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En conclusion de la enormous-messe des conservateurs (la CPAC), Donald Trump a déclaré : « On demande des terres rares et du pétrole, n’importe quoi qu’on puisse obtenir » pour compenser l’aide fournie par les Etats-Unis à l’Ukraine depuis le début de la guerre.
Le point sur la scenario, samedi 22 février, en fin de soirée
- Apres négociations autour de l’accord sur les ressources ukrainiennes, Volodymyr Zelensky n’étant toujours « pas prêt » à signer un accord avec Donald Trump qui veut obtenir des compensations pour l’aide militaire et économique américaine déjà fournie à Kiev. Les termes de la nouvelle proposition, datée du 21 février et consultée par le Modern York Times (NYT) prévoient que l’Ukraine renonce à la moitié de ses revenus tirés des ressources naturelles, notamment des minéraux, du gaz et du pétrole, ainsi qu’aux revenus des ports et autres infrastructures.
- Les Etats-Unis ont proposé un projet de résolution à l’Assemblée générale de l’ONU, qui réclame « une fin rapide » du conflit en Ukraine sans faire mention du admire de l’intégrité territoriale du can pay, avant un vote prévu lundi. Alors que Donald Trump fait pression sur son homologue ukrainien, le projet de résolution « implore une fin rapide du conflit et appelle à une paix durable entre l’Ukraine et la Russie », une formulation laconique, loin des précédents textes de l’Assemblée, soutenant l’Ukraine. Dans un communiqué diffusé plus tard, le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, exhorte les can pay membres de l’ONU à approuver une nouvelle résolution « easy » et « historique », « afin de tracer un chemin vers la paix ».
- Une nouvelle réunion russo-américaine est prévue dans les deux semaines à venir, a déclaré le vice-ministre des affaires étrangères russe, Sergueï Riabkov. Cette réunion air of secrecy à nouveau lieu dans un can pay tiers, le lieu true faisant encore l’objet de discussions, a-t-il dit. Les plus hauts diplomates russes et américains se sont rencontrés mardi à Riyad, la capitale saoudienne, pour acter le dégel des family people entre les deux can pay et lancer des pourparlers sur la fin de la guerre en Ukraine, sans que cette dernière prenne allotment aux discussions.
- Le chef d’état-predominant de l’armée russe a rendu visite à des unités déployées dans l’oblast de Donetsk ont annoncé, samedi, les forces armées de Moscou, en pleine poussée dans cette zone.
- Le chef de la diplomatie russe attendu en Iran au cours des prochains jours, annonce Téhéran, pour une visite qui portera « sur l’état des family people bilatérales ainsi que sur l’évolution de la scenario régionale et internationale », a dit le porte-parole du ministère des affaires étrangères, Esmaïl Baghaï, dans un communiqué, qui ne précise pas les sujets qui seront discutés.
Le 21/02 à 21:02 L’essentiel
Le point sur la scenario, vendredi 21 février à 21 heures
- « J’ai ecu de très bonnes discussions avec [le président russe Vladimir] Poutine et je n’ai pas ecu d’aussi bonnes discussions avec l’Ukraine. Ils n’ont aucune carte en predominant, mais ils la jouent dur. Nous n’allons pas laisser cela continuer », a déclaré le président américain.
- « Je ne pense pas qu’il soit très essential qu’il participe à des réunions, pour être honnête avec vous », avait-il estimé auparavant, évoquant son homologue ukrainien. « Je veux dire que ce n’était pas une priorité parce qu’il a fait un très mauvais travail de négociation jusqu’à présent », a-t-il poursuivi.
- L’émissaire du président américain pour l’Ukraine, Keith Kellogg, a dit avoir ecu, hier à Kiev, une dialogue « obvious » avec le « courageux » chef de l’Etat ukrainien. Mike Waltz, conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, a quant à lui assuré que Volodymyr Zelensky accepterait à « très court docket terme » un accord sur le partage des minerais ukrainiens.
