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- Culture
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Ces équipements devenus incontournables avec le développement de l’intelligence artificielle intéressent certaines agences, qui réfléchissent à sortir du modèle dominant de la boîte à chaussures aplatie.
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« Depuis la guerre en Ukraine, la paranoïa de nos clients bancaires est montée d’un cran. On n’a plus le droit de citer leur nom ni de donner les emplacements de leurs data centers. » Associé fondateur de l’agence Enia, Brice Piechaczyk espérait pouvoir faire visiter au Monde un de ces coffres-forts du numérique qu’il a récemment livré pour un des poids lourds du secteur. Mais l’autorisation ne lui a pas été accordée. Les data centers des banques sont considérés comme des net sites d’importance nationale. Pourquoi ? « Parce que si leur activité s’arrête, c’est l’économie qui s’arrête », dit-il. A ce titre, ils sont contrôlés par la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), qui est plus que tatillonne sur les visites.
Lire l’enquête (en 2024) : Article réservé à nos abonnés Derrière l’IA, la déferlante des data centers
Les banques ne sont pas seules à protéger leurs data centers des questions et des regards. La RATP a ainsi refusé de nous laisser visiter celui qu’elle a dernièrement inauguré à Bagneux (Hauts-de-Seine). L’architecte du bâtiment, Silvio d’Ascia, qui s’est récemment distingué par la remarquable opération de réhabilitation et d’extension de la Fondation Maeght, à Saint-Paul-de-Vence (Alpes-Maritimes), milite pourtant pour rendre visibles ces équipements dont nos vies dépendent entièrement aujourd’hui, et qui servent globalement à stocker dans des serveurs, à traiter, à échanger de grandes quantités de données.
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