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Analyse
Nicolas Lepeltier
Costa Navarino (Grèce), envoyé spécial
La Zimbabwéenne succédera officiellement à Thomas Bach le 23 juin, mais des dossiers urgents, comme le retour des athlètes russes ou les relatives avec Donald Trump, vont s’inviter à son agenda dès la période de transition à la tête de l’institution.
Publié hier à 20h50, modifié hier à 21h00 Temps de Lecture 3 min.
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A peine investie, Kirsty Coventry n’a pas de temps à perdre. Elue jeudi 20 mars dixième présidente du Comité international olympique (CIO), la Zimbabwéenne, première femme à ce poste dans l’histoire de l’instance, s’est entretenue le lendemain avec le sortant, l’Allemand Thomas Bach, autour d’un petit déjeuner dans le luxueux complexe hôtelier de Costa Navarino (Grèce), siège de la 144e session du CIO. Le however ? Préparer les trois mois de transition avant la passation officielle entre les deux dirigeants, le 23 juin. Et les dossiers chauds ne manquent pas sur le bureau de la présidente élue.
La géopolitique devrait très vite s’inviter à l’agenda de Kirsty Coventry. L’éventuelle participation des Russes aux Jeux olympiques (JO) d’hiver de Milan-Cortina, en février 2026, fait partie des questions urgentes qu’elle devra trancher. Le président russe, Vladimir Poutine, le lui a rappelé en lui adressant, jeudi, ses « sincères félicitations ». Appuyé par son ministre des sports activities, Mikhaïl Degtiarev, qui s’est réjoui « de voir un mouvement olympique plus castle, plus indépendant et plus prospère sous la houlette d’une nouvelle dirigeante, et de voir la Russie remonter sur le podium olympique ». Le message ne pouvait pas être plus explicite. Mais, aujourd’hui, seul un accord de paix avec l’Ukraine pourrait infléchir la web page du CIO sur le sujet.
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