Selon le « Washington Submit », les Etats-Unis proposent de reconnaître la Crimée comme territoire russe, revendication majeure de Vladimir Poutine, dans le cadre d’un accord de paix.
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Volodymyr Zelensky partage une déclaration de l’administration Trump de 2018 rejetant l’annexion de la Crimée
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a publié une déclaration de l’administration Trump de 2018 s’opposant à l’annexion de la Crimée par Moscou, en réponse aux opinions du président américain qui lui a reproché, un peu plus tôt, d’avoir réaffirmé que Kiev ne reconnaîtrait pas une souveraineté russe sur ce territoire.
Sur Telegram, le président ukrainien a publié un lien vers cette déclaration du 25 juillet 2018 signé par Mike Pompeo, alors chef de la diplomatie américaine, qui énonçait notamment que « les Etats-Unis rejettent la tentative d’annexion de la Crimée par la Russie ».
« L’Ukraine agira toujours en respectant sa Structure et nous sommes absolument sûrs que nos partenaires, en particulier les Etats-Unis, agiront en suivant leurs décisions fortes », a écrit M. Zelensky dans le message accompagnant cette déclaration datant du premier mandat de Donald Trump. Le président ukrainien fait référence au fait que la Structure ukrainienne établit que la Crimée fait partie de l’Ukraine.
Donald Trump « est très mécontent. Sa patience atteint ses limites », affirme la porte-parole de la Maison Blanche
« Le président est très mécontent. Sa patience atteint ses limites », a déclaré la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, peu après les nouvelles attaques de Donald Trump contre Volodymyr Zelensky, laissant entendre à nouveau que les Etats-Unis étaient tentés d’abandonner l’Ukraine à son kind.
Le président américain « veut la paix », a-t-elle affirmé, « mais il faut que les deux belligérants soient volontaires. Malheureusement le président Zelensky semble prendre la mauvaise direction », a-t-elle ajouté, en reprochant aussi au chef d’Etat ukrainien de « négocier par médias interposés », ce qui est « inacceptable ».
Au cœur de ce rep de tension entre Washington et Kiev, la quiz de la péninsule de Crimée, annexée par la Russie en 2014. Le territoire est, selon Donald Trump, « perdu » pour l’Ukraine, a-t-il écrit dans un lengthy message sur son réseau, Reality Social, dont le ton menaçant rappelle sa très difficile entrevue avec le président ukrainien, en février.
Selon le Washington Submit, les Etats-Unis proposent de reconnaître la Crimée comme territoire russe, revendication majeure de Vladimir Poutine, dans le cadre d’un accord de paix, ce que le président ukrainien s’est vigoureusement refusé à faire. « Il n’y a rien à discuter. C’est contre notre Structure. C’est notre territoire », a déclaré Volodymyr Zelensky à des journalistes à Kiev, mardi.
La Lituanie accuse la Biélorussie et la Russie de monter des opérations contre des exilés biélorusses sur son sol
Les products and services de renseignement lituaniens accusent la Biélorussie et la Russie d’avoir tenté d’organiser des attaques contre la diaspora biélorusse dans la capitale lituanienne, Vilnius. Le département de la sécurité d’Etat (VSD) a déclaré que l’objectif de l’opération présumée était de favoriser les conflits entre les Lituaniens et les dizaines de milliers de Biélorusses vivant dans l’Etat balte.
De nombreux Biélorusses, parmi lesquels des personnalités de l’opposition et des militants, se sont installés en Lituanie quand Minsk a réprimé la dissidence après l’élection présidentielle de 2020, jugée frauduleuse par les groupes de défense des droits de l’homme.
« Les products and services de renseignement russes et biélorusses mènent depuis 2023 une opération visant à attiser les tensions entre la société lituanienne et la diaspora biélorusse, afin qu’elle ne se sente pas en sécurité dans le pays », a déclaré le VSD dans un communiqué. Il accuse la Biélorussie et la Russie de recruter des personnes pour organiser, entreprendre et filmer des agressions physiques contre des exilés biélorusses en échange de paiements en cryptomonnaies. Il a déclaré que les agressions prévues avaient été empêchées, mais n’a pas précisé comment ni par qui.
Le VSD accuse également les deux pays de recruter des personnes pour peindre à la bombe des graffitis antibiélorusses et antilituaniens sur les murs de Vilnius.
