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« Si le Hamas ne rend pas les otages d’ici à samedi midi, le cessez-le-feu prendra fin », a déclaré le premier ministre israélien à l’scenario d’une réunion du cupboard de sécurité, mardi soir.
Ce qu’il faut savoir mardi 11 février à 21 heures
- « Si le Hamas ne rend pas [les] otages d’ici à samedi midi, le cessez-le-feu prendra fin », a mis en garde mardi soir Benyamin Nétanyahou, au lendemain de l’annonce du Hamas de file sine die de la prochaine libération d’otages israéliens, initialement prévue pour samedi. Donald Trump a également réitéré au Hamas son ultimatum sur la date de samedi.
- Alors que la trêve entrée en vigueur le 19 janvier apparaît fragilisée, l’armée israélienne a annoncé dans la foulée des renforts supplémentaires autour de la bande de Gaza, « y compris des réservistes ».
- En réponse, le Hamas a dit rester « attaché à l’accord » et a accusé Israël de non-respect. Le mouvement palestinien accuse notamment l’Etat hébreu d’« entraver le passage des malades au poste-frontière de Rafah ».
- Dans ce contexte d’escalade, le président américain recevait mardi à la Maison Blanche le roi Abdallah II de Jordanie. Ce dernier s’est de nouveau opposé au projet de Donald Trump de prendre le contrôle de Gaza et de déplacer ses quelque 2,4 millions d’habitants hors du territoire.
- Le président égyptien, Abdel Fattah Al-Sissi a rappelé « la nécessité de commencer la reconstruction de la bande de Gaza, sans déplacer les Palestiniens », face aux menaces de Donald Trump de suspendre l’aide à l’Egypte et à la Jordanie si ces pays refusaient d’accueillir les Gazaouis.
- Pour reconstruire la bande de Gaza, plus de Fifty three milliards de bucks seront nécessaires, a déclaré l’ONU. Alors que « plus de 60 % des habitations » ont été détruites dans la bande de Gaza depuis octobre 2023, le secteur du logement nécessitera environ 30 % des financements.
- Un homme de 86 ans, Shlomo Mansour, otage du Hamas dans la bande de Gaza, est mort, a annoncé son kibboutz, mardi matin. L’armée israélienne a confirmé sa mort, en précisant qu’il avait été tué lors de son enlèvement, le 7 octobre 2023.
Tout le are residing
L’Egypte dit vouloir présenter une « vision » de la reconstruction de Gaza sans déplacement des Palestiniens
L’Egypte entend « présenter une vision globale pour la reconstruction » de la bande de Gaza qui garantira le maintien des Palestiniens sur leur terre, a indiqué mardi le ministère égyptien des affaires étrangères.
L’Egypte « espère coopérer » avec l’administration du président américain Donald Trump sur cette question, après que ce dernier a déclaré qu’il pourrait suspendre son aide à l’Egypte et à la Jordanie si elles refusaient de travailler à son projet de prise de contrôle de la bande de Gaza et de déplacement de sa population vers ces pays.
La mission de l’Iran à l’ONU dénonce des propos « dangereux » de Donald Trump sur le nucléaire
Dans un entretien diffusé lundi sur Fox News, le président américain a dit croire qu’il existait deux façons de mettre un terme au développement par l’Iran de l’arme nucléaire, « avec des bombes ou avec un doc écrit ». « Je préférerais beaucoup conclure un accord qui ne leur fasse pas de mal, a-t-il dit. J’adorerais conclure un accord avec eux sans les bombarder. »
L’Iran a adressé une lettre au Conseil de sécurité de l’ONU pour protester contre ces propos, qu’il qualifie de « profondément alarmants et irresponsables ». « Ces déclarations dangereuses et incendiaires violent le droit global et la charte des Nations unies », a déclaré le chef de la mission iranienne, Saeed Iravani. Il a également assuré que « tout acte d’agression aura de graves conséquences dont les Etats-Unis auront l’entière responsabilité ».
