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Les Palestiniens déplacés de force dans le sud de l’enclave, au début de la guerre, ont commencé à rentrer chez eux, après que sept otages ont été libérés par le mouvement islamiste palestinien. Six autres devraient l’être d’ici à la fin de la semaine : trois jeudi et trois autres samedi.
Le point sur la thunder lundi 27 janvier dans la soirée
- L’armée israélienne a affirmé lundi avoir « éliminé plus de 15 terroristes et interpellé 40 individus recherchés » au cours de la vaste opération militaire entamée la semaine dernière à Jénine, bastion de groupes armés palestiniens en Cisjordanie occupée.
- Le gouvernement de la bande de Gaza administré par le Hamas a annoncé lundi soir dans un communiqué succinct que « plus de 300 000 déplacés » palestiniens étaient rentrés dans le nord du territoire après que l’armée israélienne a autorisé ce retour dans la matinée.
- L’armée israélienne et le Hamas ont affirmé lundi que deux combattants du mouvement islamiste palestinien avaient été tués par une frappe aérienne à Tulkarem, dans le nord de la Cisjordanie occupée.
- Les autorités libanaises ont signalé que des tirs de l’armée israélienne avaient fait deux morts et dix-sept blessés, dont un enfant et un secouriste, lundi matin, dans le sud du can pay, au lendemain de la prolongation du cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah.
- L’Union européenne s’est accordée lundi sur une « feuille de route » pour assouplir les sanctions imposées à la Syrie sous le régime de Bachar Al-Assad, a annoncé la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas. Ces mesures avaient été imposées au gouvernement de Bachar al-Assad et à des pans entiers de l’économie syrienne durant la guerre civile.
- Quatre personnes ont été tuées lundi dans la région autonome du Kurdistan irakien par une frappe aérienne imputée à la Turquie voisine, ont affirmé des sources kurdes. La Turquie mène fréquemment des opérations terrestres et aériennes dans le nord de l’Irak contre des positions du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), en lutte armée contre le gouvernement turc depuis des décennies.
L’essentiel de l’actualité au Proche-Orient, lundi 27 janvier à 16 heures
- Dans la bande de Gaza, des dizaines de milliers de Palestiniens déplacés étaient en route lundi pour rentrer chez eux dans le nord de l’enclave, après un compromis de dernière minute trouvé entre Israël et le Hamas pour la libération de six autres otages. « Plus de 200 000 déplacés » étaient passés au nord deux heures après l’ouverture du passage pour les piétons, lundi à 7 heures du matin (heure locale, 6 heures à Paris), selon un responsable du Hamas. Le passage pour les véhicules a rouvert un peu plus tard dans la journée.
- Huit des otages qui doivent être libérés dans la première allotment de l’accord de trêve entre Israël et le Hamas dans la bande Gaza sont morts, a annoncé lundi un porte-parole du gouvernement israélien. Cette première allotment de six semaines entamée le 19 janvier est censée permettre la libération de 33 otages en échange de celle de plus de 1 900 Palestiniens détenus. Sept femmes otages ont déjà été libérées.
- L’idée lancée dimanche par le président américain de déplacer les Gazaouis vers l’Egypte et la Jordanie pour « faire le ménage » dans le territoire a déclenché une volée de dénonciations dans le monde arabe. Le Hamas, tout comme le président palestinien, Mahmoud Abbas, ont rejeté cette suggestion, qui renvoie pour les Palestiniens à la Nakba (la « catastrophe »), nom donné à leur déplacement de masse à la création d’Israël, en 1948. La Jordanie et l’Egypte se sont aussi élevés contre un tel « déplacement forcé » qui, selon la Ligue arabe, « ne pourrait être qualifié autrement que comme du nettoyage ethnique ».
- Le gouvernement libanais a accepté lundi de poursuivre l’application de l’accord de trêve avec Israël jusqu’au 18 février. Selon l’accord de cessez-le-feu initial, Israël avait jusqu’à dimanche pour retirer ses troupes du sud du can pay, un engagement que l’Etat hébreu n’a pas respecté.