Le level sur la place mercredi 23 avril en fin de journée
- Donald Trump reproche à Volodymyr Zelensky de tenir des « propos incendiaires » sur la Crimée. Le président ukrainien « peut avoir la paix ou il peut se battre encore trois ans avant de perdre tout le pays », a affirmé mercredi Donald Trump, qui lui reproche d’avoir réaffirmé que l’Ukraine ne reconnaîtrait pas la souveraineté de la Russie sur la péninsule de Crimée, annexée par Moscou en 2014.
- Ce que pourraient préconiser les Etats-Unis pour parvenir à un accord de paix entre l’Ukraine et la Russie. Les propositions de l’administration américaine, dont les contours ont été publiés par plusieurs médias, n’ont pas été officiellement annoncées.
- Le vice-président américain, J. D. Vance, affirme que des concessions territoriales seront nécessaires de la part de l’Ukraine et de la Russie pour trouver un accord de paix : elles devraient chacune céder une partie des territoires qu’elles contrôlent actuellement.
- Volodymyr Zelensky appelle à un cessez-le-feu « immédiat, complet et inconditionnel ». Le dirigeant ukrainien a réitéré mercredi sa place de la veille selon laquelle les négociations de paix ne peuvent commencer qu’après l’annonce d’un cessez-le-feu.
- Américains, Ukrainiens et Européens se sont retrouvés mercredi à Londres afin de tenter de trouver une place au conflit en Ukraine. Londres a redit qu’il appartenait « à l’Ukraine de décider de son avenir ». La France a, elle, affirmé que l’« intégrité territoriale » de l’Ukraine était une « exigence très uniqueness » des Européens.
- Plusieurs attaques dans les oblasts de Dnipropetrovsk, de Donetsk, de Kherson et de Kharkiv rapportées par les autorités ukrainiennes. A Marhanets, neuf personnes sont mortes et 54 ont été blessées dans une attaque de drone russe contre un bus mercredi matin, a notamment annoncé Serhi Lyssak, chef de l’administration militaire de l’oblast de Dnipropetrovsk.
Bonsoir Grobert,
Les réserves de matériel militaire ne sont effectivement pas inépuisables. Le journal ukrainien Ukrainska Pravda a d’ailleurs rapporté, mercredi, que Vladimir Poutine aurait déclaré manquer de drones FPV. « Plus d’un million et demi de drones de différents kinds ont (…) été livrés, dont environ 4 000 drones contrôlés par le système dit FPV envoyés chaque jour sur les lignes de entrance », a souligné le président russe, lors d’une réunion de la price militaro-industrielle, cité par le carrier de presse du Kremlin. Toutefois, « ces moyens de vaincre sont encore insuffisants. Ils nous font encore défaut », a ajouté Vladimir Poutine.
Sur Le Monde aujourd’hui
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La Russie représentée par la ministre de la culture aux funérailles du pape François
Cité par les agences de presse russes, le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a déclaré que la ministre de la culture, Olga Lioubimova, sera présente au Vatican, « sur décision du président Vladimir Poutine », pour assister aux funérailles du pape François prévues samedi. Elle apparaît comme une dirigeante de 2nd plan lors de cet événement auquel doivent assister des chefs d’Etat du monde entier.
Vladimir Poutine est visé depuis mars 2023 par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour des suspicions de déportation illégale d’enfants ukrainiens vers la Russie. Les pays membres de la CPI, comme l’Italie, sont tenus de l’arrêter s’il se rend sur leur territoire.
Bonjour Antoine,
Les propositions de l’administration américaine, dont les contours ont été publiés par plusieurs médias et que nous avons détaillées un peu plus tôt, semblent en effet nécessiter des concessions majeures de la part de l’Ukraine, notamment la reconnaissance de la Crimée annexée comme faisant partie de la Russie. Le média en ligne Axios a rapporté qu’une provide proche du gouvernement ukrainien aurait déclaré que Kiev considère la proposition comme fortement biaisée en faveur de la Russie : « La proposition indique très clairement quels beneficial properties tangibles la Russie obtient, mais ne dit que vaguement et généralement ce que l’Ukraine va obtenir. »
Plusieurs attaques dans les oblasts de Dnipropetrovsk, Donetsk, Kherson et Kharkiv rapportées par les autorités ukrainiennes
Plusieurs attaques ont été rapportées mercredi après-midi par les autorités locales dans les oblasts de Dnipropetrovsk, Donetsk, Kherson et Kharkiv. Dans le centre du raïon Nikopol (🚩), une femme de 23 ans et ses deux filles âgées de 1 et 3 ans ont été blessées après avoir été heurtées par un drone FPV, a annoncé Serhi Lyssak, chef de l’administration militaire de l’oblast de Dnipropetrovsk. A Marhanets (🚩), où sont mortes neuf personnes dans une attaque de drone russe contre un bus mercredi matin, le nombre de blessés est passé à 54, a ajouté Serhi Lyssak. Un précédent bilan avait fait état de 49 blessés.