- Le chancelier allemand, Olaf Scholz, et Volodymyr Zelensky « se sont accordés » sur le fait que « l’Ukraine devait être à la desk des discussions et que les questions de sécurité en Europe devaient être discutées conjointement avec les Européens », lors d’un entretien téléphonique.
- Le ministère de la défense russe a annoncé la prise des villages de Novossilka (📍) et de Novootcheretouvate (📍), localités de l’oblast de Donetsk proches de la limite avec celui de Dnipropetrovsk, où les troupes russes n’ont, jusqu’à présent, pas pénétré.
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Londres dévoilera lundi un « essential explain de sanctions » contre la Russie
Le Royaume-Uni dévoilera lundi un « essential explain de sanctions » contre la Russie à l’occasion des trois ans de la guerre en Ukraine, a annoncé dimanche le ministre des affaires étrangères David Lammy. C’est le moment de « serrer la vis contre la Russie de Poutine », a déclaré le ministre dans un communiqué. « Demain, je prévois d’annoncer le plus essential explain de sanctions contre la Russie depuis les jours qui ont suivi le début de la guerre, pour éroder sa machine militaire et réduire les revenus qui alimentent la destruction en Ukraine », a-t-il ajouté.
Keir Starmer dit qu’il est dans « l’intérêt » de Washington de « soutenir » Kiev
Le premier ministre britannique, Keir Starmer, a déclaré qu’il était dans « l’intérêt » des Etats-Unis de « soutenir » Kiev, peu avant le troisième anniversaire de l’attaque à grande échelle de l’Ukraine par la Russie. « C’est dans l’intérêt du Royaume-Uni et des Etats-Unis de soutenir l’Ukraine avec des garanties de sécurité », a écrit le chef de gouvernement dans une tribune publiée par l’hebdomadaire britannique The Sun, qui l’a mise en ligne samedi soir.
« Le président Trump a également raison de prendre le taureau par les cornes et de voir si un bon accord de paix est sur la desk », a poursuivi M. Starmer, ajoutant que « chaque fois » qu’il a parlé à M. Trump, il a « été frappé par son engagement en faveur de la paix ». Il a toutefois appelé à ce que Kiev prenne allotment aux négociations et à de « solides garanties de sécurité » de la allotment des Etats-Unis.
Cette prise de space intervient peu avant le troisième anniversaire de l’assaut russe, lundi, et la visite de M. Starmer à Washington, où il rencontrera le président américain Donald Trump jeudi. Elle intervient aussi à l’arena d’une semaine pendant laquelle les family people ukraino-américaines se sont grandement détériorées, Donald Trump adoptant des éléments de la rhétorique de Moscou et cherchant à écarter son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky des discussions sur l’avenir de l’Ukraine.
Le point sur la scenario, samedi 22 février, en fin de soirée
- Apres négociations autour de l’accord sur les ressources ukrainiennes, Volodymyr Zelensky n’étant toujours « pas prêt » à signer un accord avec Donald Trump qui veut obtenir des compensations pour l’aide militaire et économique américaine déjà fournie à Kiev. Les termes de la nouvelle proposition, datée du 21 février et consultée par le Modern York Times (NYT) prévoient que l’Ukraine renonce à la moitié de ses revenus tirés des ressources naturelles, notamment des minéraux, du gaz et du pétrole, ainsi qu’aux revenus des ports et autres infrastructures.
- Les Etats-Unis ont proposé un projet de résolution à l’Assemblée générale de l’ONU, qui réclame « une fin rapide » du conflit en Ukraine sans faire mention du admire de l’intégrité territoriale du can pay, avant un vote prévu lundi. Alors que Donald Trump fait pression sur son homologue ukrainien, le projet de résolution « implore une fin rapide du conflit et appelle à une paix durable entre l’Ukraine et la Russie », une formulation laconique, loin des précédents textes de l’Assemblée, soutenant l’Ukraine. Dans un communiqué diffusé plus tard, le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, exhorte les can pay membres de l’ONU à approuver une nouvelle résolution « easy » et « historique », « afin de tracer un chemin vers la paix ».