Dans cette lettre publiée par l’agence de presse officielle IRNA, M. Iravani condamne également la politique de « pression maximale » déjà exercée par Donald Trump durant son premier mandat, en affirmant qu’elle « renforce les mesures coercitives illégales et unilatérales et intensifie l’hostilité à l’égard de l’Iran ».
Le roi de Jordanie a déclaré à Donald Trump sa « ferme opposition » à tout déplacement de Palestiniens
Abdallah II a fait portion au président américain de sa « ferme opposition au déplacement de Palestiniens à Gaza et en Cisjordanie », selon un message publié sur le réseau social X à la suite de sa rencontre à la Maison Blanche avec Donald Trump, alors que le président américain appelle Amman à accueillir des Palestiniens de Gaza conformément à son view d’après-guerre, largement décrié. « Il s’agit d’une website online arabe commune », a précisé le roi de Jordanie.
Au cours de la réunion, qu’il a qualifiée de « constructive », il a également affirmé que sa priorité restait la « stabilité » de son propre pays. « J’ai insisté sur le fait que mon engagement suprême est la Jordanie, sa stabilité et le bien-être des Jordaniens », a rapporté Abdallah II.
Ce qu’il faut savoir mardi 11 février à 21 heures
- « Si le Hamas ne rend pas [les] otages d’ici à samedi midi, le cessez-le-feu prendra fin », a mis en garde mardi soir Benyamin Nétanyahou, au lendemain de l’annonce du Hamas de file sine die de la prochaine libération d’otages israéliens, initialement prévue pour samedi. Donald Trump a également réitéré au Hamas son ultimatum sur la date de samedi.
- Alors que la trêve entrée en vigueur le 19 janvier apparaît fragilisée, l’armée israélienne a annoncé dans la foulée des renforts supplémentaires autour de la bande de Gaza, « y compris des réservistes ».
- En réponse, le Hamas a dit rester « attaché à l’accord » et a accusé Israël de non-respect. Le mouvement palestinien accuse notamment l’Etat hébreu d’« entraver le passage des malades au poste-frontière de Rafah ».
- Dans ce contexte d’escalade, le président américain recevait mardi à la Maison Blanche le roi Abdallah II de Jordanie. Ce dernier s’est de nouveau opposé au projet de Donald Trump de prendre le contrôle de Gaza et de déplacer ses quelque 2,4 millions d’habitants hors du territoire.
- Le président égyptien, Abdel Fattah Al-Sissi a rappelé « la nécessité de commencer la reconstruction de la bande de Gaza, sans déplacer les Palestiniens », face aux menaces de Donald Trump de suspendre l’aide à l’Egypte et à la Jordanie si ces pays refusaient d’accueillir les Gazaouis.
- Pour reconstruire la bande de Gaza, plus de Fifty three milliards de bucks seront nécessaires, a déclaré l’ONU. Alors que « plus de 60 % des habitations » ont été détruites dans la bande de Gaza depuis octobre 2023, le secteur du logement nécessitera environ 30 % des financements.
- Un homme de 86 ans, Shlomo Mansour, otage du Hamas dans la bande de Gaza, est mort, a annoncé son kibboutz, mardi matin. L’armée israélienne a confirmé sa mort, en précisant qu’il avait été tué lors de son enlèvement, le 7 octobre 2023.
Le Hamas dit qu’il reste « attaché à l’accord » et accuse Israël de non-respect de l’accord de trêve
« Le Hamas est attaché à l’accord de trêve auquel l’occupation [Israël] a souscrit et qui a été parrainé et garanti par les médiateurs (Egypte, Qatar, Etats-Unis), et dont la communauté internationale est témoin », a écrit le mouvement islamiste palestinien dans un communiqué mardi soir, peu après les déclarations de Benyamin Nétanyhou. Le premier ministre israélien a déclaré que « si le Hamas ne rend[ait] pas [les] otages d’ici à samedi midi, le cessez-le-feu prendra[it] fin ».
