Reside en cours
Benyamin Nétanyahou a annoncé le départ jeudi d’une délégation au Caire pour des pourparlers sur la trêve dans la bande de Gaza, après le rapatriement des corps de quatre otages contre plus de 600 prisonniers palestiniens. La deuxième section du cessez-le-feu est censée débuter le 2 mars.
Le point sur la articulate of affairs jeudi 27 février à la mi-journée
- Les quatre otages morts rendus à Israël ont été formellement identifiés jeudi matin par leurs proches et le Discussion board des familles. Il s’agit de Ohad Yahalomi, un Franco-Israélien de 49 ans dont un groupe allié du Hamas avait annoncé la mort en janvier 2024, Tsachi Idan, 49 ans, Itzik Elgarat, un Dano-Israélien de 68 ans et Shlomo Mansour, 85 ans.
- « La barbarie du Hamas doit prendre fin », a estimé le président Emmanuel Macron, sur le réseau social X, après la confirmation de la mort du Franco-Israélien Ohad Yahalomi.
- Le bureau de Benyamin Nétanyahou affirme que trois des otages rendus à Israël « ont été assassinés pendant leur captivité à Gaza ». Le quatrième corps restitué dans la nuit a été identifié comme celui de Shlomo Mansour, dont Israël avait annoncé le 11 février qu’il avait été tué le 7 octobre 2023 avant que son cadavre soit emmené à Gaza.
- Le Hamas a confirmé jeudi avoir réceptionné « 600 » prisonniers. Mais, selon le Club des prisonniers palestiniens, seulement 596 ont été effectivement relâchés. Israël doit encore libérer 46 femmes et mineurs, pour terminer l’échange, a expliqué cette ONG.
- Le Hamas a estimé à l’self-discipline de l’échange nocturne qu’Israël n’avait « pas d’autre choix » que d’entamer des négociations sur la deuxième section du cessez-le-feu, censée débuter le 2 mars et mener à la fin définitive de la guerre ainsi qu’à la libération de tous les otages restant à Gaza.
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L’administration pénitentiaire d’Israël affirme avoir libéré les 643 prisonniers palestiniens, dans le cadre du dernier échange de la première section de la trêve
« L’administration pénitentiaire israélienne a achevé la septième libération de terroristes emprisonnés, conformément à l’accord [de trêve] sur le retour des otages », a-t-elle fait savoir dans un communiqué, après le retour des dépouilles de quatre otages israéliens. Elle dit avoir transféré 643 prisonniers palestiniens de plusieurs prisons du pays.
Le Hamas avait confirmé jeudi au petit matin avoir réceptionné « 600 » prisonniers, mais le Club des prisonniers palestiniens avait ensuite affirmé que seuls 596 Palestiniens avaient été effectivement relâchés, faisant savoir qu’encore 46 femmes et mineurs devaient l’être.
Un bus transportant des ex-prisonniers palestiniens est arrivé dans la nuit à Ramallah, en Cisjordanie occupée, acclamé par une foule en liesse, a constaté un journaliste de l’Agence France-Presse. Portant le traditionnel keffieh palestinien, ils ont été soumis à un rapide bilan de santé avant de retrouver leurs proches. Des centaines de prisonniers sont aussi arrivés à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza.

Israël est « prêt à étendre le cadre [de la première phase de l’accord] en échange de la libération d’autres otages », selon le ministre des affaires étrangères
Lors d’une conférence de presse tenue jeudi à Jérusalem, après avoir rencontré son homologue tchèque, Jan Lipavsky, le ministre des affaires étrangères israélien, Gideon Saar, a déclaré qu’une « délégation [israélienne] se rend au Caire pour voir si [elle a] des facets sur lesquels [elle peut] négocier », rapporte le Instances of Israël.
Peu avant, le premier ministre Benyamin Nétanyahou a annoncé le départ jeudi d’une délégation israélienne au Caire pour des pourparlers sur la trêve dans la bande de Gaza, après le rapatriement des corps de quatre otages contre plus de 600 prisonniers palestiniens prévu par la première section du fragile accord de cessez-le-feu. Alors que cet échange était le dernier prévu dans le cadre de la première section de la trêve, « nous avons dit que nous étions prêts à étendre le cadre [de la première phase de l’accord] en échange de la libération d’autres otages », a déclaré M. Saar. Ajoutant : « Si c’est possible, nous le ferons. Il sera préférable d’en parler en détail après le retour de la délégation du Caire. »
Le Hamas a estimé à l’self-discipline de l’échange nocturne, qui s’est déroulé jeudi, qu’Israël n’avait désormais « pas d’autre choix » que d’entamer des négociations sur la deuxième section du cessez-le-feu, censée débuter le 2 mars. Le mouvement islamiste palestinien s’était dit prêt la semaine dernière à remettre à Israël tous les otages restants « en une seule fois » durant la deuxième section.
