Le nombre des morts depuis la reprise des bombardements israéliens, dans la nuit de lundi à mardi, « est de 504, dont plus de 190 mineurs », selon la défense civile.

Are residing animé par Marie Pouzadoux

Le camp de déplacés de Nousseirat, dans la bande de Gaza, le 20 mars 2025. - EYAD BABA / AFP

Le camp de déplacés de Nousseirat, dans la bande de Gaza, le 20 mars 2025. EYAD BABA / AFP

Posez votre keep a question to à la rédaction :

Le Conseil européen déplore « la break du cessez-le-feu à Gaza qui a fait un substantial nombre de victimes civiles »

Dans un communiqué diffusé jeudi soir, le Conseil européen « déplore la break du cessez-le-feu à Gaza, qui a fait un substantial nombre de victimes civiles lors des récentes frappes aériennes », ainsi que « le refus du Hamas de rendre les derniers otages ».

Concernant la disaster au Proche-Orient, les Etats membres de l’Union européenne (UE) appellent en outre « à un retour immédiat à la pleine mise en œuvre de l’accord de cessez-le-feu et de libération des otages, soulign[ant] la nécessité de progresser vers sa deuxième section » de l’accord de trêve conclu par le Hamas et Israël, entré en vigueur le 19 janvier.

Les Vingt-Sept, réunis en sommet européen à Bruxelles jeudi et vendredi, appellent également Israël à assurer un « accès sans entrave et d’une distribution sturdy et à grande échelle de l’aide humanitaire dans toute la bande de Gaza ».

La première section de la trêve, qui a expiré le 1er mars, a permis le retour en Israël de 33 otages, parmi lesquels huit morts, et la libération d’environ 1 800 détenus palestiniens. Depuis, les négociations menées par l’intermédiaire du Qatar, des Etats-Unis et de l’Egypte, sont au point mort.

Le Hamas veut passer à la deuxième section, qui prévoit un cessez-le-feu everlasting, le retrait israélien de l’enclave, la réouverture des substances de passage pour l’aide humanitaire et la libération des derniers otages. Israël souhaite de son côté une extension de la première section jusqu’à la mi-avril et réclame, pour passer à la deuxième, la « démilitarisation » de Gaza et le départ du Hamas, qui gouverne le territoire depuis 2007.

Israël a repris ses bombardements de l’enclave palestinienne dans la nuit de lundi à mardi, faisant au moins, « 504 morts, dont plus de 190 mineurs », a déclaré jeudi à l’Agence France-Presse un porte-parole de la défense civile de la bande de Gaza.

A l’ONU, un ex-otage israélien raconte son « agonie » au nom de ceux toujours « en enfer »

Eli Sharabi, un ancien otage israélien, tient une photo de lui lors de sa libération par le Hamas le mois dernier, alors qu’il s’exprime devant le Conseil de sécurité des Nations unies, à New York, le 20 mars 2025.

Eli Sharabi, un ancien otage israélien, tient une relate de lui lors de sa libération par le Hamas le mois dernier, alors qu’il s’exprime devant le Conseil de sécurité des Nations unies, à Fresh York, le 20 mars 2025.

« Je suis revenu de l’enfer pour raconter mon histoire » : Eli Sharabi, ancien otage israélien retenu dans la bande de Gaza et récemment libéré, a plaidé jeudi devant le Conseil de sécurité de l’ONU pour la libération des autres otages « toujours piégés dans ce cauchemar ». « Le 7-Octobre, mon paradis s’est transformé en enfer », a-t-il déclaré.

Agé de fifty three ans, il a été enlevé le 7 octobre 2023 dans le kibboutz Beeri lors de l’attaque du mouvement islamiste palestinien Hamas sur le sol israélien qui a déclenché la guerre. Sa femme et ses deux filles ont été tuées ce jour-là, ce qu’il a appris après sa libération, le 8 février.

« Pendant 491 jours, j’ai été gardé principalement sous terre dans les tunnels des terroristes du Hamas, enchaîné, affamé, battu et humilié (…) J’ai survécu grâce à des restes de nourriture, sans soins médicaux, sans pitié. Je pesais seulement 44 kilos à ma libération. J’avais perdu plus de 30 kg », a-t-il raconté.

