Le président américain a augmenté à 125 %, mercredi, les droits de douane sur les produits chinois, tout en ouvrant une période de négociations avec les autres partenaires commerciaux des Etats-Unis. La Banque de France a salué un « début de retour à la raison économique ».
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Donald Trump prédit « un accord » avec la Chine, qui « ne sait pas très bien comment s’y prendre », et le reste du monde
Après avoir annoncé une « terminate » dans ses hausses de droits de douane, sauf vis-à-vis de Pékin, Donald Trump a prédit mercredi un accord commercial avec la Chine et le reste du monde. « Il y air of secrecy un accord avec la Chine, il y air of secrecy un accord avec tous [les pays] », a déclaré le président américain devant la presse, alors que ses hausses de droits de douane ont provoqué une panique sur les places financières mondiales. « La Chine veut conclure un accord », mais « ne sait pas très bien comment s’y prendre », a-t-il ajouté.
Le Nasdaq bondit de plus de 10 % après le revirement de Donald Trump
L’indice Nasdaq s’est envolé de plus de 10 % à la Bourse de Novel York mercredi après la volte-face de Donald Trump, qui a annoncé qu’il suspendait pendant trois mois une partie des surtaxes imposées aux partenaires commerciaux des Etats-Unis.
Vers 20 h 40 (heure française), l’indice Nasdaq, à enviornment of abilities coloration technologique, prend 10,43 % à 16 859,83 aspects.
Les « Sept magnifiques », le surnom donné aux grands noms du secteur technologique, bondissent, à l’image de Tesla (+ 10,75 %), Alphabet (+ 8,25 %), Amazon (+ 10,21 %), Meta (+ 12,57 %), Microsoft (+ 8,65 %) et Nvidia (+ 16,61 %). Le géant Apple, qui avait reculé de 4,98 % et dont plus de 750 milliards de valorisation boursière étaient events en fumée la veille, s’envole de 9,73 %.
La Banque de France salue un « début de retour à la raison économique » après le revirement de Donald Trump
« Je salue (…) ce retour à la raison économique et à un peu de réalisme », a déclaré le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, au journal télévisé de France 2, après la suspension par Donald Trump d’une partie des nouveaux droits de douane imposés aux partenaires commerciaux des Etats-Unis.
M. Villeroy de Galhau a toutefois mis en garde contre la « grande imprévisibilité » de la politique américaine.
Le point sur les droits de douane décidés par Donald Trump mercredi à 21 heures
- Le président américain a annoncé une « terminate » de quatre-vingt-dix jours dans les droits de douane imposés par Washington à des dizaines de pays, ainsi qu’une « baisse substantielle » de ces droits à 10 % pendant cette période.
- La Chine n’est pas concernée par cette décision, au contraire : Donald Trump a fait section de sa décision d’augmenter à 125 % les droits de douane sur les produits chinois entrant aux Etats-Unis.
- Immédiatement après l’annonce de cette « terminate », la Bourse américaine a repris des couleurs, le Dow Jones bondissant de 5,61 % et l’indice élargi S&P 500 de 6,22 %. A 20 h 40 (heure française), l’indice technologique Nasdaq affichait un get de 10,43 %.
- Quelques heures plus tôt, la Chine avait annoncé porter ses surtaxes de rétorsion contre les produits américains à 84 %, et non pas à 34 % comme initialement prévu. Pékin a aussi déclaré avoir saisi l’Organisation mondiale du commerce.
- Interrogé sur TF1 au sujet des droits de douane, le ministre de l’économie, Eric Lombard, a assuré que « même s’il y avait moins de croissance, [le gouvernement] n’augmenter[ait] pas les impôts en 2025 ». Il a précisé que le gouvernement a abaissé sa prévision de croissance pour 2025 à 0,7 %, contre 0,9 % prévu précédemment.
Pour le ministre des funds américain, les politiques économiques de la Chine sont « un problème » pour le monde
Le ministre des funds américain, Scott Bessent, a de nouveau critiqué la Chine, mercredi, pour justifier une nouvelle hausse des droits de douane contre Pékin à 125 %, voulue par Donald Trump, estimant que la politique économique du rival des Etats-Unis était « un problème pour le reste du monde ».
« La Chine est l’économie la plus déséquilibrée de l’histoire moderne et ils sont la principale source des problèmes commerciaux des Etats-Unis », a déclaré M. Bessent à la presse devant la Maison Blanche, estimant que les droits de douane américains avaient entraîné l’envoi massif de produits chinois à bas prix vers l’Europe.
