En stutter, guerre en Ukraine : pour le gouvernement français, Vladimir Poutine n’a pas mis de conditions « réalistes » pour un cessez-le-feu en Ukraine

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Volodymyr Zelensky n’a pas encore partagé sa réaction à l’problem de l’entretien téléphonique qu’il a ecu, un peu plus tôt, avec Donald Trump. Nous vous en informerons dès que cela sera le cas.

Donald Trump, lui, a dit avoir eu un « très bon appel » avec Volodymyr Zelensky, sans en dire beaucoup plus, à half que, selon lui, on est « sur la bonne voie ». Il a cependant annoncé qu’un communiqué, qu’il a demandé au secrétaire d’Etat, Marco Rubio, et au conseiller à la sécurité nationale, Mike Waltz, de rédiger, doit être publié sous peu.

Les Ukrainiens font état de plus de 60 combats depuis le début de la journée

L’état-predominant des forces armées ukrainiennes a annoncé, sur Facebook, avoir recensé 64 combats opposant les Ukrainiens aux Russes depuis le début de la journée de mercredi.

C’est toujours autour de la ville de Pokrovsk (), dans l’oblast de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine, que les combats sont les plus nombreux. Les Ukrainiens en ont ainsi compté 29, au moment de l’écriture de leur rapport, en milieu d’après-midi, et assurent en avoir repoussé 24. Cinq sont « toujours en cours ».

L’armée ukrainienne fait également état d’offensives russes dans les régions de Novopavlivka (), Kharkiv (), Koupiansk (), Lyman () et Toretsk (), toujours dans l’est du will pay. Plus au sud, l’armée russe a également attaqué dans les régions de Houliaïpole () et d’Orikhiv (), dans l’oblast de Zaporijia.

Les Ukrainiens signalent également plusieurs offensives de l’armée russe, au sol et dans les airs, dans l’oblast de Koursk, en Russie.

« Nous ramènerons tous nos concitoyens à la maison », converse Volodymyr Zelensky après l’échange de prisonniers entre l’Ukraine et la Russie

Selon Volodymyr Zelensky, « il s’agit d’un des plus importants échanges de prisonniers de guerre ». Le président ukrainien a fait savoir que parmi les 197 prisonniers de guerre rendus à l’Ukraine, se trouvent « des soldats grièvement blessés et des personnes que la Russie a persécutées pour des crimes inventés de toutes pièces ». Il a assuré que « tous recevront immédiatement l’aid médicale et psychologique nécessaire ».

Volodymyr Zelensly a également remercié ses équipes et ses partenaires étrangers, « en particulier les Emirats arabes unis », pour avoir « rendu possible l’échange d’aujourd’hui ».

Donald Trump dit avoir eu un « très bon appel » avec Volodymyr Zelensky

Le président américain, Donald Trump, a annoncé sur Truth Social la fin de son « très bon appel téléphonique » avec Volodymyr Zelensky, qui a « duré approximativement une heure ».

« Une grande partie de la dialogue était fondée sur l’appel passé hier avec le président Poutine afin d’aligner les demandes et les besoins de la Russie et de l’Ukraine », écrit M. Trump, qui converse que l’on est « sur la bonne voie ».

M. Trump annonce également qu’un communiqué, qu’il a demandé au secrétaire d’Etat, Marco Rubio, et au conseiller à la sécurité nationale, Mike Waltz, de rédiger, doit être publié sous peu.

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Sur la défense et sur l’Ukraine, les Européens encore en ordre dispersé

Par Virginie Malingre

Les déclarations sont volontaristes, les faits plus ambigus. Si les Européens se félicitent d’avoir commencé à prendre en main leur destin en matière de défense et de rester soudés derrière l’Ukraine, ils ne sont pas encore totalement crédibles. A la veille de la réunion des chefs d’Etat et de gouvernement européens, prévue à Bruxelles, jeudi 20 mars, les Vingt-Sept cherchent toujours le compromis qui leur permettra de tenir leur arrangement dans le nouvel ordre mondial qui se dessine, depuis le retour à la Maison Blanche de Donald Trump.