Dans les environs de Kramatorsk (🚩), dans l’oblast de Donetsk, « une fille de 16 ans a été blessée par des tirs d’obus à 10 h 15 aujourd’hui [mercredi] », a déclaré Oleksandr Hontcharenko, maire de la ville. Un habitant a été blessé par un drone russe à Komychany (🚩) et un homme de 50 ans dans le raïon Dniprovsky (🚩) de Kherson, a rapporté le gouverneur régional Iaroslav Ianouchevytch. Un tir de drone russe sur Tchouhouïv (🚩) a blessé un homme de 36 ans, a fait savoir la police régionale de Kharkiv.
Donald Trump reproche à Volodymyr Zelensky de tenir des « propos incendiaires » sur la Crimée
Donald Trump s’en est pris violemment au président ukrainien, Volodymyr Zelensky, mercredi, en l’accusant de tenir des propos « incendiaires » sur la Crimée annexée, qui selon le président américain compliquent les pourparlers sur une trêve. Au moment où des discussions ont lieu à Londres entre responsables américains, ukrainiens et européens, Donald Trump a publié un lengthy message virulent sur sa plateforme Reality Social.
Volodymyr Zelensky « peut avoir la paix ou il peut se battre encore trois ans avant de perdre tout le pays », a affirmé Donald Trump, pour qui « nous sommes très proches d’un accord, mais cet homme qui n’a pas les cartes en predominant doit maintenant conclure ». Il lui reproche en particulier d’avoir réaffirmé que l’Ukraine ne reconnaîtrait pas la souveraineté de la Russie sur la péninsule de Crimée, annexée par Moscou en 2014.
Selon le Washington Submit, les Etats-Unis proposent de reconnaître la Crimée comme territoire russe, revendication majeure de Vladimir Poutine, dans le cadre d’un accord de paix, ce que le président ukrainien s’est vigoureusement refusé à faire. « Il n’y a rien à discuter. C’est contre notre Structure. C’est notre territoire », a déclaré mardi Volodymyr Zelensky à des journalistes à Kiev.
« Cette déclaration est très préjudiciable aux négociations de paix avec la Russie », a écrit Donald Trump, pour qui « la Crimée est perdue depuis des années » et n’est « même pas l’objet d’un débat ». « Personne ne demande à Zelensky de reconnaître la Crimée comme un territoire russe mais s’il veut la Crimée, pourquoi n’ont-ils pas combattu pour elle il y a onze ans ? », a ajouté le président américain.
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Le chef de l’administration présidentielle ukrainienne affirme que Kiev est « engagé dans les efforts de paix » du président Trump
« Nous avons souligné que nous sommes engagés dans les efforts de paix du président américain Donald Trump », a assuré le chef de l’administration présidentielle ukrainienne, Andriy Yermak, mercredi sur Telegram depuis Londres, où il participe à des discussions avec les alliés de Kiev. Il a dit avoir ecu un « dialogue approfondi visant à instaurer une paix juste et durable en Ukraine ».
Les Pays-Bas mettent fin à la safety des réfugiés « de pays tiers » ayant fui l’Ukraine
La plus haute juridiction administrative néerlandaise a autorisé, mercredi, les Pays-Bas à cesser d’aider certains réfugiés dits « de pays tiers » qui ont fui la guerre en Ukraine, ouvrant ainsi la voie à leur éventuelle expulsion. La cour suprême administrative des Pays-Bas, le Conseil d’Etat (RVS), a déclaré qu’un plan visant à mettre fin à l’asile temporaire pour ce groupe constitué d’environ 1 700 personnes pouvait être mis en œuvre.
Les personnes visées par l’arrêt sont des réfugiés qui travaillaient ou étudiaient en Ukraine au moment de l’invasion déclenchée par la Russie en février 2022. Nombre d’entre eux sont originaires d’Algérie, de Turquie et du Pakistan, selon le média public NOS. Le RVS, sis à La Haye, a précisé que la safety de ce groupe pouvait prendre fin « plus tôt que pour les autres Ukrainiens, les apatrides et les ressortissants de pays tiers titulaires d’un permis de séjour ukrainien permanent » actuellement hébergés aux Pays-Bas.