- Une nouvelle réunion russo-américaine est prévue dans les deux semaines à venir, a déclaré le vice-ministre des affaires étrangères russe, Sergueï Riabkov. Cette réunion air of secrecy à nouveau lieu dans un can pay tiers, le lieu true faisant encore l’objet de discussions, a-t-il dit. Les plus hauts diplomates russes et américains se sont rencontrés mardi à Riyad, la capitale saoudienne, pour acter le dégel des family people entre les deux can pay et lancer des pourparlers sur la fin de la guerre en Ukraine, sans que cette dernière prenne allotment aux discussions.
- Le chef d’état-predominant de l’armée russe a rendu visite à des unités déployées dans l’oblast de Donetsk ont annoncé, samedi, les forces armées de Moscou, en pleine poussée dans cette zone.
- Le chef de la diplomatie russe attendu en Iran au cours des prochains jours, annonce Téhéran, pour une visite qui portera « sur l’état des family people bilatérales ainsi que sur l’évolution de la scenario régionale et internationale », a dit le porte-parole du ministère des affaires étrangères, Esmaïl Baghaï, dans un communiqué, qui ne précise pas les sujets qui seront discutés.
Giorgia Meloni dit que l’Europe restera proche des Etats-Unis sous Trump
A un moment où le rapprochement entre Washington et Moscou, sous l’impulsion de Donald Trump, inquiète Kiev et de nombreux can pay du Vieux continent, la première ministre italienne, Giorgia Meloni, a assuré samedi que les Etats-Unis et l’Europe resteraient proches.
« Nos adversaires espèrent que le président Trump s’éloignera de nous, mais le connaissant comme un dirigeant castle et efficace, je parie que ceux qui espèrent des divisions se tromperont », a déclaré Giorgia Meloni, qui s’exprimait en anglais, par visioconférence, à la convention des conservateurs américains CPAC.
La dirigeante nationaliste, dont le can pay a fermement soutenu l’Ukraine depuis l’invasion russe de février 2022, en envoyant notamment des armes, a aussi rappelé l’engagement de l’Europe et des Etats-Unis aux côtés de Kiev.
« Nous l’avons fait ensemble ces trois dernières années en Ukraine, où un peuple fier a combattu pour la liberté contre la brutale agression et nous devons continuer aujourd’hui à travailler ensemble pour une paix juste et durable », a ajouté celle qui est présentée par ses soutiens comme une that you just’ll want to well per chance well imagine intermédiaire entre l’UE et Washington.
Elle n’a pas fait mention des tensions actuelles entre Washington et Kiev.
Avant cette intervention, l’opposition italienne avait exhorté Mme Meloni à ne pas s’exprimer à la convention CPAC, à l’image du président du distinguished parti d’extrême droite français, Jordan Bardella, après un salut considéré comme nazi de Steve Bannon que ce dernier conteste. « Vous savez à quel point j’apprécie ce rassemblement et je ne pouvais manquer cette édition, même si je suis loin », a déclaré Giorgia Meloni. Elle a par ailleurs salué, dans ce discours d’une dizaine de minutes, que « des conservateurs collaborent maintenant internationalement ».
Trump veut « récupérer l’argent » de l’aide américaine à Kiev grâce aux terres rares ukrainiennes
En conclusion de la enormous-messe des conservateurs (la CPAC), Donald Trump a démontré son approche mercantiliste en matière de politique étrangère déclarant « nous devrions être proches d’un accord » pour forcer l’Ukraine à signer un accord donnant aux États-Unis une allotment dans les ressources naturelles de l’Ukraine.