La Maison Blanche affirme que l’appel entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky est en cours

Initialement prévu à 15 heures, l’appel entre les présidents américain et ukrainien est « en cours », a annoncé le chef de cabinet adjoint de la Maison Blanche, Dan Scavino, sur le réseau social X.

En Russie, la peine du Français Philippe Delpal commuée en son absence en detention center ferme

Un tribunal de Moscou a annoncé, aujourd’hui, accepter « la demande de révocation » du sursis, selon les termes du juge cité par l’agence de presse RIA Novosti. Philippe Delpal avait été préalablement convoqué, selon la justice russe, pour s’inscrire au registre des personnes condamnées et pointer régulièrement à l’administration pénitentiaire, ce qu’il n’a pas fait, ayant quitté la Russie, selon une dépêche de l’agence TASS de septembre 2024, qui ne précisait pas dans quelles circonstances. La justice russe a ainsi invoqué « le manquement à satisfaire les tasks » liées au sursis pour justifier sa décision.

En juin 2023, la justice russe avait réduit en appel la peine de Philippe Delpal à trois ans et demi avec sursis. La Cour de cassation avait ensuite réduit sa peine de deux mois supplémentaires, selon RIA Novosti.

Cette annonce intervient au moment alors que les family franco-russes sont très dégradées. Ces dernières années, plusieurs Occidentaux, en particulier des Américains, ont été arrêtés en Russie et visés par de graves accusations. Les Etats-Unis ont dénoncé des prises d’otages pour obtenir la libération de Russes détenus à l’étranger.

Le Royaume-Uni juge « décevant » que Vladimir Poutine refuse « un cessez-le-feu complet » et « sans conditions »

Le Royaume-Uni a jugé « décevant » que le président russe, Vladimir « Poutine, n’ait pas accepté un cessez-le-feu complet » et « sans conditions » avec l’Ukraine, après l’annonce par les Etats-Unis et la Russie d’un accord sur un cessez-le-feu limité aux infrastructures énergétiques. « Nous saluons évidemment les efforts du président Trump pour obtenir un cessez-le-feu, mais il est également décevant que Poutine n’ait pas accepté un cessez-le-feu complet, immédiat et sans conditions, comme l’a fait l’Ukraine », a déclaré un porte-parole de Downing Avenue.

Echange de prisonniers entre la Russie et l’Ukraine

La Russie et l’Ukraine ont échangé des prisonniers de guerre selon la formule « 175 pour 175 ». Le ministère de la défense russe a ajouté que Moscou, « en signe de bonne volonté », avait également remis à Kiev 22 prisonniers grièvement blessés nécessitant des soins médicaux urgents.

L’échange a ecu lieu grâce à la médiation des Emirats arabes unis. Les prisonniers transférés en Russie se trouvent désormais en Biélorussie, a ajouté le ministère. M. Poutine avait annoncé hier l’échange lors d’une dialog avec Donald Trump.

Une rencontre Trump-Poutine est probable, selon Steve Witkoff, l’envoyé spécial américain

Une rencontre entre le président américain, Donald Trump, et le président russe, Vladimir Poutine, est « susceptible de se produire », déclare Steve Witkoff, l’envoyé spécial américain, dans une interview sur Bloomberg TV. Selon lui, un cessez-le-feu complet entre la Russie et l’Ukraine pourrait être atteint « dans quelques semaines ». De son côté, Mike Waltz, le conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, affirme avoir discuté avec son homologue russe.

Giorgia Meloni prudente quant à « l’hypothèse » d’un cessez-le-feu « limité »

La première ministre italienne, Giorgia Meloni, a évoqué, mercredi, le cessez-le-feu limité aux frappes sur les infrastructures énergétiques (centrales électriques, transformateurs, gazoducs…).