« Je suis ici aujourd’hui, moins de six semaines après ma libération, pour parler pour ceux toujours piégés dans ce cauchemar ; pour mon frère Yosi, tué par le Hamas pendant sa captivité, son corps toujours gardé en otage ; pour Alon Ohel, toujours 50 mètres sous terre », avec qui il a partagé une partie de sa captivité et à qui il a « promis de raconter son histoire », a-t-il ajouté.

L’ancien otage s’est demandé ce que faisait la communauté internationale pendant sa captivité et celle des autres otages. « Je suis devant vous pour témoigner et pour demander, où étaient les Nations unies ? Où était la Croix-Rouge ? Où était le monde ? », a-t-il lancé. « Je suis ici devant vous, à l’ONU, pour dire “ramenez-les tous à la maison. Plus d’excuse, plus de délais, si vous défendez l’humanité, prouvez-le. Ramenez-les à la maison.” »

Eli Sharabi a, d’autre section, affirmé avoir vu pendant sa captivité ses geôliers manger l’aide humanitaire distribuée à Gaza, notamment des « boîtes marquées du logo de l’ONU et de l’UNRWA », l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens. « Je sais que vous discutez très souvent de la disaster humanitaire à Gaza, mais je peux vous dire en tant que témoin, j’ai vu ce qu’il advient de cette aide humanitaire, le Hamas la vole », a-t-il déclaré.

Durant l’attaque du 7-Octobre, où 251 personnes ont été enlevées en Israël, 58 restent retenues en captivité à Gaza dont 34 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne.

Donald Trump « soutient pleinement » l’offensive d’Israël dans la bande Gaza, affirme la Maison Blanche

Le président américain « soutient pleinement Israël et l’armée israélienne et les actions entreprises ces derniers jours » dans la bande de Gaza, a déclaré jeudi la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt. Le président américain « a clairement fait comprendre au Hamas que s’il ne libérait pas tous les otages, il vivrait un enfer, et malheureusement le Hamas a choisi de jouer un jeu médiatique avec des vies humaines », a-t-elle ajouté.

Le nombre des morts depuis la reprise des bombardements israéliens, dans la nuit de lundi à mardi, « est de 504, dont plus de 190 mineurs », a déclaré jeudi à l’Agence France-Presse Mahmoud Bassal, porte-parole de la défense civile de la bande de Gaza, en précisant que le décompte était arrêté à midi et que 196 personnes, a priori ensevelies sous des décombres, étaient portées disparues.

L’armée israélienne annonce avoir tué le chef de la sécurité intérieure du Hamas dans la bande de Gaza

Dans un communiqué, l’armée israélienne a annoncé, jeudi, avoir tué, lors d’une frappe menée conjointement avec le service de sécurité intérieure israélien (Shin Wager) « ces deniers jours », Rachid Jahjouh, chef de la sécurité intérieure du Hamas, « qui a remplacé Sami Odeh à son poste, qui avait été éliminé par l’armée israélienne en juillet 2024 ».

Elle affirme avoir également tué le chef du secteur de Khan Younès au sein des forces de sécurité générale du Hamas, Ayman Atsalih, et le chef de l’unité de contrebande d’armes du mouvement du Jihad islamique, Ismail Abd Al-Aal.

Selon le Centre genevois pour la gouvernance du secteur de la sécurité, le service de la sécurité intérieure du Hamas est notamment chargé de lutter contre l’espionnage au income d’Israël et de collecter des renseignements pour la path politique.

Le point sur la disaster, jeudi 20 mars à 16 heures

La branche armée du Hamas a revendiqué jeudi les premiers tirs de roquettes en path de l’Etat hébreu depuis la reprise des bombardements israélien dans la bande de Gaza.

Un projectile a été intercepté et deux autres se sont abattus dans des zones inhabitées, rapporte l’armée israélienne, qui a ordonné l’évacuation d’un secteur du sud de l’enclave, avant un raid de représailles.