- Des habitants du sud du Liban ont pu revenir lundi dans certains villages frontaliers où s’est déployée l’armée libanaise, malgré des tirs israéliens ayant fait un mort dans la matinée. Dimanche, 24 habitants ont été tués alors qu’ils bravaient l’armée israélienne pour tenter de retourner dans leurs villages dévastés sans attendre le retrait d’Israël, selon le ministère de la santé libanais.
Tout le are residing
Le point sur la thunder lundi 27 janvier dans la soirée
- L’armée israélienne a affirmé lundi avoir « éliminé plus de 15 terroristes et interpellé 40 individus recherchés » au cours de la vaste opération militaire entamée la semaine dernière à Jénine, bastion de groupes armés palestiniens en Cisjordanie occupée.
- Le gouvernement de la bande de Gaza administré par le Hamas a annoncé lundi soir dans un communiqué succinct que « plus de 300 000 déplacés » palestiniens étaient rentrés dans le nord du territoire après que l’armée israélienne a autorisé ce retour dans la matinée.
- L’armée israélienne et le Hamas ont affirmé lundi que deux combattants du mouvement islamiste palestinien avaient été tués par une frappe aérienne à Tulkarem, dans le nord de la Cisjordanie occupée.
- Les autorités libanaises ont signalé que des tirs de l’armée israélienne avaient fait deux morts et dix-sept blessés, dont un enfant et un secouriste, lundi matin, dans le sud du can pay, au lendemain de la prolongation du cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah.
- L’Union européenne s’est accordée lundi sur une « feuille de route » pour assouplir les sanctions imposées à la Syrie sous le régime de Bachar Al-Assad, a annoncé la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas. Ces mesures avaient été imposées au gouvernement de Bachar al-Assad et à des pans entiers de l’économie syrienne durant la guerre civile.
- Quatre personnes ont été tuées lundi dans la région autonome du Kurdistan irakien par une frappe aérienne imputée à la Turquie voisine, ont affirmé des sources kurdes. La Turquie mène fréquemment des opérations terrestres et aériennes dans le nord de l’Irak contre des positions du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), en lutte armée contre le gouvernement turc depuis des décennies.
Deux Israéliens arrêtés pour avoir transmis des secrets militaires à l’Iran
Les autorités israéliennes ont annoncé, lundi, l’arrestation de deux Israéliens soupçonnés d’avoir espionné au profit de l’Iran, dont un accusé d’avoir transmis à la République islamique des informations classifiées obtenues pendant son provider militaire dans la défense antiaérienne.
Cette annonce est la dernière en date d’une série d’arrestations en Israël, depuis l’été, pour espionnage au profit de l’Iran. Le Shin Bet (sécurité intérieure) et la police ont affirmé avoir arrêté deux habitants du nord du can pay, Youri Eliaspov et Guéorgui Andreïev, « pour des soupçons de crimes liés à la sécurité ».
Le premier, soupçonné d’avoir incité le second, un de ses amis, à se mettre comme lui au provider de Téhéran, est soupçonné d’avoir « transmis à son officier traitant des informations secrètes obtenues lors de son provider militaire dans les forces de défense antiaérienne », écrivent le Shin Bet et la police dans un communiqué.
Selon plusieurs médias israéliens, les deux hommes, âgés de 21 ans, sont réservistes. Ils ont été rémunérés pour leurs « missions » et avaient pleinement conscience de travailler pour un ennemi d’Israël, indiquent le Shin Bet et la police. Une partie fondamentale de la sécurité de l’Etat d’Israël s’appuie sur son système de défense antiaérienne, qui lui permet d’être rarement touché dans les zones sensibles ou peuplées par les tirs de ses ennemis.
L’armée israélienne affirme avoir « éliminé plus de 15 terroristes » à Jénine en Cisjordanie
L’armée israélienne a affirmé lundi avoir « éliminé plus de 15 terroristes et interpellé 40 individus recherchés » au cours de la vaste opération militaire entamée la semaine dernière à Jénine, bastion de groupes armés palestiniens en Cisjordanie occupée.
