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L’urgence écologique nécessite une réorganisation des savoirs et des enseignements dans le monde universitaire que seuls quelques établissements pionniers ont engagée.
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L’amphithéâtre Verniquet ressemble à une ruche, en cet après-midi de décembre 2024. Des dizaines d’étudiants du grasp biodiversité, écologie, évolution se sont rassemblés en petits groupes dans ce haut lieu – bicentenaire – du Muséum nationwide d’histoire naturelle, à Paris. Ils s’apprêtent à présenter, en français et en anglais, les résultats de leurs recherches scientifiques, sous la forme de posters de vulgarisation dressés devant eux.
L’opération, dénommée Darwin Days, a pour but de croiser les regards afin de présenter une problématique de façon interdisciplinaire. Chaque poster est le fruit d’un échange entre des étudiants qui suivent des parcours différents au sein du grasp : sociétés et biodiversité, écologie de la conservation, écologie évolutive, environnement et santé, muséologie des sciences de la nature et de l’homme, paléontologie et bioarchéologie.
« C’est comme ça qu’on avance dans la science pour répondre aux enjeux du XXIe siècle », expliquent Marie Mathieu et Marguerite Tétreau qui, avant d’intégrer le Muséum, ont été diplômées respectivement d’une licence de géographie et d’HEC. Sur leur poster, consacré aux attaques des ours polaires contre les humains, les étudiantes ont identifié une corrélation entre le moment des attaques et la fonte de la banquise en été. La mauvaise gestion des déchets par les hommes est également un facteur pouvant attirer les ours et provoquer des confrontations.
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