Sur Le Monde aujourd’hui
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Eric Lombard : « Nous n’augmenterons pas les impôts en 2025 », malgré une prévision de croissance revue à la baisse
Interrogé au « 20 heures » de TF1 au sujet des droits de douane imposés par les Etats-Unis à leurs partenaires commerciaux, dont l’Union européenne, le ministre de l’économie, Eric Lombard, a assuré : « Même s’il y avait moins de croissance, nous n’augmenter[ions] pas les impôts en 2025. »
« Nous tenons l’axe des dépenses publiques telles qu’elles ont été votées par le Parlement », a-t-il insisté, y compris la limitation du déficit public à 5,4 % du produit intérieur brut cette année.
Le gouvernement a abaissé sa prévision de croissance pour 2025 à 0,7 %, contre 0,9 % prévu précédemment, a déclaré le ministre, s’alignant ainsi sur la prévision livrée par la Banque de France le 12 mars.
Quant à savoir si cette prévision allait être abaissée dans un proche avenir en raison des droits de douane américains, il a fait savoir que « cela dépend[rait] des négociations qui vont s’engager avec l’Amérique ».
Le ministre a rappelé avoir reçu, mercredi, les représentants des « grandes filières » de l’économie qui pourrait être touchées par les nouvelles règles américaines. « Nous allons les accompagner », a-t-il assuré, tout en rappelant que « le temps du “quoi qu’il en coûte” [était] terminé ».
Le pétrole repart à la hausse à l’annonce d’une terminate sur une partie des droits de douane décidés par Washington
Les cours du pétrole, en grande difficulté en début de séance, se sont envolés mercredi à l’annonce par Donald Trump d’une terminate de quatre-vingt-dix jours sur les droits de douane imposés par Washington à des dizaines de ses partenaires commerciaux.
Vers 19 h 30 (heure de Paris), le prix du baril de Brent de la mer du Nord gagnait 0,97 %, passant à 63,43 dollars, après avoir dévissé de plus de 5 % en cours de séance, et s’être affiché brièvement au plus bas depuis février 2021. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, prenait 1,17 %, à 60,28 dollars, après avoir lui aussi chuté de plus de 5 %.
Wall Boulevard s’envole à l’annonce d’une terminate sur une partie des droits de douane réciproques
La Bourse de Novel York s’envole mercredi à l’annonce par Donald Trump d’une terminate de quatre-vingt-dix jours sur les droits de douane réciproques imposés depuis le début de journée par Washington à des dizaines de ses partenaires commerciaux.
Vers 19 h 30, heure de Paris, le Dow Jones bondissait de 5,61 %, l’indice Nasdaq de 7,44 % et l’indice élargi S&P 500 de 6,22 %.
Donald Trump annonce une « terminate » de 90 jours dans les droits de douane, sauf pour la Chine
Dans un message sur son réseau Fact Social, le président américain annonce une « terminate » de 90 jours dans les droits de douane pour des dizaines de pays, mais pas pour la Chine, ainsi qu’une « baisse substantielle » de ces droits de douane à 10 % pendant cette période.
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Donald Trump déclare qu’il augmente « immédiatement » à 125 % les droits de douane sur les produits chinois
Dans un message sur son réseau, Fact Social, le président américain a fait section de sa décision d’augmenter « immédiatement » à 125 % les droits de douane sur les produits chinois entrant aux Etats-Unis.
Donald Trump justifie sa décision au nom d’un prétendu « manque de respect » de Pékin envers les marchés mondiaux. « A un 2d donné, dans un futur proche espérons-le, la Chine va se rendre compte que l’époque de l’arnaque envers les Etats-Unis et d’autres pays n’est plus soutenable ou acceptable », écrit-il.
Le ministre de l’industrie met en garde contre un « risque » que l’Italie négocie en tête-à-tête avec Washington
« Il y a un risque (…), puisque nous savons que Donald Trump a une stratégie assez claire, assez easy, qui est de diviser les Européens », a déclaré le ministre de l’industrie, Marc Ferracci, interrogé sur Franceinfo au sujet d’une éventuelle crainte de voir Giorgia Meloni négocier de manière bilatérale avec Donald Trump.
La première ministre italienne, d’extrême droite, a annoncé mardi qu’elle se rendrait à Washington le 17 avril pour s’entretenir avec le président américain des droits de douane imposés à l’Union européenne.
« L’Europe n’est enviornment of abilities que si elle est unie », a ajouté Marc Ferracci, soulignant qu’elle représente « 450 hundreds of hundreds de consommateurs », un marché « dont les Etats-Unis ne peuvent pas se passer ». « Si on open à avoir des discussions bilatérales, évidemment que ça va casser cette dynamique », a-t-il déclaré.
« Nous avons tous collectivement intérêt, l’Italie, la France, l’Allemagne, les autres, à avoir une réponse unie et ferme plutôt qu’à se diviser et se disperser », avait déclaré le ministre délégué chargé de l’Europe, Benjamin Haddad, mercredi matin sur France 2. « Si vous allez en rangs dispersés aux Etats-Unis, est-ce que vous croyez que vous êtes plus forts que si vous y allez à 27 ? », a-t-il ajouté.