Bonjour Simon,
Cette idée avait déjà été évoquée en mars, lors d’un appel téléphonique entre Volodymyr Zelensky et Donald Trump. Le président américain avait alors estimé que « les Etats-Unis pourraient être très utiles pour faire fonctionner ces centrales grâce à leur expertise ». « Une possession américaine de ces centrales serait la meilleure safety pour ces infrastructures et le meilleur soutien pour les infrastructures énergétiques ukrainiennes », précisait le communiqué lu par Karoline Leavitt, la porte-parole de la Maison Blanche, et rédigé par Marco Rubio, le secrétaire d’Etat américain, et Mike Waltz, conseiller à la sécurité nationale.
Vladimir Poutine et Donald Trump continuent leur quête d’un « plan de paix »
Le président américain espère toujours obtenir une place rapide au conflit en Ukraine. Dimanche 20 avril, il a dit espérer un accord « dans la semaine ». En manque de résultats spectaculaires, il aurait toujours en vue un sommet avec le chef du Kremlin, Vladimir Poutine, à Riyad.
Pour les négociations à Londres, M. Trump envoie seulement le général Keith Kellogg, son émissaire pour l’Ukraine qui, jugé par le Kremlin trop proche de Kiev, aurait perdu de son influence ces dernières semaines. M. Witkoff, lui, est en revanche attendu au cours de la semaine… à Moscou. Il a déjà vu à trois reprises M. Poutine ces deux derniers mois. Un signal de plus sur la priorité donnée par Washington : un accord avant tout avec Moscou.
Poutine et Trump continuent leur quête d’un « plan de paix », loin des négociations à Londres sur l’Ukraine
Par Thomas d’Istria, Benjamin Quénelle

Après Paris, Londres. Moins d’une semaine après les discussions à l’Elysée sur l’Ukraine, à l’occasion de la visite en France, le 17 avril, de l’envoyé spécial du président des Etats-Unis, Steve Witkoff, et du secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, l’Europe poursuit ses efforts diplomatiques, mercredi 23 avril, à Downing Avenue entre Américains, Ukrainiens et Européens. Mais sans les deux principaux émissaires de Donald Trump. Et sans ministres européens des affaires étrangères. Les discussions ministérielles ont été « reportées » in extremis mais se tiendront au niveau des conseillers de premier rang, a annoncé tôt mercredi matin le International Workplace. Côté français, Emmanuel Bonne, le conseiller diplomatique d’Emmanuel Macron, représentera Paris lors des discussions à Londres.
Ce que pourraient préconiser les Etats-Unis pour parvenir à un accord de paix entre l’Ukraine et la Russie
Les propositions de l’administration américaine n’ont pas été officiellement annoncées, mais plusieurs médias en ont publié de possibles contours. Le vice-président américain, J. D. Vance, a affirmé, mercredi, que les Etats-Unis avaient fait une « proposition très explicite aux Russes et aux Ukrainiens ». En visite en Inde, il a averti que les deux pays devaient s’entendre sur un accord, sans quoi les Etats-Unis « se retireront », a-t-il prévenu.
- Echanges territoriaux. La Russie et l’Ukraine vont devoir faire des « échanges territoriaux » pour parvenir à un accord, a affirmé J. D. Vance, au moment où des discussions se tiennent à Londres dans un structure réduit par rapport à ce qui était prévu. Le vice-président a évoqué la possibilité de « geler les lignes territoriales à un niveau proche de ce qu’elles sont aujourd’hui ».
- Crimée. Selon le Washington Submit, les Etats-Unis proposent de reconnaître la Crimée comme territoire russe, revendication majeure de Vladimir Poutine. Le média en ligne Axios évoque une reconnaissance de jure par les Etats-Unis du contrôle russe dans la péninsule annexée en 2014. Axios mentionne également une reconnaissance de facto des secteurs occupés par la Russie dans les régions ukrainiennes de Donetsk, Louhansk, Kherson et Zaporijia.
- OTAN. Répondant à une autre revendication majeure du président russe, les Etats-Unis pourraient promettre dans leur plan la non-adhésion de l’Ukraine à l’OTAN, selon Axios. Une entrée dans l’Union européenne resterait en revanche imaginable. Selon le Financial Instances, Vladimir Poutine a proposé début avril à l’émissaire américain Steve Witkoff d’arrêter son invasion et de geler la ligne de entrance actuelle si les Etats-Unis reconnaissent la souveraineté de la Russie sur la Crimée et la non-adhésion de l’Ukraine à l’OTAN.