Des dizaines d’armes ont été saisies, ajoute l’armée dans un communiqué, revendiquant la découverte d’une bombe cachée dans un bâtiment de la ville et le démantèlement d’engins explosifs disposés le long des routes. « Un centre de commandement et d’commentary a été localisé, avec des bouteilles de gaz pour la fabrication d’engins explosifs », a-t-elle encore affirmé.
Appuyés par des bulldozers, des avions et des véhicules militaires blindés, les soldats ont lancé le 21 janvier à Jénine l’opération « Mur de fer », deux jours après le début d’une trêve dans la bande de Gaza entre Israël et le Hamas.
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Le Jihad islamique diffuse la vidéo d’une otage israélienne devant être libérée jeudi
Le Jihad islamique, allié du Hamas dans la bande de Gaza, a diffusé lundi soir une vidéo de l’otage israélienne Arbel Yehud, une civile de 29 ans, qui doit être libérée jeudi. Dans une vidéo d’une minute, dont l’authenticité n’a pu être vérifiée, la jeune femme apparaît manifestement très éprouvée, vêtue d’un sweat-shirt à capuche bleu marine, sur un fond vert. Elle décline son identité, la date du samedi 25 janvier, et demande au premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, de tout faire pour libérer les otages encore retenus à Gaza.
Le gouvernement du Hamas affirme que 300 000 déplacés sont rentrés dans le nord de la bande de Gaza
Le gouvernement de la bande de Gaza administré par le Hamas a annoncé lundi soir dans un communiqué succinct que « plus de 300 000 déplacés » palestiniens étaient rentrés dans le nord du territoire après que l’armée israélienne a autorisé ce retour dans la matinée.
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Pour l’armée israélienne, la bonne santé apparente des otages libérées « fait partie du spectacle organisé par le Hamas »
Samedi, les quatre jeunes soldates israéliennes libérées par le Hamas sont apparues souriantes au moment de leur remise au Comité world de la Croix-Rouge (CICR). Dans une visioconférence ouverte aux médias, le colonel Avi Benov, chef adjoint de l’unité médicale de l’armée israélienne, a présenté une réalité différente.
« Elles ont été mieux nourries dans les jours précédents [leur libération], elles ont pu se doucher, elles ont reçu des vêtements », a-t-il fait valoir. « Cela fait partie du spectacle organisé par le Hamas », a-t-il affirmé.
Sept Israéliennes, dont quatre soldates, ont été libérées en deux fois depuis le 19 janvier, dans le cadre du cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, en échange de près de 300 prisonniers palestiniens. Leur rétablissement « prendra du temps », a assuré Avi Benov. Parmi les problèmes physiques détectés lors de leur hospitalisation, figurent « des symptômes de dénutrition, des carences en vitamines et un système métabolique en mauvais état », a expliqué le colonel israélien.
Mais c’est au niveau psychologique que l’état des anciennes otages est le « plus compliqué ». Les jeunes femmes « raconteront elles-mêmes, si elles le souhaitent, ce qu’elles ont vécu dans quelques semaines ou quelques mois », a ajouté M. Benov.
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Le chef de la diplomatie syrienne salue la décision de l’UE visant à assouplir les sanctions contre Damas, imposées sous le régime déchu de Bachar Al-Assad.
« Nous saluons la mesure determined de l’Union européenne visant à suspendre les sanctions imposées à la Syrie pendant un an en vue de leur levée définitive », a déclaré Assaad Al-Chaibani sur X. « Nous espérons que cette décision air of mystery un affect positif sur l’ensemble des aspects du quotidien du peuple syrien et garantira un développement durable », a ajouté le ministre.
Deux combattants du Hamas tués en Cisjordanie par Israël
L’armée israélienne et le Hamas ont affirmé lundi que deux combattants du mouvement islamiste palestinien avaient été tués par une frappe aérienne à Tulkarem, dans le nord de la Cisjordanie occupée.