La rivalité commerciale entre Washington et Pékin fait ployer la Bourse de Paris
La Bourse de Paris a fortement reculé mercredi, plombée par une nouvelle escalade de la guerre commerciale entre Washington et Pékin. Le CAC 40 a cédé soit 3,34 %, arrivant à 6 863,02 aspects, son plus bas niveau depuis novembre 2023. Depuis le début du mois d’avril, le CAC 40 cède 11,91 %.
Les poids lourds du luxe, dominants dans l’indice CAC 40, sont très exposés au marché chinois. LVMH, première capitalisation boursière française, a cédé 4,12 % et Kering 5,42 %. Hermès a perdu 0,80 %. Le groupe automobile Stellantis, très exposé, lui, aux Etats-Unis, a cédé 5,38 %.
Le laboratoire Sanofi a dévissé de 6,89 %. Le secteur pharmaceutique, au deuxième rang du commerce mondial après l’électronique, échappe pour le 2d aux surtaxes, mais Donald Trump a promis « très bientôt » des droits de douane sur ces produits.
Le ministre de l’économie, Eric Lombard, évoque un impression « gérable » des droits de douane
Le ministre de l’économie, Eric Lombard, a reçu mercredi après-midi les acteurs économiques à Bercy. Evoquant « un 2d grave de notre histoire économique et peut-être de notre histoire tout court », il a aussi estimé que « l’impression économique, en réalité, dans un premier temps, sera gérable », dans ses propos liminaires entendus par une journaliste de l’Agence France-Presse.
« Nous allons (…) d’abord écouter les filières pour avoir leur avis sur le paquet de mesures sur lequel nous allons travailler, sur les difficultés que leur pose la peril », a par ailleurs déclaré le ministre à la presse juste avant le début de la réunion vers 16 h 30.
« Il est main que, dans le cadre européen, nous puissions aboutir à une baisse à nouveau des droits de douane américains. C’est le commerce qui permet la prospérité, c’est le commerce avec des droits de douane proches de zéro que nous avions jusqu’ici », a-t-il ajouté. Outre des mesures douanières, la riposte peut s’appuyer sur d’autres outils, par exemple fiscaux et réglementaires, selon le ministre.
Environ 28 000 entreprises en France exportent vers les Etats-Unis, « dont 40 % font la moitié ou plus de la moitié de leurs exportations aux Etats-Unis », selon le ministère de l’économie.
Bonjour PierreV,
Dans son article du 5 avril, notre correspondant à Washington, Piotr Smolar, a fait état de opinions venues de membres du Parti républicain contre les tarifs douaniers décidés par Donald Trump.
Le sénateur républicain Ted Cruz (Texas) a fait partie des rares à s’exprimer sans ambiguïté, à l’antenne de Fox Industry. « Les droits de douane sont une taxe sur les consommateurs, et je ne suis pas un fan du gonflement des taxes sur les consommateurs américains », a-t-il dit.
Mitch McConnell, sénateur républicain du Kentucky, a aussi estimé qu’« avec des droits de douane plus élevés, les biens fabriqués en Amérique seront plus chers à produire et, au bout du compte, plus chers à l’achat pour les consommateurs ».
Son homologue Rand Paul, lui aussi élu du Kentucky, a prévenu que « les droits de douane ont aussi conduit à des débâcles électorales » dans l’histoire du pays, exprimant ainsi sa vive inquiétude sur le kind des républicains lors des élections de mi-mandat, à l’automne 2026.
Retrouvez d’autres réactions dans son article, ainsi que des commentaires d’élus démocrates :
Les Bourses européennes plongent face à l’escalade douanière
Les marchés boursiers européens ont fortement reculé mercredi, plombés par une nouvelle escalade de la guerre commerciale entre Washington et Pékin, qui a annoncé des mesures de rétorsion après l’entrée en vigueur de nouvelles surtaxes américaines s’appliquant à 60 pays. Paris a cédé 3,34 %, Francfort 3 %, Londres 2,92 % et Milan 2,75 %.