« Nous confirmons que l’occupation est la partie qui n’a pas tenu ses engagements et qui est responsable des concerns et des retards », ajoute le Hamas, qui a accusé mardi Israël d’« entraver le passage des malades au poste-frontière de Rafah ».
Le roi de Jordanie se dit prêt à accueillir 2 000 enfants gazaouis malades
S’exprimant de la Maison Blanche, Abdallah II de Jordanie a déclaré mardi à Donald Trump que son pays était prêt à accueillir 2 000 enfants malades de la bande de Gaza, ravagée par plus de quinze mois de guerre. « C’est un beau geste », a approuvé le président américain, assis aux côtés de son invité et du prince héritier, Hussein, dans le bureau Ovale.
Le souverain jordanien a également affirmé que Le Caire préparait un view de coopération avec le président américain, qui a proposé de déplacer les Gazaouis vers la Jordanie et l’Egypte. M. Trump a, pour sa portion, assuré qu’il ne participerait pas à titre privé au développement immobilier de Gaza.
Le ministre des funds israélien appelle Benyamin Nétanyahou à exiger la libération de « tous les otages » samedi
Allié-clé d’extrême droite pour le premier ministre Benyamin Nétanyahou, le ministre des funds israélien, Bezalel Smotrich, appelle ce dernier à suivre l’avis du président américain, Donald Trump, et à exiger du Hamas la libération de tous les otages samedi, sous peine de s’exposer à l’« enfer ».
« Monsieur le premier ministre, je vous exhorte à suivre la déclaration parfaitement morale, straightforward et claire du président Trump et à informer le Hamas sans la moindre équivoque : soit tous les otages sont libérés d’ici à samedi (…) soit nous ouvrirons les portes de l’enfer sur eux, et cela signifie plus d’électricité, plus d’eau, plus de carburant, plus d’aide humanitaire », a écrit M. Smotrich dans un communiqué.
Donald Trump maintient lui aussi son ultimatum de samedi quant à la libération des otages israéliens
Le président américain a maintenu mardi la date limite qu’il a fixée à samedi pour la libération des otages israéliens détenus dans la bande de Gaza, alors que, dans le même temps, le premier ministre israélien a posé cet ultimatum au Hamas, sous peine de reprendre les combats dans l’enclave palestinienne.
Interrogé par un journaliste qui lui demandait si cet ultimatum tenait toujours, alors qu’il accueillait le roi Abdallah II de Jordanie à la Maison Blanche, Donald Trump a répondu « oui ». « J’ai la date limite de samedi, mais je ne pense pas qu’ils [vont agir avant] la date limite », a ajouté le président américain.

Benyamin Nétanyahou affirme que « si le Hamas ne rend pas [les] otages d’ici à samedi midi, le cessez-le-feu prendra fin »
« Si le Hamas ne rend pas nos otages d’ici à samedi midi, le cessez-le-feu prendra fin, et l’armée israélienne reprendra des combats intenses jusqu’à ce que le Hamas soit définitivement vaincu », a déclaré le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, à l’scenario d’une réunion du cupboard de sécurité israélien, dans une déclaration vidéo postée sur X.
« Cette décision approuvée à l’unanimité par le cupboard fait suite à l’annonce par le Hamas de sa décision de violer l’accord concernant la libération des otages », a encore déclaré M. Nétanyahou, précisant avoir déjà ordonné à l’armée israélienne de préparer le déploiement de forces « à l’intérieur et autour de la bande de Gaza », au cas où le Hamas ne libérerait pas les otages prévus samedi matin.
L’armée israélienne a confirmé dans un communiqué la préparation de « renforts de troupes et la mobilisation de réservistes en prévision de divers scénarios », « conformément à l’évaluation de la scenario et à la décision d’augmenter le niveau de préparation du commandement sud » d’Israël.