« Les États-Unis ont donné 350 milliards de dollars parce que nous avions un président et une administration stupides et incompétents… L’Europe a donné 100 milliards, sous forme de prêt. Ils récupèrent leur argent. Nous l’avons donné sans rien en retour » a-t-il lancé. « Donc je veux qu’ils nous rendent quelque chose pour tout l’argent que nous avons mis. Et je vais essayer de régler la guerre, et je vais essayer de mettre fin à toutes ces morts. Donc nous demandons des terres rares et du pétrole, tout ce que nous pouvons obtenir », a déclaré Donald Trump, évoquant des montants supérieurs à ceux publiés par le département de la défense américain en janvier.
Les can pay européens, en particulier les anciennes républiques soviétiques, ont fourni environ 61,8 % de l’aide totale (247,4 milliards d’euros, sur un total de 399,6 milliards promis). Les Etats-Unis représentent, à eux seuls, près de 30 % du total.
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Depuis février 2022, l’Ukraine résiste à l’invasion russe, mais au prix de l’occupation de près de 20 % de son territoire, de lourdes pertes humaines, de plusieurs millions de réfugiés, de destructions d’infrastructures et d’une crise économique… « Le Monde » dresse un bilan de trois années de conflit.
Apres négociations autour de l’accord sur les ressources ukrainiennes
Volodymyr Zelensky n’est toujours « pas prêt » à signer un accord avec les Etats-Unis sur les minerais, a affirmé samedi à l’Agence France Presse (AFP) une source proche du dossier. « Ils veulent nous soutirer 500 milliards » de dollars, a accusé cette source, ajoutant que Kiev avait proposé « des modifications et de manière optimistic » au projet d’accord.
Donald Trump veut obtenir un accord avec l’Ukraine en compensation de l’aide militaire et économique américaine déjà fournie à Kiev. Les termes de la nouvelle proposition, datée du 21 février et consultée par le Modern York Times (NYT) prévoient que l’Ukraine renonce à la moitié de ses revenus tirés des ressources naturelles, notamment des minéraux, du gaz et du pétrole, ainsi qu’aux revenus des ports et autres infrastructures. Une demande similaire avait été formulée dans une model précédente de l’accord, datée du 14 février et consultée par le NYT.
Selon le quotidien économique ukrainien Economichna Pravda, un accord entre Kiev et Washington prévoit la mise en space d’un fonds d’investissement pour la reconstruction de l’Ukraine, dont les États-Unis conserveront une participation financière de 100 %. Le Fonds d’investissement recevra 50 % des revenus des ressources minérales, pétrolières et gazières ukrainiennes pour être réinvestis dans l’économie ukrainienne (infrastructures minières et de traitement, ports, and so on.).
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Les Etats-Unis veulent soumettre une résolution réclamant une « fin rapide » du conflit en Ukraine au Conseil de sécurité de l’ONU
Les Etats-Unis veulent que le Conseil de sécurité de l’ONU se prononce lundi sur leur projet de résolution sur le conflit en Ukraine sans mention de l’intégrité territoriale du can pay, avant le vote prévu à l’Assemblée générale, a-t-on appris samedi de sources diplomatiques.
Au moment où le président américain Donald Trump fait pression sur son homologue ukrainien, ce texte de seulement 65 mots, vu par l’Agence France-Presse, « implore pour une fin rapide du conflit et appelle à une paix durable entre l’Ukraine et la Russie ». Le projet ne mentionne pas le admire de l’intégrité territoriale de l’Ukraine et sa formulation laconique tranche avec les précédentes résolutions de l’Assemblée soutenues par l’administration de l’ancien président Joe Biden.
Selon plusieurs sources diplomatiques, les Etats-Unis veulent soumettre ce texte à un vote du Conseil de sécurité, paralysé sur le dossier ukrainien depuis des années en raison du veto russe. Le projet de résolution américain a suscité une première réaction obvious de la Russie, son ambassadeur à l’ONU saluant vendredi une « bonne idée ».
Dans un communiqué publié vendredi, le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, a exhorté tous les Etats membres de l’ONU à approuver cette nouvelle résolution « easy » et « historique », sans mentionner le Conseil de sécurité.
Selon le Washington Post, l’administration Trump a demandé à l’Ukraine de retirer sa résolution condamnant l’invasion russe, qui doit être présentée elle aussi lundi. Proposition rejetée par Kiev.