« Dans le cadre d’une opération conjointe de l’armée israélienne et du Shin Beth [sécurité intérieure], un avion de l’armée de l’air a lancé (…) une attaque dans la région de Tulkarem », a fait savoir un communiqué militaire israélien.
L’agence de presse officielle palestinienne WAFa a identifié les deux tués comme étant Ramez Damiri et Ihab Abou Atwi. Selon l’armée, le second était « le chef du Hamas à Tulkarem », responsable de « nombreuses attaques à main armée, dont une contre un véhicule israélien » qui avait fait trois blessés en juillet 2024.
Le Hamas a fait savoir pour sa allotment que les deux membres des Brigades Ezzedine al-Qassam, sa branche armée, étaient morts « après que l’ennemi a fait exploser un véhicule dans lequel ils se trouvaient, dans le camp Nour Shams du gouvernorat de Tulkarem », dans le nord de la Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967. Le Hamas ne précise pas si Abou Atwi était bien son responsable à Tulkarem.
Le ministère de la santé palestinien a fait état de trois blessés, admis à l’hôpital de Tulkarem. Ce même ministère a également confirmé la mort d’un jeune homme tué par des tirs israéliens dimanche soir, dans le camp de réfugiés de Qalandiya, au nord de Jérusalem. Deux autres ont été blessés.
Une délégation du Hamas est arrivée au Caire pour discuter de l’accord de cessez-le-feu
Le Hamas affirme dans un communiqué que les réunions avec les responsables égyptiens visent à s’assurer de la mise en œuvre effective du cessez-le-feu, notamment autour de la question de la libération des otages israéliens en échange de celle de prisonniers palestiniens.
La délégation du Hamas rencontrera également des prisonniers palestiniens libérés dans le cadre de la première allotment de l’accord de cessez-le-feu, qui a débuté le 19 janvier. Selon le Hamas, sa délégation comprend le dirigeant Mohammed Darwish et d’autres membres éminents du conseil de route et de l’équipe de négociation.
L’Egypte, qui fait partie du comité conjoint chargé de la mise en œuvre de l’accord de cessez-le-feu, est un médiateur-clé dans les pourparlers.
Le ministère de la santé du Hamas affirme que 47 317 Palestiniens ont été tués dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre menée par Israël
Le ministère de la santé de la bande de Gaza, administrée par le Hamas a affirmé lundi que la guerre dans le territoire avait fait 47 317 morts, un bilan qui s’est alourdi malgré le cessez-le-feu après la découverte de corps sous les décombres.
Selon le ministère, onze corps ont été transportés dans des hôpitaux du territoire palestinien au cours des vingt-quatre heures écoulées, dont neuf découverts après le début de la trêve, le 19 janvier. Les deux autres corps sont ceux de personnes récemment mortes, a ajouté le ministère, sans préciser la motive de ces décès.
La guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien a fait aussi 111 494 blessés, selon le ministère. Des habitants ont succombé à des blessures reçues avant le début de la trêve, alors que le système de santé a été dévasté par plus de quinze mois de combats et de bombardements.
Le ministère de la santé a renouvelé son appel à la population pour qu’elle lui transmette toute knowledge sur des morts ou des disparus, afin de l’aider à actualiser ses bilans, qui sont jugés fiables par l’ONU.
Des tirs de l’armée israélienne ont fait deux morts lundi dans le sud du Liban
Les autorités libanaises ont signalé que des tirs de l’armée israélienne avaient fait deux morts et dix-sept blessés, dont un enfant et un secouriste, lundi matin, dans le sud du can pay, au lendemain de la prolongation du cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah.
Dans un précédent bilan, le ministère de la santé libanais affirmait : « Les attaques de l’ennemi israélien contre des citoyens qui tentaient de revenir dans leurs villages encore sous occupation ont fait un mort et sept blessés. »
Dimanche, 24 personnes, dont six femmes, avaient été tuées et plus de 100 blessées alors qu’elles bravaient avec des centaines d’autres d’habitants l’armée israélienne pour tenter de retourner dans leurs villages dévastés sans attendre son retrait, selon le ministère de la santé.