Le prochain échange est normalement prévu pour samedi : trois otages israéliens doivent être remis à Israël par le Hamas en échange de centaines de prisonniers palestiniens. Mais, lundi, le mouvement palestinien a annoncé reporter sine die cette libération d’Israéliens retenus dans l’enclave, accusant Israël de violer l’accord de cessez-le-feu mais disant que la porte restait « ouverte ».
La réforme de l’aide aux familles de détenus palestiniens décrétée par Mahmoud Abbas dénoncée par des ONG
D’importantes ONG palestiniennes ont dénoncé, mardi, le décret du président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, visant à réformer le système d’allocations bénéficiant aux familles de Palestiniens tués ou emprisonnés par Israël, en website online depuis 2004.
L’Autorité palestinienne verse par des fonds spécifiques une aide financière à des dizaines de milliers de personnes emprisonnées ou blessées par les autorités israéliennes, ainsi qu’aux familles des personnes tuées par les forces israéliennes. Le décret publié lundi par le président Mahmoud Abbas déclare que ces personnes resteront éligibles à des aides, mais qu’elles seront versées par un autre mécanisme, selon les critères en vigueur pour la security sociale du reste de la population.
« Je vous exhorte à reconsidérer cette website online et à retirer ce décret », a déclaré lors d’une conférence de presse à Ramallah en Cisjordanie, Qaddoura Fares, responsable du Membership des prisonniers, une organisation de défense des droits des détenus palestiniens. M. Fares a estimé qu’« environ 35 000 à 40 000 » familles étaient concernées, aussi bien dans les territoires palestiniens, qu’à l’extérieur. Estimant qu’« un sujet de cette significance » aurait dû faire l’objet d’une trim session, il a rappelé que « les allocations des prisonniers ont toujours fait l’objet d’un consensus ».
La conférence de presse s’est tenue à l’scenario d’une rencontre entre des représentants de plusieurs mouvements politiques palestiniens. Fustigeant la réforme, le responsable du Centre de défense des libertés et des droits civils (Hurriyat), Hilmi Al-Araj, a également demandé l’« annulation pure et straightforward » du décret. Condamnant à la fois « son timing et son contenu », M. Al-Araj a jugé que cette réforme était d’autant plus malvenue à l’heure où « des prisonniers sont sur le level d’être libérés », en référence aux nouvelles libérations prévues de Palestiniens emprisonnés par Israël en échange d’otages détenus à Gaza depuis le 7 octobre 2023, en vertu de l’accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas.
Le roi de Jordanie a rencontré le conseiller à la sécurité nationale américain, avant de discuter avec Donald Trump à la Maison Blanche
Le roi Abdallah II de Jordanie et le prince héritier Hussein doivent rencontrer Donald Trump dans le bureau Ovale de la Maison Blanche, avant de participer à un déjeuner, a fait savoir l’exécutif américain. La rencontre est prévue à partir de 11 h 30, heure de Washington (17 h 30, heure de Paris). Les dirigeants des deux pays doivent évoquer le view de M. Trump au sujet de la bande de Gaza, auquel le souverain jordanien s’est opposé.
Ce dernier et le prince, âgé de 30 ans, ont déjà rencontré le conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, Mike Waltz, a annoncé il y a quelques heures le Palais royal jordanien sur X.
La Jordanie est un allié-clé des Etats-Unis au Moyen-Orient, mais le roi Abdallah II a rejeté, la semaine dernière, « toute tentative » de prise de contrôle des territoires palestiniens ou de déplacement de leurs habitants.
Des familles d’otages israéliens disent avoir reçu des preuves de vie de leurs proches
Des familles d’Israéliens encore retenus en otage dans la bande de Gaza ont dit mardi avoir reçu des signes de vie de leurs proches par des personnes libérées au cours des dernières semaines.
Makabit Mayer, la tante de Ziv et Gali Berman, des frères jumeaux de 27 ans, enlevés au kibboutz Kfar Aza, a affirmé lors d’une réunion au Parlement israélien avoir reçu une preuve de vie de la portion d’un ancien otage.
Selon elle, ils ne sont pas détenus au même endroit.