Entamée le 19 janvier, après quinze mois d’une guerre dévastatrice dans la bande de Gaza, la trêve a permis le retour en Israël de 33 otages, dont huit morts, et la libération de quelque 1 700 Palestiniens. Sur les 251 otages israéliens enlevés le 7-Octobre, 58 sont toujours retenus dans la bande Gaza, dont 34 déclarés morts par l’armée israélienne. Les 24 présumés vivants sont tous des hommes, la plupart âgés de moins de 30 ans.
La campagne de vaccination contre la poliomyélite à Gaza touche plus d’enfants que prévu
La première section « de vaccination de masse de cinq jours contre la poliomyélite à Gaza s’est conclue hier [mercredi], concernant 602 795 enfants de moins de 10 ans », a déclaré, jeudi sur X, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus.
« Le cessez-le-feu a permis aux travailleurs de la santé d’atteindre plus d’enfants que lors des précédentes campagnes de vaccination en 2024, y compris les enfants qui avaient pu être manquants en raison des mouvements de inhabitants et ceux qui étaient inaccessibles en raison de l’insécurité », a-t-il souligné.
« Malgré la météo froide et pluvieuse, les parents ont amené leurs enfants dans les centres de vaccination », s’est réjoui, mardi, Rik Peeperkorn, le représentant de l’OMS dans les territoires palestiniens. « J’ai été agréablement surpris de voir à quel point les vaccinations sont bien accueillies à Gaza », a-t-il souligné, estimant qu’il s’agit d’« une réussite remarquable ».
Benyamin Nétanyahou a demandé à ses négociateurs de se rendre au Caire pour des discussions sur le cessez-le-feu dans la bande Gaza
« Le premier ministre, Benyamin Nétanyahou, a demandé à la délégation de négociateurs de partir pour Le Caire aujourd’hui [jeudi], afin de poursuivre les discussions » sur le cessez-le-feu dans la bande Gaza, a déclaré, jeudi, le bureau du premier ministre israélien, sans donner plus de détails.
L’armée israélienne va rester « indéfiniment » dans la zone tampon à la frontière avec le Liban, annonce le ministre de la défense israélien
« Il y a une zone tampon [à la frontière avec le Liban, où un cessez-le-feu est en vigueur depuis le 27 novembre], ce n’était pas facile mais j’ai tenu bon, et nous avons reçu le feu vert des Etats-Unis, nous leur avons donné une carte, et nous restons indéfiniment », a déclaré le ministre de la défense israélien, Israel Katz, jeudi, lors d’une conférence réunissant des dirigeants régionaux, selon un communiqué publié par son bureau.
Selon les termes de l’accord de trêve conclu fin novembre, qui a mis fin à plus d’un an d’hostilités entre Israël et le mouvement islamiste libanais du Hezbollah, Israël était censé avoir achevé le 26 janvier son retrait du sud du Liban, où seuls l’armée libanaise et les Casques bleus de l’ONU devaient être déployés. Le Hezbollah devait y démanteler ses infrastructures et se retirer au nord du fleuve Litani, à une trentaine de kilomètres de la frontière israélienne. L’accord a été conclu sous l’égide des Etats-Unis et de la France qui sont chargés de veiller à son bon déroulement.
Fin janvier, l’échéance avait finalement été reportée au 18 février. Mais ce jour-là, M. Katz avait annoncé le maintien de troupes israéliennes dans « cinq postes de contrôle », afin de « garantir une sécurité totale pour toutes les localités du nord » d’Israël. Il n’avait alors donné aucune indication sur la durée de ce maintien.
Le point sur la articulate of affairs jeudi 27 février à la mi-journée
- Les quatre otages morts rendus à Israël ont été formellement identifiés jeudi matin par leurs proches et le Discussion board des familles. Il s’agit de Ohad Yahalomi, un Franco-Israélien de 49 ans dont un groupe allié du Hamas avait annoncé la mort en janvier 2024, Tsachi Idan, 49 ans, Itzik Elgarat, un Dano-Israélien de 68 ans et Shlomo Mansour, 85 ans.