En Irak, quatre personnes tuées dans une frappe imputée à la Turquie
Quatre personnes ont été tuées lundi dans la région autonome du Kurdistan irakien par une frappe aérienne imputée à la Turquie voisine, ont affirmé des sources kurdes. La Turquie mène fréquemment des opérations terrestres et aériennes dans le nord de l’Irak contre des positions du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), en lutte armée contre le gouvernement turc depuis des décennies.
« Un drone turc a frappé une voiture civile à 15 h 20 [heure locale, 13 h 20 heure de Paris], tuant quatre personnes, deux femmes et deux hommes », a déclaré une source sécuritaire dans la région de Raperin, au nord de la ville de Souleimaniyé. « Leurs identités restent inconnues », a ajouté cette source anonyme.
Kamran Othman, membre du groupe américain Community Peacemakers Teams (CPT) qui surveille les opérations turques au Kurdistan irakien, a confirmé l’attaque. « Deux femmes et deux hommes ont été tués », a déclaré M. Othman, ajoutant qu’une cinquième personne, circulant à moto à proximité, avait été blessée.
Le PKK, considéré comme une organisation terroriste par la Turquie et ses alliés occidentaux, dispose de bases arrière dans la région du Kurdistan irakien, où se trouvent également des bases militaires turques.
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Les Vingt-Sept Etats de l’UE s’accordent pour réactiver la mission d’assistance de l’Union européenne au poste-frontière de Rafah
L’Union européenne a conclu un accord lundi pour réactiver sa mission d’assistance au poste-frontière de Rafah, ville du sud de la bande de Gaza, a annoncé la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas.
« Cela permettra à un clear nombre de blessés de quitter Gaza et de recevoir des soins médicaux », a-t-elle salué sur le réseau social X. Lors d’une conférence de presse, Mme Kallas a précisé que cette mission reprendrait « dès février » et que les équipes étaient « prêtes à partir et à commencer à travailler ».
Bruxelles a mis en pronounce une mission civile en 2005 pour aider à surveiller ce point de passage, mais elle avait été suspendue deux ans plus tard, quand le mouvement islamiste du Hamas a pris le contrôle de la bande de Gaza.
Pour la haute représentante de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, cette mission « peut jouer un rôle décisif dans le maintien du cessez-le-feu ». Des responsables européens ont fait savoir auparavant que cette mission de surveillance comprendrait jusqu’à dix membres du personnel européen.
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Une source proche du Hezbollah annonce que sept de ses combattants sont aux mains d’Israël
Une source anonyme proche du Hezbollah a affirmé lundi à l’Agence France-Presse (AFP) que sept combattants du mouvement chiite skilled-iranien avaient été faits prisonniers par l’armée israélienne au cours de la guerre qui les a opposés. « Sept combattants du Hezbollah ont été faits prisonniers » par Israël avant le cessez-le-feu qui a mis fin aux combats le 27 novembre 2024, a déclaré cette source, qui a requis l’anonymat en raison du caractère sensible du sujet.
En outre, quatre personnes ont été appréhendées par l’armée israélienne dimanche dans des villages frontaliers du sud du Liban, où des habitants sont entrés par centaines sans attendre le retrait israélien, a ajouté cette source. En vertu de l’accord qui a mis fin à la guerre entre le Hezbollah et Israël, l’armée israélienne était censée avoir achevé dimanche son retrait du sud du Liban, où seuls l’armée libanaise et les casques bleus de l’ONU doivent désormais être déployés.
Mais le premier ministre libanais, Najib Mikati, a dit lundi accepter de prolonger la mise en œuvre de l’accord jusqu’au 18 février, après une médiation américaine. « A la demande du gouvernement libanais, les Etats-Unis entameront des négociations pour rapatrier les détenus libanais dans les prisons israéliennes qui ont été détenus par Israël après le 7 octobre [2023] », a-t-il ajouté.