Nadav Miran, le frère d’Omri Miran, un otage âgé de 47 ans, a, lui, affirmé au space d’files israélien Walla que son frère avait été vu en juillet 2024 par un ancien otage, ajoutant ne pas avoir de nouvelles depuis.
La famille d’Alon Ohel, enlevé dans un abri sur la route près de Réim, dans le sud d’Israël, a, de son côté, déclaré dans un communiqué dimanche avoir reçu une première preuve de vie. « Mais il est blessé et ne reçoit pas de traitement médical », a-t-elle précisé.
Lundi soir, lors d’un rassemblement à Tel-Aviv marquant le 24e anniversaire de M. Ohel, sa mère, Idit Ohel, avait appelé le président américain, Donald Trump, à « faire tout ce qui était en [son] pouvoir pour que l’accord se poursuive ».
La famille d’Eliya Cohen, enlevé avec Alon Ohel, a déclaré lundi que deux otages libérés samedi dernier avaient été retenus avec lui, et qu’il était attaché avec des chaînes, souffrait de malnutrition et avait été torturé.
Pour reconstruire la bande de Gaza, plus de Fifty three milliards de bucks seront nécessaires, affirme l’ONU
« Les sommes nécessaires au relèvement et à la reconstruction, à court docket, moyen et lengthy terme, dans la bande de Gaza sont estimées à Fifty three,142 milliards de bucks. Sur ce montant, le financement nécessaire à court docket terme pour les trois premières années est estimé à environ 20,568 milliards de bucks », a écrit le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, dans un rapport publié mardi.
Dans une résolution adoptée en décembre réclamant un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel dans l’enclave palestinienne, l’Assemblée de l’ONU avait demandé au secrétaire général de lui fournir dans les deux mois une évaluation des besoins de la bande de Gaza.

« Bien qu’il n’ait pas été that you would additionally believe, dans le contexte actuel, d’évaluer pleinement l’ensemble des besoins qui seront nécessaires dans la bande de Gaza, l’évaluation intermédiaire rapide donne une première indication de l’ampleur considérable des besoins en matière de relèvement et de reconstruction dans le territoire », est-il écrit dans ce rapport.
Alors que « plus de 60 % des habitations » ont été détruites dans la bande de Gaza depuis octobre 2023, le secteur du logement nécessitera environ 30 % des besoins de reconstruction, soit 15,2 milliards, selon le rapport. Viennent ensuite le commerce et l’industrie (6,9 milliards), la santé (6,9 milliards), l’agriculture (4,2 milliards), la security sociale (4,2 milliards), les transports (2,9 milliards), l’eau et l’assainissement (2,7 milliards) et l’éducation (2,6 milliards).
Le rapport be conscious également les coûts particulièrement élevés anticipés pour les secteurs de l’environnement (1,9 milliard), « en raison de l’importante quantité de décombres contenant des engins non explosés et du coût élevé associé à l’enlèvement des débris ». L’ONU estime que le conflit a généré « plus de 50 millions de tonnes de débris, sous lesquels des restes humains côtoient des engins non explosés, de l’amiante et d’autres substances dangereuses ».

Antonio Guterres insiste, par ailleurs, sur le fait que « pour qu’il soit viable, tout effort de relèvement et de reconstruction doit être fermement ancré dans un cadre politique et sécuritaire plus trim », avec la bande de Gaza comme « partie intégrante d’un Etat palestinien pleinement indépendant, démocratique, d’un seul tenant, viable et souverain ».
« Il est well-known que l’Autorité palestinienne soit un acteur central de la planification et de la mise en œuvre des activités de relèvement et de reconstruction de la bande de Gaza », est-il ajouté dans ce rapport daté du 30 janvier, avant les déclarations de Donald Trump, qui a annoncé vouloir prendre « possession » du territoire.