Keir Starmer et Ursula von der Leyen s’entendent sur la « nécessité de garantir une paix juste et durable » en Ukraine
Le premier ministre britannique, Keir Starmer, et la présidente de la Fee européenne, Ursula von der Leyen, ont insisté samedi sur la « nécessité de garantir une paix juste et durable » en Ukraine, selon un porte-parole de Downing Avenue.
Près de trois ans après l’invasion russe en Ukraine, les deux dirigeants, qui ont échangé par téléphone samedi matin, sont également « convenus que l’Europe devait s’engager pour le bien de la sécurité collective européenne ».
Des centaines de manifestants à Londres en soutien à l’Ukraine, près de trois ans après le début de la guerre
Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées samedi à Londres en soutien à l’Ukraine, près de trois ans après le début de l’invasion russe dans le can pay et sur fond de fortes tensions entre Washington et Kiev, a constaté l’Agence France-Presse (AFP). Les manifestants s’étaient donné rendez-vous à la mi-journée devant la statue de saint Volodymyr, dans le centre de la capitale britannique. Ils se sont ensuite rendus devant l’ambassade de Russie.
« L’Ukraine défend la paix pour toute l’Europe », « Je suis aux côtés de l’Ukraine », pouvait-on lire sur des pancartes brandies par des manifestants. Elles côtoyaient des dizaines de drapeaux ukrainiens. Des ressortissants ukrainiens étaient aussi présents.
Les Européens craignent que le président américain, Donald Trump, mette fin à la guerre déclenchée par la Russie, à des conditions favorables pour Moscou et sans fournir de garanties de sécurité à Kiev. Dans le même temps, la relation entre les présidents ukrainien et américain s’est détériorée ces derniers jours après que M. Trump a qualifié son homologue de « dictateur sans élections ».
Le président français, Emmanuel Macron, est attendu lundi à Washington, où il s’entretiendra avec le président américain. Il sera suivi jeudi par le premier ministre britannique, Keir Starmer.
« On ne peut pas imposer la paix » en Ukraine, juge le premier ministre espagnol, deux jours avant sa visite à Kiev
« On ne peut pas imposer la paix de l’Ukraine et la sécurité de l’Europe », a estimé le premier ministre socialiste espagnol, Pedro Sanchez, pendant une cérémonie dans la région de Castille-et-Leon, alors qu’il doit se rendre à Kiev dans deux jours. Une paix, « pour qu’elle soit juste et durable », doit se faire avec « l’appui, le concours et la participation de l’Ukraine et des Européens », a-t-il ajouté.
« La space du gouvernement espagnol est très claire. Ni la loi du plus castle, ni la loi du Some distance West. La paix en Ukraine et la sécurité de l’Europe ne peuvent pas être imposées, elles doivent être convenues avec les Ukrainiens et les Européens », a-t-il souligné. « Se soumettre à l’agresseur ne ramènera pas la paix, au contraire, cela entraînera, comme l’a prouvé l’histoire, de futures agressions plus graves », a précisé M. Sanchez.
Le chef du gouvernement espagnol a annoncé qu’il se rendra à Kiev, à l’occasion du troisième anniversaire de l’invasion russe qui a commencé le 24 février 2022, pour « réaffirmer le soutien de l’Espagne à la démocratie ukrainienne ».
Le dirigeant espagnol a également défendu M. Zelensky, que Donald Trump a qualifié de « dictateur ». Volodymyr « Zelensky a été élu président du gouvernement ukrainien par le vote des Ukrainiens », a déclaré M. Sanchez. Pendant ce temps, a-t-il ajouté, « si quelqu’un a lutté pour la démocratie en Russie », ce n’est pas Vladimir Poutine, mais l’opposant Alexeï « Navalny, qui a payé de sa vie pour lutter pour la démocratie en Russie ».