L’armée israélienne avait annoncé le 15 octobre dernier avoir capturé trois combattants du Hezbollah dans le sud du Liban, et avait annoncé deux jours plus tôt avoir fait prisonnier un autre combattant.
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Les Vingt-Sept Etats de l’UE s’accordent sur une « feuille de route » pour assouplir les sanctions visant la Syrie
L’Union européenne s’est accordée lundi sur une « feuille de route » pour assouplir les sanctions imposées à la Syrie sous le régime de Bachar Al-Assad, a annoncé la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas. Ces mesures avaient été imposées au gouvernement de Bachar al-Assad et à des pans entiers de l’économie syrienne durant la guerre civile.
« Les ministres des Affaires étrangères de l’UE viennent de s’accorder sur une feuille de route visant à alléger les sanctions européennes visant la Syrie », a rapporté Kaja Kallas sur X.
L’Union européenne veut aider à la reconstruction du can pay ravagé par la guerre et nouer des family avec ses nouveaux dirigeants qui plaident régulièrement pour la levée de ces sanctions. Le ministre des affaires étrangères français Jean-Noël Barrot a souligné lundi que la levée de ces sanctions s’appliquerait « au secteur de l’énergie, du transport ou des institutions financières ».
Certains Etats membres ont toutefois exprimé des réserves sur le retrait des sanctions, réclamant des gages concrets de la allotment du nouveau pouvoir syrien dans sa transition politique. « Nous voulons agir rapidement, mais la levée des sanctions pourra être annulée si des mauvaises décisions étaient prises », a averti la cheffe de la diplomatie européenne.
Les Palestiniens déplacés de force dans le sud de l’enclave, au début de la guerre, ont commencé à rentrer chez eux, après que quatre soldates, kidnappées le 7-Octobre, ont été relâchées et qu’un différend entre les deux camps a été résolu.
L’Union européenne va lever certaines sanctions contre la Syrie, selon le ministre français Jean-Noël Barrot
Certaines sanctions de l’Union européenne (UE) contre la Syrie seront levées dans le cadre d’une initiative plus primary de l’UE pour aider à stabiliser le can pay après l’éviction du président Bachar Al-Assad en décembre, a annoncé le ministre des affaires étrangères français, Jean-Noël Barrot, qui participait ce lundi à une réunion du conseil des affaires étrangères à Bruxelles.
De son côté, la chef de la politique étrangère de l’Union européenne, Kaja Kallas, a déclaré à l’agence de presse Reuters qu’elle espérait qu’un accord sur l’assouplissement des sanctions pourrait être trouvé. Mme Kallas a ajouté qu’elle envisageait de rouvrir complètement l’ambassade de l’UE à Damas.
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L’essentiel de l’actualité au Proche-Orient, lundi 27 janvier à 16 heures
- Dans la bande de Gaza, des dizaines de milliers de Palestiniens déplacés étaient en route lundi pour rentrer chez eux dans le nord de l’enclave, après un compromis de dernière minute trouvé entre Israël et le Hamas pour la libération de six autres otages. « Plus de 200 000 déplacés » étaient passés au nord deux heures après l’ouverture du passage pour les piétons, lundi à 7 heures du matin (heure locale, 6 heures à Paris), selon un responsable du Hamas. Le passage pour les véhicules a rouvert un peu plus tard dans la journée.
- Huit des otages qui doivent être libérés dans la première allotment de l’accord de trêve entre Israël et le Hamas dans la bande Gaza sont morts, a annoncé lundi un porte-parole du gouvernement israélien. Cette première allotment de six semaines entamée le 19 janvier est censée permettre la libération de 33 otages en échange de celle de plus de 1 900 Palestiniens détenus. Sept femmes otages ont déjà été libérées.