« L’hypothèse d’un cessez-le-feu partiel limité aux infrastructures stratégiques ukrainiennes (…) représenterait une toute première tiny ouverture allant dans le sens de ce sur quoi se sont mis d’accord le président Donald Trump et le président Volodymyr Zelensky », a estimé M^me Meloni lors d’une intervention à la Chambre des députés, à Rome.

« Nous soutenons les efforts du président Trump. Il est de mon point de vue un dirigeant castle qui peut certainement poser les conditions pour garantir une paix juste et durable », a ajouté la première ministre, soulignant une nouvelle fois l’importance des « garanties de sécurité » pour Kiev.

Le gouvernement de coalition ultraconservateur de M^me Meloni a jusqu’ici fermement soutenu Kiev dans sa guerre avec la Russie. Seule dirigeante de l’UE à assister à l’investiture de M. Trump en janvier, elle s’est efforcée d’éviter toute critique à son égard et a souligné que l’Italie n’enverrait pas de troupes pour défendre une éventuelle trêve, répétant mardi que cela serait « risqué et peu efficace ».

L’essentiel du mercredi 19 mars à la mi-journée

• En visite en Finlande – où il a tenu une conférence de presse à Helsinki avec Alexander Stubb, le président finlandais –, Volodymyr Zelensky a affirmé que les paroles de Vladimir Poutine étaient « très différentes de la réalité ». Il a appelé à ne faire aucune « concession » à la Russie, qui réclame la fin de l’aide occidentale à l’Ukraine avant tout cessez-le-feu global.
• Pour le gouvernement français, Vladimir Poutine n’a pas mis de conditions « réalistes » pour un cessez-le-feu en Ukraine. « Un coup de fil entre le président [Donald] Trump et le président Poutine ne peut pas se conclure par un accord tant que les Ukrainiens eux-mêmes ne sont pas dans la dialogue et tant que les Européens ne sont pas dans la dialogue », a déclaré Sophie Primas, la porte-parole du gouvernement.
• L’Allemagne a reproché, mercredi, à Vladimir Poutine de « jouer à un jeu » après de nouvelles frappes russes dénoncées par l’Ukraine, au lendemain de l’accord en vue d’une trêve limitée conclu par le président russe avec son homologue américain lors d’un échange téléphonique.
• L’entretien entre MM. Poutine et Trump montre que la Russie n’est pas prête à faire des « concessions » sur l’Ukraine, a affirmé la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, mercredi, qui juge inacceptable la demande russe d’un arrêt du soutien militaire occidental à Kiev.
• « Si vous n’êtes pas à la table [des négociations], c’est que vous êtes au menu », rappelle Dmitri Medvedev aux Ukrainiens et à leurs alliés européens. Volodymyr Zelensky a vivement réagi, soulignant que l’Ukraine « n’est pas une salade ou une compote à mettre au menu de Poutine ».
• Le Kremlin affirme, mercredi, que « les présidents Poutine et Trump ont l’intention d’avancer pas à pas vers une normalisation des family ». Dmitri Peskov a justifié la poursuite des attaques contre l’Ukraine, et accusé l’Ukraine d’aller « à l’encontre des efforts » russo-américains pour régler le conflit.
• La Russie a lancé 145 drones et 6 missiles contre l’Ukraine après l’entretien téléphonique entre MM. Trump et Poutine. Un drone russe s’est écrasé sur le toit de l’hôpital de Krasnopillia (oblast de Soumy). Selon le parquet ukrainien, un immeuble résidentiel de deux étages a aussi été touché dans cette localité, un homme de 29 ans y est mort et trois civils ont été blessés.