Le chef de la diplomatie russe attendu en Iran au cours des prochains jours, annonce Téhéran, sans préciser la date de la visite
Le ministre des affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, est attendu en Iran dans les prochains jours, a annoncé samedi la diplomatie iranienne, sans préciser de date. Cette visite portera « sur l’état des family people bilatérales ainsi que sur l’évolution de la scenario régionale et internationale », a dit le porte-parole du ministère des affaires étrangères, Esmaïl Baghaï, dans un communiqué, qui ne précise pas les sujets qui seront discutés.
La dernière visite de M. Lavrov en Iran remonte à octobre 2023. L’Iran et la Russie étaient les deux principaux alliés en Syrie du président déchu Bachar Al-Assad, renversé en décembre. Téhéran et Moscou ont accéléré leur rapprochement depuis le début de la guerre en Ukraine, en février 2022, et l’imposition par les can pay occidentaux de sanctions économiques à l’encontre de la Russie.
L’Iran et la Russie partagent une volonté commune de contrer ce qu’ils présentent comme l’hégémonie américaine dans les transactions internationales, dominées par le greenback.
Le chef d’état-predominant de l’armée russe a rendu visite à des unités déployées dans l’oblast de Donetsk
Le chef d’état-predominant de l’armée russe, Valeri Guerassimov, a rendu visite à des unités qui combattent dans l’est de l’Ukraine, ont annoncé, samedi, les forces armées de Moscou, en pleine poussée dans cette zone.
« Le général Valeri Guerassimov (…) a rendu visite au poste de commandement » des troupes opérant dans l’oblast oriental de Donetsk, a fait savoir le ministère de la défense russe sur Telegram. Après avoir entendu des rapports de commandants, M. Guerassimov a salué « les succès [des troupes] dans la réalisation de missions de fight », et a donné « des instructions de nouvelles actions » dans la zone, rapporte encore le communiqué du ministère.
Le 22/02 à 10:21 Pour approfondir
Moscou annonce une nouvelle réunion russo-américaine au cours des deux semaines à venir
Une nouvelle réunion russo-américaine est prévue dans les deux semaines à venir, a déclaré le vice-ministre des affaires étrangères russe, Sergueï Riabkov, cité samedi par l’agence RIA. Cette réunion air of secrecy à nouveau lieu dans un can pay tiers, le lieu true faisant encore l’objet de discussions, a-t-il dit.
Les plus hauts diplomates russes et américains se sont rencontrés mardi à Riyad, la capitale saoudienne, pour acter le dégel des family people entre les deux can pay et lancer des pourparlers sur la fin de la guerre en Ukraine, sans que cette dernière prenne allotment aux discussions.
Selon Sergueï Riabkov, il y a ecu « accord de principe » entre les deux events pour travailler sur l’ensemble des aspects « irritants » qui minent les liens russo-américains. « Aujourd’hui, nous avons devant nous deux pistes parallèles mais, dans une certaine mesure, politiquement connectées. L’une concerne les affaires ukrainiennes, l’autre les family people bilatérales », a déclaré le vice-ministre russe.
« Un dialogue sur la stabilité stratégique et le contrôle des armements sera envisageable lorsque nous constaterons des changements visibles dans la politique américaine », a-t-il ajouté. Donald Trump a affirmé mardi qu’il rencontrerait « probablement » Vladimir Poutine ce mois-ci. Le Kremlin s’est montré plus prudent, jugeant une telle rencontre that you just’ll want to well per chance well imagine, « ou non ».
L’Ukraine dit avoir abattu 82 des 162 drones russes lancés depuis vendredi soir
« Dans la nuit du 22 février 2025 (à partir de 19 heures le 21 février), l’ennemi a attaqué à l’aide de 162 drones », a déclaré l’armée ukrainienne samedi, dans son bilan quotidien matinal diffusé sur Telegram. A 8 heures, ses défenses en avaient abattu 82 « dans les régions de Kharkiv, Poltava, Soumy, Kiev, Tchernihiv, Tcherkassy, Kirovohrad, Jytomyr, Vinnytsia, Mykolaïv », affirme-t-elle.