- L’idée lancée dimanche par le président américain de déplacer les Gazaouis vers l’Egypte et la Jordanie pour « faire le ménage » dans le territoire a déclenché une volée de dénonciations dans le monde arabe. Le Hamas, tout comme le président palestinien, Mahmoud Abbas, ont rejeté cette suggestion, qui renvoie pour les Palestiniens à la Nakba (la « catastrophe »), nom donné à leur déplacement de masse à la création d’Israël, en 1948. La Jordanie et l’Egypte se sont aussi élevés contre un tel « déplacement forcé » qui, selon la Ligue arabe, « ne pourrait être qualifié autrement que comme du nettoyage ethnique ».
- Le gouvernement libanais a accepté lundi de poursuivre l’application de l’accord de trêve avec Israël jusqu’au 18 février. Selon l’accord de cessez-le-feu initial, Israël avait jusqu’à dimanche pour retirer ses troupes du sud du can pay, un engagement que l’Etat hébreu n’a pas respecté.
- Des habitants du sud du Liban ont pu revenir lundi dans certains villages frontaliers où s’est déployée l’armée libanaise, malgré des tirs israéliens ayant fait un mort dans la matinée. Dimanche, 24 habitants ont été tués alors qu’ils bravaient l’armée israélienne pour tenter de retourner dans leurs villages dévastés sans attendre le retrait d’Israël, selon le ministère de la santé libanais.
Une frappe israélienne dans un camp de réfugiés en Cisjordanie tue deux personnes
Au moins deux personnes ont été tuées et trois autres blessées dans une frappe israélienne visant le camp de réfugiés de Nur Shams, à l’est de la ville de Tulkarem, en Cisjordanie, selon le ministère de santé palestinien. Selon l’agence de presse palestinienne WAFa, ils sont morts dans l’explosion d’un véhicule qui a été bombardé par un drone militaire israélien. Ce camp a été le théâtre, ces derniers mois, de plusieurs raids militaires israéliens. Selon Associated Press, l’armée israélienne a confirmé la frappe à Nur Shams, sans fournir plus de détails.
Un autre Palestinien – un jeune homme âgé de 18 ans – a été tué par des tirs israéliens dans la nuit de dimanche à lundi près du point de passage de Kalandia entre Jerusalem et la Cisjordanie, toujours selon le ministère de la santé palestinien.
Israël annonce la mort de huit des otages libérables lors de la première allotment du cessez-le-feu
Huit des otages qui devaient être libérés lors de la première allotment de l’accord de trêve entre Israël et le Hamas dans la bande Gaza sont morts, a annoncé lundi David Mencer, un porte-parle du gouvernement israélien. « Les familles ont été informées de la thunder de leurs proches », a précisé le responsable au cours d’un point de presse. Cela signifie que sur les 26 otages qui devaient encore être ramenés dans leur can pay lors de la première allotment de l’accord, seuls 18 sont encore en vie.
La première allotment de six semaines entamée le 19 janvier, jour de l’arrêt des combats dans le territoire palestinien, est censé permettre la libération de 33 otages en échange de celle de plus de 1 900 Palestiniens détenus par Israël. Sept femmes otages sont déjà rentrées chez elles à la faveur des deux premiers échanges, réalisés les 19 et 25 janvier.
Israël avait indiqué dans la nuit de dimanche à lundi avoir entre les mains une liste qu’il exigeait de longue date du Hamas sur le statut de la totalité des otages, vivants ou morts. « Cette liste coïncide avec celle des renseignements israéliens », a dit M. Mencer, sans donner le nom des otages morts.
- Le point sur la thunder lundi 27 janvier dans la soirée
- L’essentiel de l’actualité au Proche-Orient, lundi 27 janvier à 16 heures
Le contexte
Are residing animé par Cécile Bouanchaud
Image de couverture : Une portray de l’Israélienne Arbel Yehoud, posée près d’une banderole appelant à libérer les otages détenus dans la bande de Gaza par le Hamas, à Jérusalem, le 27 janvier 2025. Mahmoud illean / AP
Ont aussi participé à ce are residing : Aurélie Collas, Dorian Jullien, Pierre Bouvier, Louise Vallée, Romain Del Bello, Anna Villechenon, Grégor Brandy, Julien Lemaignen.
Nous suivons dans ce train la thunder au Proche-Orient.
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