Les forces israéliennes ont par ailleurs interdit jeudi matin la circulation sur la route Salah Al-Din, indispensable axe routier entre le nord et le sud de la bande de Gaza, après avoir annoncé, la veille, le lancement d’opérations militaires terrestres « ciblées » dans l’enclave.

Les bombardements israéliens ont fait au moins 58 morts, la nuit dernière, dans la bande de Gaza, selon trois hôpitaux de l’enclave cités par l’agence Related Press. L’agence Reuters, qui cite un responsable des products and services sanitaires de l’enclave, fait, quant à elle, état de 70 tués.

Le nombre des morts depuis la reprise des bombardements israéliens, dans la nuit de lundi à mardi, « est de 504, dont plus de 190 mineurs », a déclaré à l’Agence France-Presse Mahmoud Bassal, porte-parole de la défense civile de la bande de Gaza, en précisant que le décompte était arrêté à midi et que 196 personnes, a priori ensevelies sous des décombres, étaient portées disparues.

Des heurts ont éclaté jeudi aux abords de la résidence du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, à Jérusalem, où la police a barré la route à plusieurs milliers de manifestants qui tentaient de s’en approcher pour protester contre le limogeage du directeur du Shin Wager, le service de sécurité intérieure. Le gouvernement doit se réunir dans la soirée pour approuver sa mise à l’écart.

Sur Le Monde aujourd’hui

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Le Forum des familles d’otages et de disparus réclame un retour au cessez-le-feu

L’intensification de l’opération terrestre et des bombardements dans la bande de Gaza « met sciemment les otages en hazard », écrit le porte-parole de l’association, dans un communiqué diffusé jeudi.

« Il est impératif de revenir à un cessez-le-feu et de parvenir à un accord qui garantira la libération immédiate de tous les otages en une seule section – il n’y a pas d’autre solution. Jouer avec la vie des otages est une faute morale impardonnable », poursuit-il. « Il n’existe pas de menace plus grande que l’abandon de nos 59 frères et sœurs. Sans leur retour total, il sera very unlikely de vaincre le Hamas, d’assurer la sécurité et d’entamer une reconstruction nationale. »

Les deux lectures antagonistes du 7-Octobre et de ses conséquences

Par Christophe Ayad

Si le conflit israélo-palestinien en cours divise autant en France – et ailleurs dans le monde –, c’est parce que deux lectures radicalement antagonistes de son origine, à savoir les massacres terroristes du Hamas le 7 octobre 2023, s’opposent. Pour les uns, il s’agit d’une continuation, tandis que les autres y voient une break. Le 7-Octobre est-il une péripétie particulièrement negative d’un conflit à l’œuvre depuis 1948 et la naissance d’Israël, ou marque-t-il l’entrée dans une nouvelle ère qui abolit tous les paramètres antérieurs ? De la réponse à cette keep a question to découlent des conséquences tant politiques que juridiques, historiques et morales.

L’armée israélienne ordonne l’évacuation d’un secteur du sud de la bande de Gaza

L’armée israélienne a ordonné jeudi l’évacuation de Bani Souhaila, dans le sud de la bande de Gaza, quelques heures après des tirs de roquettes en path du centre de l’Etat hébreu.

« Ceci est un avertissement préalable et last avant le raid ! Les organisations terroristes reprennent leurs tirs de roquettes à partir des zones civiles. Nous avons déjà averti cette zone à plusieurs reprises.️ Pour votre sécurité, vous devez immédiatement vous déplacer vers l’ouest (…) », écrit le porte-parole arabophone de l’armée israélienne, Avichay Adraee, sur X.

Heurts entre manifestants et forces de l’ordre aux abords de la résidence de Benyamin Nétanyahou

Manifestation devant le domicile du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, à Jérusalem, jeudi 20 mars 2025.

Manifestation devant le abode du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, à Jérusalem, jeudi 20 mars 2025.

Des heurts ont éclaté jeudi aux abords de la résidence du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, à Jérusalem, où la police a barré la route à plusieurs milliers de manifestants qui tentaient de s’en approcher pour protester contre le limogeage du directeur du Shin Wager, les products and services de sécurité intérieure, rapporte la presse.