Face à la guerre commerciale de Trump, la grande inquiétude des fermiers américains
Par Ivanne Trippenbach
« Ça fait mal, je ne peux pas le nier. » John Fleming, agriculteur de la cinquième génération né dans le comté de Halifax, au cœur de la Caroline du Nord, scrute avec anxiété les lignes sur son écran d’ordinateur : les cours du coton, du soja ou du maïs dégringolent. Lundi 7 avril, les marchés ont de nouveau plongé, cinq jours après le « Liberation Day » de Donald Trump et l’annonce de taxes douanières massives. Le fermier de 44 ans, barbe rousse et thermos de café à la main, ne plantera pas de coton cette année : le prix s’affiche à 64,90 centimes de dollar la livre, en dessous du seuil de rentabilité. Il abet désormais les répercussions des nouveaux droits de douane : « J’espère que ce sera douloureux à court terme, mais qu’on y gagnera à long terme. » Un vœu aux airs de slogan martelé ces derniers jours par les élus républicains MAGA (Attach America Gigantic Again) et les éditorialistes de la chaîne ultraconservatrice Fox News : « La douleur en vaut la peine. »
Bonjour Jpp,
Si elle est inscrite sur la liste des « entités non fiables » établie par Pékin, une entreprise étrangère ne peut plus réaliser d’opérations d’import ou d’export avec la Chine, et ne peut plus investir dans le pays.
Bonjour Bruno,
Avec l’offensive protectionniste de Donald Trump début avril et l’escalade avec la Chine, le marché de la dette américaine connaît de violentes secousses, en particulier du côté des bons du Trésor.
De quoi parle-t-on ? Du marché des tasks, où s’échangent les emprunts effectués par un pays. Plus une duty est recherchée par les investisseurs, plus son taux d’intérêt va baisser. Ils cherchent, en revanche, à être mieux rémunérés lorsqu’ils jugent la dette d’un Etat plus risquée, ce qui fait monter le taux.
Les bons du Trésor américain ont enregistré de grands mouvements dans les deux sens depuis l’annonce de l’offensive protectionniste de la Maison Blanche.
En pleine débâcle boursière, les tasks d’Etat ont d’abord été plébiscitées. « Lors de telles périodes, il est courant que les investisseurs vendent des actions et achètent des tasks d’Etat considérées comme des actifs refuges », explique Hal Put together dinner, analyste chez Hargreaves Lansdown, une entreprise de companies and products financiers britannique, cité par l’Agence France-Presse. Les taux ont donc logiquement baissé au début du mois, le rendement des bons du Trésor à dix ans glissant jusqu’à 3,88 % le 4 avril.
Mais ces derniers jours, « les marchés obligataires américains connaissent une vente large incroyable » provoquant une flambée des taux d’emprunt, souligne Jim Reid, économiste à la Deutsche Bank. En d’autres termes, les investisseurs se débarrassent de leur dette américaine, « la preuve qu’elle perd son statut traditionnel de valeur refuge ». En conséquence, le taux d’emprunt à dix ans des Etats-Unis a flambé mercredi jusqu’à 4,5 %.
Les récents « mouvements suggèrent que certaines positions [sur la dette américaine] sont abandonnées pour couvrir des pertes ailleurs sur les marchés », estime Susannah Streeter, responsable des marchés financiers chez Hargreaves Lansdown.
La Chine classe six entreprises américaines parmi les « entités non fiables »
En rétorsion aux droits de douane décidés par Donald Trump, le ministère du commerce chinois a annoncé mercredi que six entreprises américaines du secteur des applied sciences, comme Defend AI et Sierra Nevada Company, seront placées sur la liste noire des « entités non fiables ». Ces sociétés ont soit vendu des armes à Taïwan, soit collaboré avec l’île dans le domaine de la « technologie militaire », selon le ministère.
Le contexte
- La déclaration de guerre commerciale de Donald Trump, qui a confirmé l’instauration de droits de douane sur les importations des « pays du monde entier », continue de semer la panique sur les marchés boursiers.
- Après avoir brutalement chuté lundi, les Bourses asiatiques ont offert un panorama plus nuancé mardi 8 avril. Si Tokyo, Séoul et Hongkong ont ouvert à la hausse, plusieurs places d’Asie du Sud-Est (Djakarta, Ho Chi Minh-Ville, Bangkok), fermées depuis plusieurs jours pour motive de jour férié, se sont effondrées. Taïwan était aussi en repli. Mercredi, les bourses asiatiques ont à nouveau ouvert à la baisse.
- Les droits de douane de 10 % sur les produits importés aux Etats-Unis, décidés par M. Trump, sont entrés vigueur samedi 5 avril à 6 heures, tandis que les droits de douane majorés visant des géants comme la Chine et l’Union européenne sont entrés en vigueur mercredi 9 avril à 6 heures.
- Face à la contestation de dirigeants du monde entier, le président américain a demandé aux Américains, samedi, sur son réseau Fact Social de « ten[ir] bon », promettant que le « résultat final sera[it] historique » pour les Etats-Unis.
- Plusieurs membres du gouvernement des Etats-Unis ont affirmé, dimanche, que plus de 50 pays avaient pris contact avec la Maison Blanche pour négocier les droits de douane. Le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, a néanmoins prévenu que, si le président américain était ouvert à des discussions, elles n’aboutiraient vraisemblablement pas à des accords avant plusieurs mois.
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