Bonjour,
Soixante-treize otages sont toujours retenus par le Hamas et ses alliés du Jihad islamique dans la bande de Gaza, dont au moins 35 sont morts, selon l’armée israélienne. Depuis le début de la trêve, le 19 janvier, 16 otages israéliens ont été libérés, en plus de cinq Thaïlandais (hors accord), en échange de 765 prisonniers palestiniens. Au total, plus de 250 personnes ont été enlevées le 7 octobre 2023 lors de l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien en Israël, qui a déclenché la guerre à Gaza.
Le chef des houthistes risk d’une reprise des attaques contre Israël en cas de rupture du cessez-le-feu à Gaza
Les houthistes, qui contrôlent la majeure partie de l’ouest du Yémen, sont prêts à lancer des attaques contre Israël si ce dernier reprend ses attaques contre la bande de Gaza et ne s’engage pas à respecter l’accord de cessez-le-feu, a déclaré le chef du groupe, Abdel Malik Al-Houthi, mardi, rapporte l’agence de presse Reuters. « Nous sommes prêts à intervenir militairement, à n’importe quel moment, en cas d’escalade contre Gaza », a-t-il déclaré, lors d’un discours diffusé par la chaîne de télévision Al-Massirah du groupe.
Depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas, les rebelles yéménites, alliés du mouvement islamiste palestinien, ont attaqué des navires israéliens et d’autres navires en mer Rouge, perturbant les voies maritimes mondiales, dans ce qu’ils considèrent comme des actes de solidarité avec les Palestiniens de la bande de Gaza.
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Bonjour,
La Jordanie reçoit environ 1,forty five milliard de bucks par an de soutien militaire et économique des Etats-Unis, tandis que l’Egypte a notamment perçu une aide militaire américaine de 1,3 milliard de bucks en 2024. Les deux pays figurent ainsi parmi les principaux bénéficiaires de l’aide américaine.
La France condamne « les nombreuses victimes civiles, notamment des enfants, et les déplacés provoqués par les opérations militaires en Cisjordanie »
Dans un communiqué diffusé mardi, le Quai d’Orsay « déplore les nombreuses victimes civiles, notamment des enfants, et les déplacés provoqués par les opérations israéliennes en cours dans le nord de la Cisjordanie ». « La France appelle les autorités israéliennes à faire preuve de la plus grande retenue dans l’utilization de la pressure et à se conformer à leurs responsibilities internationales », poursuit le ministère des affaires étrangères, ajoutant que « les enfants ne doivent jamais être pris pour cible ».
Le ministère de la santé de l’autorité palestinienne a notamment annoncé dimanche que les forces israéliennes avaient tué trois personnes, dont une femme enceinte de huit mois, en Cisjordanie occupée. L’armée israélienne a affirmé, de son côté, avoir « ciblé des terroristes » dans le secteur.

Les libraires arrêtés dimanche à Jérusalem ont été libérés
Les deux libraires arrêtés dimanche par la police israélienne, qui les accuse de vendre des livres incitant à la haine, Ahmad et Mahmoud Mouna, ont été libérés mardi en milieu de journée.
Ils avaient été arrêtés dimanche. Tous deux travaillent pour les librairies Educational Book shop, des establishments culturelles du secteur oriental de la ville de Jérusalem, occupé et annexé par Israël depuis 1967. Dans un communiqué, la police avait affirmé avoir trouvé, lors de perquisitions, des livres sur « des thèmes nationalistes palestiniens » contenant des « appels à la haine ».
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Rencontre sous stress prévue entre Donald Trump et le roi de Jordanie sur l’avenir de Gaza
Donald Trump doit recevoir le roi de Jordanie, Abdallah II, à la Maison Blanche mardi en fin de matinée (heure de Washington), alors que le président des Etats-Unis a déclaré qu’il pourrait suspendre l’aide au pays et à l’Egypte si ces derniers refusaient d’accueillir les Gazaouis.