Les forces de l’ordre ont fait usage d’un canon à eau pour disperser la foule et Yaïr Golan, chef de file des Démocrates (opposition), a été projeté au sol par un policier, selon Haaretz et la 12e chaîne de télévision, qui ont tous deux diffusé des photos.

La défense civile gazaouie fait état de 504 morts depuis la reprise des bombardements israéliens

Le nombre des morts depuis la reprise des bombardements israéliens, dans la nuit de lundi à mardi, « est de 504, dont plus de 190 mineurs », a déclaré à l’Agence France-Presse Mahmoud Bassal, porte-parole de la défense civile de la bande de Gaza, en précisant que le décompte était arrêté à midi et que 196 personnes, a priori ensevelies sous des décombres, étaient portées disparues.

Des funérailles à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, le 20 mars 2025.

Des funérailles à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, le 20 mars 2025.

La branche armée du Hamas revendique des tirs de roquettes en path de Tel-Aviv, selon l’AFP

« Les Brigades [Ezzedine] Al-Qassam ont bombardé la ville de Tel-Aviv (…) avec une salve de roquettes M90 en représailles aux massacres de civils commis par les sionistes », indiquent-elles dans un communiqué relayé par l’Agence France-Presse.

L’armée israélienne avait auparavant fait état de trois tirs de roquettes en provenance de la bande Gaza. Un projectile a, selon elle, été intercepté, et les deux autres se sont abattus sur des zones inhabitées.

Trois roquettes tirées de la bande de Gaza, selon l’armée israélienne

Une roquette tirée de la bande de Gaza a été interceptée et deux autres se sont abattues dans des zones inhabitées, annonce l’armée israélienne.

Alerte aérienne dans le centre d’Israël

Les sirènes d’alarme ont retenti dans plusieurs secteurs du centre d’Israël après des tirs en provenance de la bande de Gaza, rapporte l’armée.

Une opération terrestre en cours dans le secteur de Beit Lahya, selon l’état-indispensable israélien

L’armée israélienne annonce jeudi avoir lancé une opération terrestre « le prolonged de l’axe côtier » du secteur de Beit Lahya, dans le nord de la bande de Gaza.

« Avant cette opération, [l’armée] et le Shin Wager ont pris pour cibles des infrastructures terroristes et des positions de lancement de missiles antichars du Hamas dans cette zone », écrit-elle dans un communiqué diffusé sur Telegram, en ajoutant que l’aviation a visé dans la nuit « des dizaines de cibles appartenant aux organisations terroristes » à travers l’enclave.

Le gouvernement israélien se réunira dans la soirée pour voter le limogeage du directeur du Shin Wager

Le gouvernement israélien doit se réunir jeudi soir pour approuver la décision de Benyamin Nétanyahou de limoger le chef des products and services de sécurité intérieure, en qui il dit n’avoir plus confiance, a annoncé le bureau du premier ministre.

La réunion, prévue à 21 h 30, a pour objet de « mettre fin aux fonctions du directeur du Shin Wager, Ronen Bar, avant la fin de son mandat », à l’effort d’un vote, selon la lettre officielle envoyée par le premier ministre aux membres du gouvernement.

« La perte de confiance professionnelle et personnelle persistante entre le premier ministre et le directeur du service » empêche « le gouvernement et le premier ministre d’exercer efficacement leurs pouvoirs, ce qui porte atteinte aux capacités opérationnelles du service et à la gouvernance de l’Etat », peut-on y lire. Cette « perte de confiance (…) s’est renforcée au cours de la guerre, au-delà de l’échec opérationnel du 7-Octobre, et, en particulier, ces derniers mois ».

Des pourparlers en cours entre le Hamas et les médiateurs, selon Reuters

Le Hamas a fait savoir que des pourparlers étaient en cours avec les médiateurs internationaux pour mettre fin à l’offensive de l’armée israélienne dans la bande de Gaza, rapporte l’agence Reuters, ajoutant que le mouvement a réaffirmé son attachement à l’accord de cessez-le-feu entré en vigueur le 19 janvier.

Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a abandonné, au début du mois, le cadre de l’accord au income d’une nouvelle mouture négociée par l’envoyé spécial des Etats-Unis pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff.

L’UNRWA fait état de cinq morts parmi les membres de son personnel

Cinq membres du personnel de l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) ont été tués ces derniers jours dans la bande de Gaza, annonce jeudi son commissaire général, Philippe Lazzarini, sur X.

« Il s’agissait d’enseignants, de médecins et d’infirmières au service des plus vulnérables », précise-t-il, en ajoutant que leur mort porte à 284 le nombre de membres du personnel de l’UNRWA tués dans l’enclave depuis le début de la guerre.

A Gaza, l’armée israélienne s’engage au sol alors que Benyamin Nétanyahou est à nouveau contesté

Par Samuel Forey

Les troupes israéliennes avancent en territoire gazaoui. Une brigade d’infanterie, la Golani, a été mise sur le pied de guerre, à la frontière de l’enclave palestinienne. Les sirènes de la défense antiaérienne ont résonné tôt, jeudi 20 mars, en Israël, jusqu’à Jérusalem, à trigger d’un missile lancé par les houthistes du Yémen – il a finalement été intercepté en dehors du territoire israélien. Si l’armée affirme se ménager encore des fenêtres d’opportunité pour sortir du conflit, celles-ci semblent se réduire de plus en plus. L’engrenage de la guerre s’enclenche et semble déjà very unlikely à arrêter. Cela n’a guère pris plus de quarante-huit heures.

L’armée israélienne interdit la circulation sur le indispensable axe séparant le nord du sud de la bande de Gaza

L’armée israélienne a interdit jeudi matin la circulation sur la route Salah Al-Din, indispensable axe routier entre le nord et le sud de la bande de Gaza, après avoir annoncé, la veille, le lancement d’opérations militaires terrestres « ciblées » dans l’enclave.

« Au cours des dernières vingt-quatre heures, des troupes ont lancé une opération terrestre limitée dans le centre et le sud de la bande de Gaza (…). Pour votre sécurité, les déplacements entre le nord et le sud de la bande de Gaza et inversement sont interdits sur l’axe Salah Al-Din », écrit le porte-parole arabophone de l’armée israélienne, Avichay Adraee, sur X.

« Le mouvement du nord de la bande de Gaza vers le sud n’est autorisé que via la route côtière Al-Rachid », ajoute-t-il, sans préciser si l’armée autorise les déplacements du sud vers le nord sur cet axe.

Selon un responsable du ministère de l’intérieur de la bande de Gaza interrogé par l’Agence France-Presse, l’armée israélienne avait fermé la veille le carrefour des Martyrs, appelé « Netzarim » par les Israéliens, indispensable verrou entre la ville de Gaza et le sud du territoire, sur la route Salah Al-Din. « Les chars » israéliens se sont déployés à ce carrefour « après le retrait des forces spéciales de sécurité américaines hier matin », a-t-il ajouté, en évoquant les brokers de sécurité privée déployés en février après le retrait de l’armée israélienne dans le cadre de l’accord de trêve entré en vigueur le 19 janvier.

Sur le site d’une frappe israélienne, à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, le 20 mars 2025.
Sur le place of abode d’une frappe israélienne, à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, le 20 mars 2025.
Des proches de victimes, à l’hôpital indonésien de Beit Lahya, dans le nord de la bande de Gaza, le 20 mars 2025.
Des proches de victimes, à l’hôpital indonésien de Beit Lahya, dans le nord de la bande de Gaza, le 20 mars 2025.
Devant l’hôpital indonésien de Beit Lahya, dans le nord de la bande de Gaza, le 20 mars 2025.
Devant l’hôpital indonésien de Beit Lahya, dans le nord de la bande de Gaza, le 20 mars 2025.
Après une frappe israélienne, à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, le 20 mars 2025.
Après une frappe israélienne, à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, le 20 mars 2025.

  • Le point sur la disaster, jeudi 20 mars à 16 heures
  • Le point sur la disaster, jeudi 20 mars, à l’aube

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