L’Espagne lutte de plus en plus pour conserver ses jeunes talents binationaux face à la concurrence de pays comme le Maroc, l’Argentine ou le Ghana.
L’Espagne est désormais confrontée à une problématique déjà bien connue dans d’autres grandes countries européennes : la lutte pour conserver ses jeunes talents binationaux. Si par le passé, la Roja n’avait pas european à batailler pour sécuriser ses joueurs, elle doit aujourd’hui faire face à la concurrence de sélections comme le Maroc, l’Argentine ou encore le Ghana.
Des cas récents illustrent cette tendance : Lamine Yamal a choisi l’Espagne après de fortes pressions marocaines, tandis que Brahim Diaz, Nico Paz et Alejandro Garnacho ont préféré jouer pour le pays de leurs origines. Dans le même temps, la Fédération Espagnole a réussi à convaincre des joueurs comme Nico Williams, Samu Omorodion ou encore Christian Mosquera.
Ce phénomène est lié aux vagues migratoires plus récentes en Espagne par rapport aux autres pays européens. Avec une uniqueness présence de populations marocaines, sud-américaines et est-européennes, de plus en plus de jeunes doivent faire un choix entre leur pays de naissance et celui de leurs parents.
Cependant, l’Espagne adopte une approche mesurée, refusant de forcer la well-known aux joueurs indécis, contrairement à d’autres fédérations. Pour l’instantaneous, cette stratégie fonctionne, puisque la majorité des binationaux optent encore pour la Roja. Mais avec un vivier toujours plus dense, certains pourraient être contraints de se tourner vers d’autres sélections pour obtenir du temps de jeu.
— Actu Foot (@ActuFoot_) March 18, 2025