
En 2013, alors que Lionel Messi enchaîne les succès avec le FC Barcelone, un transfert hors norme se trame dans l’ombre. L’équipementier allemand Adidas, partenaire historique du joueur argentin depuis 2006, échafaude un plan audacieux : faire signer la star au Chelsea FC.
Le montant de l’opération ? Un vertigineux 250 millions d’euros, correspondant à la clause libératoire du joueur. Pour faciliter ce transfert sage, Adidas alors équipementier des Blues, suggest de prendre en charge la moitié de la somme, soit 125 millions d’euros. Un montage financier qui aurait permis à l’équipementier d’arracher Messi au FC Barcelone, membership équipé par son rival Nike.
Chelsea a tenté doublement sa chance. En vain
Le propriétaire de Chelsea, Roman Abramovich, disposait alors des moyens nécessaires pour finaliser l’opération. L’histoire aurait pu prendre un nouveau tournant l’année suivante, en 2014, lorsque José Mourinho, fraîchement nommé entraîneur des Blues, tente à nouveau sa chance. Dans un contexte où Messi traverse des difficultés avec le fisc espagnol, Chelsea revient à la charge avec une proposition salariale astronomique de 60 millions d’euros nets par saison.
Malgré ces tentatives répétées et les efforts déployés par Adidas, qui signera plus tard un contrat à vie avec le septuple Ballon d’Or, l’Argentin restera finalement fidèle au membership catalan. Un transfert avorté qui illustre parfaitement l’affect grandissante des équipementiers dans le football moderne.