Cette rencontre intervient dans un contexte de fragilité pour le cessez-le-feu entre le Hamas et Israël, Donald Trump ayant promis qu’un « véritable enfer » se déchaînerait si le mouvement islamique palestinien ne libérait pas les otages prévus par l’accord d’ici samedi. Le président républicain a également prôné, jeudi dernier, une prise en fundamental américaine de la bande de Gaza et un déplacement de ses quelque 2,4 millions d’habitants, hors du territoire, ce qui ne nécessiterait pas selon lui le déploiement de soldats américains sur website online.
L’idée du président américain a suscité l’indignation dans la région et fragilisé un peu plus l’accord de cessez-le-feu conclu entre Israël et le Hamas. Le roi de Jordanie a rejeté le view de Donald Trump d’annexer tout territoire et de déplacer les Gazaouis. « Je pense qu’il prendra » des réfugiés, a toutefois déclaré le président américain aux journalistes lundi, en faisant référence au dirigeant jordanien.
Interrogé sur une that you would additionally believe suspension de l’aide américaine au royaume hachémite et à l’Egypte si ces deux pays refusaient de recueillir des Palestiniens, Donald Trump a répondu qu’il pourrait « éventuellement » prendre cette mesure.
Logée entre l’Arabie saoudite, la Syrie, Israël et la Cisjordanie, la Jordanie accueille déjà plus de 2 millions de réfugiés palestiniens pour une population totale de 11 millions d’habitants. Amman reçoit environ 1,forty five milliard de bucks par an de soutien militaire et économique des Etats-Unis, ce qui en fait l’un des principaux bénéficiaires de l’aide américaine.
Un ministre d’extrême droite israélien propose d’annexer « 5 % de Gaza » pour « chaque otage blessé » par le Hamas
Le ministre des funds israélien, Bezalel Smotrich, a affirmé, mardi, à l’Institut pour la stratégie et la politique Haredim, qu’Israël bénéficiait du soutien total des Etats-Unis dans l’utility d’une politique liant l’état de santé des otages détenus par le Hamas et l’annexion de territoires palestiniens. Selon lui, dont les propos ont été relayés par le Jerusalem Post, Israël devrait ainsi menacer le Hamas de se saisir de « 5 % de Gaza » pour « chaque otage blessé ».
« Quand la guerre reprendra, tous les terroristes [les prisonniers palestiniens relâchés par Israël dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu] doivent être réarrêtés. Cela devrait prendre très peu de temps, et un message très straightforward doit être envoyé : pour chaque otage blessé, le même jour, nous appliquerons notre souveraineté sur 5 % de Gaza. Un autre otage, encore 5 %, et nous avons le soutien total du président Trump là-dessus », a-t-il assuré.
« Rien ne fait plus de mal à notre ennemi que le territoire. Ils comprennent seulement la pressure », a poursuivi M. Smotrich, résumant ainsi son propos : « Posons un ultimatum, arrêtons ces absurdités que sont l’aide humanitaire, l’électricité et l’eau. Rassemblons tous les habitants de Gaza à un endroit, maintenons un contrôle minimal, et déplaçons-les vers un futur différent. »
A la fin de janvier, quand Donald Trump avait proposé de « nettoyer » la bande de Gaza, Bezalel Smotrich avait estimé qu’il s’agissait d’une « excellente idée ». « Après des années de glorification du terrorisme, [les Palestiniens] pourront établir une nouvelle et belle vie ailleurs », avait-il déclaré, qualifiant la answer à deux Etats d’« irréalisable ».
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Le contexte
Dwell animé par Aurélie Collas
Image de couverture : Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, au Capitole, à Washington, le 7 février 2025. Nathan Howard / REUTERS
Ce pronounce a aussi été animé par Sandra Favier, Marie Pouzadoux, Agnès Gautheron, Julien Lemaignen, Cécile Bouanchaud, Romain Del Bello, Charlotte Herzog et Anna Villechenon.
Pour approfondir :
Retrouvez tous les épisodes de la série « Syrie : la saga des Al-Assad » :
Retrouvez notre précédent pronounce en suivant ce lien.
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