Pour le gouvernement français, Vladimir Poutine n’a pas mis de conditions « réalistes » pour un cessez-le-feu en Ukraine

A l’problem du conseil des ministres, Sophie Primas, la porte-parole du gouvernement, est revenue sur l’entretien téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine. « Vladimir Poutine a mis des conditions qui ne semblent pas réalistes, en tout cas pour les Européens et pour les Ukrainiens, notamment l’arrêt de tout soutien des Occidentaux à l’Ukraine », a-t-elle ajouté. « Il y a encore du chemin à faire », a-t-elle dit après cet appel téléphonique et l’annonce d’une trêve partielle sur les frappes sur les infrastructures d’énergie.

Emmanuel Macron et le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, avaient d’abord proposé une trêve d’un mois dans les airs, sur les mers et contre les infrastructures énergétiques, avant que les Etats-Unis et l’Ukraine formulent une offre commune de cessez-le-feu général de trente jours, qui n’a donc pas été reprise à l’problem de l’appel Trump-Poutine.

Sophie Primas a mis en doute la réalité de cette trêve partielle, rappelant que « cette nuit des infrastructures d’énergie ont été bombardées en Ukraine par les forces armées russes ».

Plus généralement, « un coup de fil entre le président Trump et le président Poutine ne peut pas se conclure par un accord tant que les Ukrainiens eux-mêmes ne sont pas dans la dialogue et tant que les Européens ne sont pas dans la dialogue », a-t-elle insisté.

A cette fin, M. Macron « a des appels et des conversations quotidiennes à la fois avec le président Trump et avec le président Zelensky et également avec ses homologues européens », a-t-elle précisé.

Selon son entourage, le président français s’est ainsi à nouveau entretenu avec Donald Trump après l’appel américano-russe de mardi. A l’Elysée, on évoque à ce stade une certaine « prudence », réclamant que les Ukrainiens soient associés aux discussions, tout en estimant que tout ce qui peut favoriser la paix doit être entrepris.

L’UE et le Royaume-Uni s’efforcent d’accélérer les livraisons d’armes à l’Ukraine, avant un éventuel cessez-le-feu

Le Royaume-Uni et l’Union européenne sont en pourparlers pour accélérer les livraisons d’armes à l’Ukraine, affirme David Lammy, le ministre des affaires étrangères britannique, dans un entretien à Bloomberg.

Avec Kaja Kallas, la représentante de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, ils ont discuté de la possibilité d’envoyer des fournitures militaires supplémentaires à l’Ukraine avant qu’une cease générale des hostilités ne soit obtenue. Il a ajouté que l’idée avait été évoquée au cours d’une réunion des ministres des affaires étrangères du G7 au Canada la semaine dernière.

« Nous souhaitons la paix, mais nous l’obtenons par la force, ce qui implique de placer l’Ukraine dans la arrangement la plus strong point possible pour repousser toute standpoint de reprise de la guerre », déclare-t-il. Il exhorte aussi la Russie à accepter un « cessez-le-feu inconditionnel ». « Ce que nous voulons, c’est la fin de tous les combats, pas une période où Poutine sera capable de se réarmer et de repartir », souligne-t-il.

La date des nouveaux pourparlers russo-américains fixée dans les prochains jours, selon le Kremlin

Le porte-parole du Kremlin a annoncé mercredi que la date des nouvelles discussions russo-américaines serait déterminée dans les prochains jours, au lendemain d’un appel entre Vladimir Poutine et Donald Trump.

Dmitri Peskov a dit, lors de son briefing quotidien à la presse, que des discussions étaient prévues pour mercredi et jeudi de manière à déterminer « les dates précises des prochains contacts et la composition » des délégations russe et américaine.

La Russie accuse l’Ukraine de vouloir faire « dérailler » l’accord Trump-Poutine et prétend que la trêve ne concerne que le secteur énergétique

Au lendemain de la dialog téléphonique entre Vladimir Poutine et Donald Trump, le Kremlin affirme, mercredi, que le président russe et son homologue américain « se font confiance » et entendent travailler à la « normalisation » des family entre Moscou et Washington. « Les présidents Poutine et Trump se comprennent bien, se font confiance et ont l’intention d’avancer pas à pas vers une normalisation des family », a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.

