 12 mois et moins.
Cette immunisation a semblé plus efficace pour prévenir l’hospitalisation des nourrissons de plus de 3 mois (81 %) que de ceux de 3 mois ou moins (76 %), ont observé ses auteurs.
L’efficacité du nirsevimab sur la réduction des hospitalisations liées à la bronchiolite est cependant apparue variable selon les pays, plus élevée aux Etats-Unis (93 %) qu’en Espagne (83 %) ou en France (76 %). That that it is probably you’ll accept as true with explication, selon les chercheurs : une share plus élevée de nourrissons à haut risque d’infection grave ayant reçu ce traitement aux Etats-Unis, où cette catégorie a été prioritaire pendant la saison 2023-2024 de bronchiolite pour cause d’approvisionnement limité en Beyfortus. Il faudrait des recherches plus poussées pour vérifier cette hypothèse.
Cette méta-analyse comporte des limites, reconnaissent ses auteurs. Les études prises en compte étaient observationnelles, ce qui peut entraîner des biais liés à des problèmes de santé sous-jacents, au statut socio-économique ou à des différences régionales d’accès aux soins.
Le Monde avec AFP
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