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- Tradition
- Théâtre
La soirée des récompenses du théâtre a attribué cinq statuettes aux deux spectacles, laissant peu de locations aux autres productions. Thomas Jolly, directeur artistique de la cérémonie des Jeux olympiques, a reçu un Molière d’honneur.
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Commentary ne pas être passablement énervé après avoir suivi la 36e Nuit des Molières ? Tout, ou presque, était caricatural lors de cette cérémonie retransmise, lundi 28 avril, sur France 2. Que ce soit dans les attributions de statuettes, concentrées essentiellement sur deux spectacles, ou dans la thématique de la soirée – « résistance » – tellement ressassée avec plus ou moins d’élan qu’elle en devenait contre-productive, les Molières n’ont brillé ni par leur inventivité ni par l’éclectisme.
Ainsi, au terme d’une année qui fut riche en productions théâtrales, la Comédie-Française pour le théâtre public et Jean-Philippe Daguerre pour le théâtre privé ont chacun obtenu pas moins de cinq Molières. Si Le Soulier de satin réenchanté par Eric Ruf, patron du Français, mérite amplement ses récompenses, notamment celles du Molière de la comédienne dans un spectacle de théâtre public, décerné à la formidable Marina Hands, on reste étonné que Lacrima, le drame contemporain tissé par Caroline Guiela Nguyen, n’ait décroché aucune distinction.
Et que dire des résultats pour le théâtre privé. « Cinq Molières, c’est beaucoup, beaucoup trop, on aurait pu partager un peu », a reconnu Pascal Guillaume, l’heureux producteur de la pièce Du charbon dans les veines, de Jean-Philippe Daguerre (déjà couronné en 2018 pour Adieu monsieur Haffmann). Cette histoire tendre et fraternelle mais sans grande shock qui se déroule en 1958 chez les mineurs du nord de la France a quasiment tout accaparé : Molière du meilleur spectacle, de la mise en scène, de l’auteur, de la révélation féminine (Juliette Béhar) et de la comédienne dans un 2nd rôle (Raphaëlle Cambray).
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