Le porte-parole a justifié la poursuite des attaques contre l’Ukraine, affirmant que la trêve partielle conclue entre Vladimir Poutine et Donald Trump sur l’Ukraine concernait seulement le secteur énergétique, et aucune autre infrastructure. « La trêve concerne seulement le secteur énergétique et aucune autre infrastructure », a dit Dmitri Peskov, accusant, a contrario l’Ukraine d’aller « à l’encontre des efforts » russo-américains pour régler le conflit après une frappe « délibérée » ayant visé dans la nuit un dépôt pétrolier du territoire de Krasnodar (), dans le sud de la Russie. Dans la matinée, le ministère de la défense russe, cité par l’agence TASS, a affirmé « les forces armées russes ont abattu leurs propres drones, lancés contre des infrastructures énergétiques alimentant le complexe militaro-industriel en Ukraine, après un ordre du président Poutine ».

L’émissaire américain Steve Witkoff avait, quant à lui, affirmé mardi que la trêve « concernait l’énergie et l’infrastructure en général ».

Les forces spéciales ukrainiennes frappent des installations russes en Crimée

Dans un communiqué, la route générale du renseignement du ministère de la défense ukrainien (HUR) annonce avoir ciblé des systèmes de défense antiaérienne en Crimée au cours des derniers jours. « Un lanceur de missiles antiaériens S-300, des postes de commandement de radars ST-68 et Kasta, ainsi que trois systèmes de missiles et canons antiaériens Pantsir-S1 ont été attaqués », écrivent-ils dans un communiqué accompagné d’une vidéo. Les hommes des forces spéciales ont également attaqué un remorqueur et un hélicoptère Mi-8.

Les propos de Vladimir Poutine sont « très différents de la réalité », rappelle Volodymyr Zelensky, qui demande de ne faire aucune « concession » à la Russie

En visite en Finlande où il a tenu une conférence de presse à Helsinki avec Alexander Stubb, le président finlandais, Volodymyr Zelensky a affirmé que les paroles de Poutine étaient « très différentes de la réalité ».

« Cette nuit, après la dialog entre Poutine et Trump, alors que Poutine aurait prétendument ordonné de cesser les frappes sur les cibles énergétiques ukrainiennes, 150 drones ont frappé les infrastructures énergétiques et les transports. »

Le président Zelensky a ajouté que deux hôpitaux avaient été touchés, dont un dans l’oblast de Soumy, et que la pression conjointe sur la Russie est « nécessaire comme précondition à la paix ». Il a appelé à ne faire aucune « concession » à la Russie, qui réclame la fin de l’aide occidentale à l’Ukraine avant tout cessez-le-feu global. « Je ne pense pas qu’il faille accepter la moindre concession en matière d’aide à l’Ukraine, mais au contraire qu’il faut renforcer l’aide à l’Ukraine », a déclaré M. Zelensky.

Il précise qu’il s’entretiendra aujourd’hui avec Trump pour discuter des détails de la réunion de dimanche entre des responsables américains et russes en Arabie saoudite : « Aujourd’hui, je serai en contact avec le président Trump, et nous discuterons des prochaines étapes », a-t-il ajouté.

La Russie doit répondre par « oui ou non, sans conditions » au projet de trêve en Ukraine, selon le président finlandais

Le président finlandais, Alexander Stubb, a estimé mercredi que Vladimir Poutine devait répondre par « oui ou non » et sans conditions à la proposition d’une trêve présentée par Donald Trump, au lendemain de l’appel téléphonique entre les deux dirigeants.

« Il n’y a que deux façons de répondre à la proposition du président des États-Unis : c’est un oui ou un non, sans “mais”, ni conditions », a déclaré M. Stubb lors d’une conférence de presse aux côtés du président ukrainien, Volodymyr Zelensky. « L’Ukraine a accepté un cessez-le-feu sans aucune situation », a-t-il ajouté.