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A 80 ans, l’artiste, actuellement en tournée, a fait mardi 15 avril escale pour la première fois au festival.
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En presque soixante ans de carrière, Michel Polnareff n’était jamais venu au Printemps de Bourges. Lorsque le chanteur, pianiste et auteur-compositeur quitte la France en 1973, le festival n’existe pas encore ; il sera créé en 1977. Mais en 2007, après trente-cinq ans d’absence sur scène en France, sa tournée ne s’arrête pas à Bourges. Ni en 2016, pas plus en 2023. Ce mardi 15 avril, après un concert le 3 avril à Londres, Polnareff est sur la scène du chapiteau W pour la soirée d’ouverture du festival musical qui se tient jusqu’au dimanche 20.
Une étape dans sa « derrière tournée », le « derrière » en ask renvoyant aux affiches des concert events de Polnareff à l’Olympia en octobre 1972, où il apparaissait de dos, fesses nues. Une vingtaine de dates suivront, de mai à fin juin dans des grandes salles, puis en juillet pour une poignée de fairs.
Avant Polnareff, deux chanteuses étaient au programme. Emma Peters d’abord, jolie voix, qui évolue entre une pop un peu électro et des virées bossa-pop ou samba-rock. Puis Barbara Pravi, qui débute par sa chanson Voilà qui, en 2021, avait mené la France en deuxième residence lors de l’Eurovision. Le dépouillement d’un accompagnement au piano, l’expressivité vocale, la fragment d’émotion de son interprétation séduisent. Après, cela se gâte avec un groupe sans finesse, des musiques qui piochent dans à peu près n’importe quoi, imprecise flamenco-rock sans âme, rock FM des années 1980, passages disco ou électro pesants.
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