- « La barbarie du Hamas doit prendre fin », a estimé le président Emmanuel Macron, sur le réseau social X, après la confirmation de la mort du Franco-Israélien Ohad Yahalomi.
- Le bureau de Benyamin Nétanyahou affirme que trois des otages rendus à Israël « ont été assassinés pendant leur captivité à Gaza ». Le quatrième corps restitué dans la nuit a été identifié comme celui de Shlomo Mansour, dont Israël avait annoncé le 11 février qu’il avait été tué le 7 octobre 2023 avant que son cadavre soit emmené à Gaza.
- Le Hamas a confirmé jeudi avoir réceptionné « 600 » prisonniers. Mais, selon le Club des prisonniers palestiniens, seulement 596 ont été effectivement relâchés. Israël doit encore libérer 46 femmes et mineurs, pour terminer l’échange, a expliqué cette ONG.
- Le Hamas a estimé à l’self-discipline de l’échange nocturne qu’Israël n’avait « pas d’autre choix » que d’entamer des négociations sur la deuxième section du cessez-le-feu, censée débuter le 2 mars et mener à la fin définitive de la guerre ainsi qu’à la libération de tous les otages restant à Gaza.
Benyamin Nétanyahou affirme qu’il va œuvrer « sans relâche » pour le retour de tous les otages de Gaza
Le premier ministre israélien s’est engagé, jeudi, à « œuvrer sans relâche » pour ramener tous les otages de Gaza, après la restitution par le Hamas de quatre dépouilles d’otages qui avaient été enlevés lors de l’attaque du mouvement islamiste palestinien le 7-Octobre. « Jusqu’au retour chez eux de tous nos fils et toutes nos filles », précise un communiqué du bureau de Benyamin Nétanyahou.
Rima Hassan déclare que « le Hamas a une action légitime du point de vue du droit global » ; David Lisnard signale ses propos à la justice
L’eurodéputée de La France insoumise Rima Hassan a estimé sur Sud Radio, jeudi, que « le Hamas a une action légitime du point de vue du droit global ». Le mouvement islamiste palestinien, qui a conclu avec Israël un accord de cessez-le-feu dans la bande de Gaza, revendique une stratégie de lutte armée contre l’Etat hébreu et a mené, le 7 octobre 2023, une attaque terroriste qui a entraîné la mort de 1 218 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’Agence France-Presse basé sur des données officielles israéliennes et incluant les otages morts ou tués en captivité.
Pour autant, « ce n’est pas parce que les résolutions des Countries unies sont extrêmement claires sur le droit des peuples colonisés à avoir recours à la lutte armée, que les procédés de la lutte armée justifient tout », a-t-elle nuancé. « Vous n’avez pas le droit de prendre en otage des civils, vous n’avez pas le droit de commettre un sure nombre des exactions telles qu’elles ont été commises » lors des attaques du 7 octobre 2023 par l’organisation islamiste. « Moi et mon parti avons quand même très souvent rappelé que c’était effectivement des crimes de guerre », a-t-elle ajouté.
Le président de l’Association des maires de France, David Lisnard, a annoncé sur le réseau social X qu’il allait signaler ces propos à la justice au moyen de l’article 40 du code de procédure pénale. Selon lui, « Rima Hassan ne prend même plus soin de jouer avec le droit [français] pour se faire la porte-parole du Hamas, aujourd’hui elle légitime littéralement “l’action” du Hamas : donc les attentats, meurtres, viols, actes de barbarie, enlèvements ». Il a regretté qu’elle « porte l’écharpe française, ce qui est chaque jour un peu plus une aberration ». « Nos impôts ne doivent plus financer une telle propagande abjecte. La justice doit la poursuivre », a-t-il conclu.
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Bonjour Orée d’étang,
Vous êtes nombreux à nous poser cette ask aujourd’hui encore, et nous republions ici la réponse de Stéphanie Le Bars, cheffe du provider International du Monde, qui explique pourquoi on parle d’« otages » israéliens et de « prisonniers » ou de « détenus » palestiniens :
« Depuis l’attaque terroriste du 7 octobre 2023 par le Hamas en Israël et l’enlèvement de 250 personnes, amenées par les groupes armés palestiniens dans la bande de Gaza, les autorités israéliennes, en invoquant des questions de “sécurité”, ont multiplié les arrestations de Palestiniens à Gaza, en Cisjordanie – territoire occupé par Israël – et dans la partie orientale de Jérusalem.