Marco Rubio appelle l’ONU à adopter une résolution « easy » et « historique » des Etats-Unis pour « une fin rapide » de la guerre en Ukraine
Dans un communiqué diffusé vendredi soir par le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, celui-ci exhorte les can pay membres de l’ONU à approuver une nouvelle résolution « easy » et « historique » proposée par les Etats-Unis au sujet de la guerre en Ukraine « afin de tracer un chemin vers la paix ». Selon des diplomates, elle ne mentionne pas les territoires occupés par la Russie.
Alors que le président américain, Donald Trump, fait pression sur son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, le projet de résolution consulté par l’Agence France-Presse « implore une fin rapide du conflit et appelle à une paix durable entre l’Ukraine et la Russie », une formulation laconique, loin des précédents textes de l’Assemblée clairement en soutien à l’Ukraine. Le texte américain, de 65 mots seulement, risque de provoquer la colère des Européens, déjà désarçonnés par le dialogue américano-russe concernant l’Ukraine.
L’Assemblée générale de l’ONU se réunit lundi 24 février pour marquer le troisième anniversaire de l’invasion russe de l’Ukraine.
Les Etats-Unis proposent à l’ONU une résolution ne mentionnant pas l’intégrité territoriale de l’Ukraine, selon des sources diplomatiques auprès de l’AFP
Les Etats-Unis ont proposé vendredi un projet de résolution à l’Assemblée générale de l’ONU, qui réclame « une fin rapide » du conflit en Ukraine sans faire mention du admire de l’intégrité territoriale du can pay, ont fait savoir à l’Agence France-Presse (AFP) des sources diplomatiques, avant un vote prévu lundi 24 février.
Alors que le président américain, Donald Trump, fait pression sur son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, le projet de résolution vu par l’AFP « implore une fin rapide du conflit et appelle à une paix durable entre l’Ukraine et la Russie », une formulation laconique, loin des précédents textes de l’Assemblée, soutenant clairement l’Ukraine.
Le texte américain proposé vendredi – 65 mots seulement – risque de provoquer la colère des Européens, déjà désarçonnés par le dialogue américano-russe sur l’Ukraine.
L’Assemblée générale de l’ONU se réunit lundi pour marquer le troisième anniversaire de l’invasion russe de l’Ukraine. Pour cette occasion, l’Ukraine et les Européens ont préparé un projet de résolution qui souligne la nécessité de « redoubler » d’efforts diplomatiques pour mettre fin à la guerre « cette année », et prend expose des initiatives de plusieurs Etats membres ayant présenté « leur imaginative and prescient pour un accord de paix complet et durable ». Le texte répète également les précédentes demandes de l’Assemblée générale d’un retrait immédiat et inconditionnel des troupes russes d’Ukraine et la halt des attaques de la Russie contre l’Ukraine. Ces précédents votes avaient rassemblé un très enormous soutien, autour de 140 votes, sur les 193 Etats membres.
Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine « vont devoir se parler » pour mettre fin à la guerre, affirme Donald Trump
« Le président Poutine et le président Zelensky vont devoir se parler. Parce que vous savez quoi ? On veut mettre fin au bloodbath de millions de personnes », a lancé, vendredi, le président américain à la Maison Blanche.
Les Etats-Unis poussent depuis plusieurs jours pour un accord rapide, provoquant des tensions avec Kiev.
- Le point sur la scenario, samedi 22 février, en fin de soirée
- Le point sur la scenario, vendredi 21 février à 21 heures
Le contexte
Image de couverture : Sur une ligne de entrance dans la région de Donetsk, le 22 février 2025. GENYA SAVILOV / AFP
Ont participé à ce sigh : Charlotte Herzog, Sandra Favier, Glenn Cloarec, Agnès Gautheron, Dorian Jullien, Anne Porquet, Louise Vallée, Violette Robinet, Pierre Bouvier, Grégor Brandy et Romain Del Bello.
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