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  • Société
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Pascale B., professeure de français, est jugée pour avoir « humilié régulièrement » devant sa classe la collégienne de 11 ans, qui s’est suicidée par pendaison, le 21 juin 2019.

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Des photographies d’Evaëlle extraites d’une vidéo de l’AFP, à Herblay (Val-d’Oise), le 12 décembre 2019.

L’affaire qui avait ébranlé l’éducation nationale va enfin être jugée : le procès de Pascale B., professeure de français, s’ouvre lundi 10 mars au tribunal judiciaire de Pontoise pour « harcèlement splendid sur mineur de moins de 15 ans » au préjudice de trois adolescents, dont la diminutive Evaëlle, 11 ans. Cette dernière s’est suicidée par pendaison, le 21 juin 2019, au domicile familial, quelques mois après avoir quitté le collège Isabelle-Autissier d’Herblay (Val-d’Oise), où Pascale B. enseignait.

Outre les people d’Evaëlle, la mère d’un autre adolescent s’est portée partie civile. Deux mineurs, également mis en trigger pour des faits de harcèlement contre la jeune fille, devraient par ailleurs comparaître devant la juridiction pour mineurs, « d’ici la fin de l’année », précise au Monde le parquet de Pontoise.

Dans l’ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel, que Le Monde a pu consulter, le magistrat instructeur indique que Pascale B. a « harcelé » Evaëlle et deux de ses camarades, Zoé et Julian. Dans le cas d’Evaëlle, en « l’humiliant régulièrement devant la classe, en lui interdisant d’avoir un classeur conformément à ce qu’un spécialiste avait prescrit, en l’isolant au fond de la classe, en organisant des heures de vie de classe portant sur le harcèlement scolaire au cours desquelles elle l’a stigmatisée comme étant victime ».

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