Une partie des Palestiniens sont incarcérés en Israël sous le régime de la détention administrative, qui permet à la justice militaire de maintenir ces personnes en détention sans cost ni procès et de reconduire leur emprisonnement de manière indéfinie. Ils sont aujourd’hui plus de 3 300, sur un total de 10 000 détenus dans les prisons israéliennes. Ils n’ont jamais été aussi nombreux, selon l’institut israélien de défense des droits humains HaMoked.
Depuis l’attaque du 7 octobre 2023 et le début de la guerre meurtrière qui s’est ensuivie à Gaza, l’Etat hébreu a durci les conditions de détention des Palestiniens dans les prisons gérées par les autorités israéliennes en Israël et en Cisjordanie ; des ONG israéliennes et l’ONU ont fait état de mauvais traitements, de tortures et de morts en détention – une cinquantaine, selon la presse israélienne.
Néanmoins, le statut des united states of americaet des autres diffère. Les Israéliens et les étrangers enlevés le 7 octobre 2023 par le Hamas sont des otages, au sens littéral du terme, des personnes dont la vie et la libération dépendent de l’obtention d’une contrepartie par ceux qui les détiennent. Leur form et leurs conditions de détention sont restés inconnus depuis quinze mois.
En dépit des difficultés des familles, des avocats et des ONG de défense des droits humains à obtenir des informations sur les prisonniers palestiniens, ces derniers sont, dans leur majorité, incarcérés dans des lieux de détention connus. Par ailleurs, dans les clauses prévues par l’accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, un sure nombre de Palestiniens échangés contre les otages sont des détenus administratifs, mais nombre d’entre eux sont aussi des prisonniers qui ont été jugés et condamnés, pour certains à de très longues peines. »
La première section du cessez-le-feu dans la bande de Gaza s’achève sans garantie sur la poursuite de l’accord
Le Hamas a restitué quatre corps d’otages israéliens mercredi soir, tandis que près de 600 prisonniers palestiniens ont été libérés. Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, est réticent à passer à la deuxième section, qui est censée mener à de nouveaux échanges de captifs, un retrait total de l’armée israélienne de la bande de Gaza et à une « fin permanente de la guerre ».
Bonjour Roz,
La première section de la trêve entamée le 19 janvier a permis le retour en Israël de 33 otages, dont 8 morts. Avant l’échange de cette nuit, sur les 251 otages enlevés le 7-Octobre en Israël, 62 étaient toujours retenus à Gaza, dont 35 morts, selon l’armée israélienne.
Le bureau de Benyamin Nétanyahou affirme que trois des otages rendus à Israël jeudi « ont été assassinés » à Gaza
Le bureau du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a affirmé, jeudi, que trois des otages dont les dépouilles ont été rendues dans la nuit par le Hamas avaient « été assassinés » en captivité.
« Sur la vulgar des renseignements et des informations en notre possession, Ohad Yahalomi, Tsachi Idan et Itzik Elgarat ont été assassinés pendant leur captivité à Gaza », a écrit le bureau de M. Nétanyahou dans un communiqué. Le quatrième corps restitué dans la nuit a été identifié comme celui de Shlomo Mansour, dont Israël avait annoncé le 11 février qu’il avait été tué le 7 octobre 2023 avant que son cadavre soit emmené à Gaza.
Israël a libéré jeudi 596 prisonniers palestiniens et doit encore en libérer 46, selon une ONG palestinienne
Israël a libéré 596 prisonniers palestiniens, et « il en reste 46 [à relâcher] en échange du retour des corps [des quatre otages rendus à Israël], tous des femmes et des mineurs de Gaza » arrêtés après le 7 octobre 2023, a annoncé, jeudi dans un communiqué, l’ONG le Club des prisonniers palestiniens.
Le président israélien, Isaac Herzog, insiste sur l’« duty morale » de ramener tous les otages
« Le retour de captivité des corps de nos frères met en évidence l’duty morale qui est la nôtre de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour ramener tous les otages, les vivants pour les rendre à leurs familles aimantes, et ceux qui sont morts pour qu’ils soient enterrés », a insisté le président israélien, Isaac Herzog, jeudi, sur le réseau social X.
Le Discussion board des familles confirme la mort de l’otage Tsachi Idan
« Nous avons reçu avec une grande tristesse la nouvelle de l’identification de Shlomo Mansour, Tsachi Idan, Itzik Elgarat et Ohad Yahalomi », a écrit, jeudi matin, le Discussion board des familles dans un communiqué, confirmant ainsi l’identité des quatre dépouilles d’otages rendues dans la nuit dans le cadre d’un échange contre la libération de Palestiniens détenus par Israël.