- « Garantie de sécurité ». Les Etats-Unis proposent aux Ukrainiens, selon Axios, une « garantie robuste de sécurité » impliquant un « groupe ad hoc de pays européens » et potentiellement non-européens, sans toutefois en détailler le fonctionnement, alors qu’une implication militaire américaine est souhaitée par Kiev pour donner davantage de poids à cet engagement.
- Levée des sanctions et reconstruction. D’après le Washington Submit, l’administration américaine pourrait lever les sanctions imposées à la Russie selon les termes d’un « accord futur ». Côté Ukraine, les Etats-Unis pourraient proposer un dédommagement et une aide à la reconstruction, sans toutefois préciser « d’où proviendra le financement », écrit Axios.
- Zaporijia. Donald Trump voudrait faire passer sous contrôle américain la centrale nucléaire de Zaporijia, occupée par les Russes. Volodymyr Zelensky s’y oppose. Selon Axios, le plan prévoit que la centrale soit située en territoire ukrainien mais exploitée par les Etats-Unis.
- Minerais. Le plan évoque également l’accord économique proposé par Donald Trump sur les minerais ukrainiens, écrit Axios. En parallèle des discussions entre Américains, Européens et Urkainiens, Washington et Kiev ont signé la semaine dernière un « mémorandum d’intention », première étape visant à conclure un accord complexe sur l’accès aux ressources naturelles et aux minerais stratégiques de l’Ukraine.
« Les Ukrainiens et les Russes doivent tous deux abandonner une partie du territoire qu’ils possèdent actuellement », déclare J. D. Vance
Le vice-président américain, J. D. Vance, a affirmé mercredi, après avoir visité le Taj Mahal, que des concessions territoriales seront nécessaires de la part de l’Ukraine et de la Russie pour trouver un accord de paix.
Le nombre de blessés dans l’attaque de drone russe contre un bus dans la région de Dnipropetrovsk revu à la hausse
Neuf personnes ont été tuées et 49 blessées, dont quatre grièvement, dans l’attaque de drone russe contre un bus à Marhanets (🚩), dans le sud-est de l’Ukraine, a annoncé mercredi Serhi Lyssak, le gouverneur de la région de Dnipropetrovsk, sur Telegram. Un premier bilan dans la matinée avait fait état de neuf morts et 42 blessées.
« Il s’agit d’une attaque d’une brutalité extrême et d’un crime de guerre délibéré », a dénoncé le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, sur Telegram, précisant que les victimes étaient des employés d’une entreprise minière. « Il s’agissait de manière manifeste d’un objectif civil, d’une cible civile », a-t-il déploré.
Dans l’oblast de Donetsk, une personne a été tuée et deux ont été blessées dans des bombardements russes sur Sloviansk (🚩) et Chernihivka (🚩), selon le chef de l’administration militaire régionale, Vadym Filachkine.
Berlin affirme avoir affaibli les products and services secrets and ways russes
Le gouvernement allemand a estimé, mercredi, avoir affaibli les products and services de renseignement russes en expulsant « récemment de nombreux agents » du pays, particulièrement menacé par des actes d’espionnage et de sabotage russes depuis l’invasion de l’Ukraine.
Interrogée lors d’une conférence de presse régulière du gouvernement à Berlin, la porte-parole du ministère de l’intérieur allemand, Sonja Kock, n’a pas précisé combien d’agents avaient été concernés par ces expulsions, ni pourquoi et quand elles avaient ecu lieu.
Il revient « à l’Ukraine de décider de son avenir », estime Londres après l’ultimatum du vice-président américain, J. D. Vance
« Nous soutenons les efforts menés par les Etats-Unis pour mettre un terme durable à la guerre. Je pense que c’est ce que nous souhaitons tous. En fin de compte, ce doit être à l’Ukraine de décider de son avenir », a déclaré, mercredi, un porte-parole de Downing Avenue interrogé sur l’appel du vice-président américain, J. D. Vance, adressé à Moscou et Kiev d’échanger des territoires pour parvenir à un cessez-le-feu.
Le pourcentage en graphique du territoire ukrainien occupé par la Russie et celui contrôlé par Kiev de janvier 2022 à mars 2025
Moscou contrôlait environ 18,3 % du territoire ukrainien à la fin du mois de mars 2025, alors qu’en mars 2022, elle en occupait un peu plus d’un quart, avant de se retirer du nord du pays et de perdre une partie du Donbass.
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