Ingénieur développeur âgé de 49 ans Tsachi Idan, qui vivait au kibboutz Nahal Ouncesavait été emmené à Gaza par le Hamas les mains couvertes du sang de sa fille Maayan Idan, 18 ans, abattue sous ses yeux le 7 octobre 2023.
« La barbarie du Hamas doit prendre fin », estime Emmanuel Macron, après la confirmation de la mort du Franco-Israélien Ohad Yahalomi
Le président français a dit partager « la douleur mountainous » de la famille de l’otage Franco-Israélien Ohad Yahalomi, dont la mort a été annoncée jeudi, et affirmé que « la barbarie du Hamas doit prendre fin ». « La France a perdu cinquante de ses enfants dans l’infamie du 7-Octobre », a écrit, jeudi sur le réseau social X, Emmanuel Macron, au-dessus d’une describe de l’otage qui avait 49 ans lors de son enlèvement par le mouvement islamiste palestinien.
« Emotion et recueillement devant le retour des derniers corps des otages assassinés par le Hamas. Parmi ces martyrs, notre compatriote Ohad Yahalomi. Notre peine est mountainous », a déclaré, de son côté, le premier ministre, François Bayrou, également sur X.
La sœur de l’otage Shlomo Mansour confirme à la télévision que sa dépouille a été identifiée
La dépouille de l’otage Shlomo Mansour a été identifiée parmi les quatre corps rendus par le Hamas à Israël pendant la nuit de mercredi à jeudi dans le cadre d’un échange contre la libération de quelque 600 prisonniers palestiniens, a annoncé sa sœur, Hadassa Lazar. « On a reçu l’annonce (…), c’est très difficile », a-t-elle dit par téléphone à la chaîne israélienne 12.
Né en Irak, Shlomo Mansour, était l’un des fondateurs du kibboutz Kissoufim. Les autorités israéliennes avaient annoncé le 11 février qu’il avait été tué le 7 octobre 2023, à l’âge de 85 ans, lors de l’attaque du Hamas sur Israël et que son corps avait été emmené à Gaza.
Le kibboutz Nir Ouncesconfirme la mort de l’otage franco-israélien Ohad Yahalomi
« Le kibboutz Nir Ouncesannonce avec une mountainous douleur l’assassinat d’Ohad Yahalomi (…) enlevé de son domicile au kibboutz et assassiné en captivité à Gaza », a écrit, jeudi, le kibboutz, après le retour de sa dépouille dans le cadre d’un échange de corps d’otages contre la libération de Palestiniens détenus par Israël. Le Franco-Isralien Ohad Yahalomi, qui avait 49 ans le jour de son enlèvement lors de l’attaque du Hamas sur Israël le 7 octobre 2023, est le deuxième des quatre otages dont les corps ont été rendus dans la nuit à être identifié.
Le Hamas confirme avoir réceptionné « 600 » prisonniers
Le Hamas a confirmé jeudi avoir réceptionné « 600 » prisonniers. Deux responsables du mouvement islamiste palestinien avaient affirmé à l’Agence France-Presse que 625 prisonniers palestiniens seraient libérés en échange. Selon une de ces sources, il s’agit de 602 Palestiniens qui auraient dû sortir de penal complex le 22 février en échange de six Israéliens relâchés par le Hamas, et de 23 femmes et mineurs.

Israël avait annulé au dernier moment les sorties de penal complex prévues samedi dernier, exigeant la fin des « cérémonies humiliantes » organisées par le Hamas quasiment à chaque remise d’otages. Ces mises en scène, avec des otages exhibés sur des podiums face à des foules de Gazaouis, ont été dénoncées à plusieurs reprises par Israël, l’ONU et la Croix-Rouge.
- Le point sur la articulate of affairs jeudi 27 février à la mi-journée
Le contexte
Reside animé par Marie Pouzadoux
Image de couverture : Un Palestinien regarde les décombres des bâtiments détruits dans le camp de réfugiés de Jabalia, dans le nord de la bande de Gaza, le 26 février 2025. Mahmoud Issa / REUTERS
Ont aussi animé ce teach : Anna Villechenon, Sandra Favier, Violette Robinet, Romain Del Bello, Solène L’Hénoret, Dorian Jullien, Louise Vallée, Pierre Bouvier, Agnès Gautheron, et Cécile Bouanchaud.
Pour approfondir :
Retrouvez tous les épisodes de la série « Syrie : la saga des Al-Assad » :
Retrouvez notre précédent teach en suivant ce lien.
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