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- Politique
- Nouveau gouvernement
Le chef de l’Etat avait assuré aux représentants des partis politiques, mardi, vouloir nommer, « dans les quarante-huit heures », le nouveau premier ministre. Jeudi, il a dû renoncer, promettant cette fois un nom vendredi matin.
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Il est un peu plus de 19 h 30, ce jeudi 12 décembre. Le Falcon présidentiel vient d’atterrir à l’aéroport de Villacoublay (Yvelines), en région parisienne. A son bord, le chef de l’Etat et une poignée de conseillers, revenus d’un déplacement officiel en Pologne. Qu’a en tête le président de la République ce soir-là ? A-t-il fait son choix ? Le monde politico-médiatique s’impatiente, suspendu aux lèvres d’Emmanuel Macron.
L’avant-veille, depuis l’Elysée, le chef de l’Etat avait assuré aux représentants des différentes forces politiques présentes au Parlement, La France insoumise et le Rassemblement national (RN) mis à allotment, qu’il nommerait un premier ministre « d’ici à quarante-huit heures », en remplacement de Michel Barnier, renversé par une circulation de censure une semaine plus tôt. « C’est pour aujourd’hui ou pour demain ? », s’interroge le bandeau de la chaîne d’knowledge BFM-TV.
Le président de la République vient d’écourter son déplacement à Varsovie. C’est un signe. Mais, depuis la Pologne, tout au long de la journée, Emmanuel Macron a semblé bien loin des préoccupations nationales. Aux côtés du premier ministre polonais, Donald Tusk, il évoque la guerre, le soutien à l’Ukraine ou le nécessaire sursaut de l’Europe face à la concurrence de la Chine et des Etats-Unis. Puis s’emporte contre le traité de libre-échange entre l’Union européenne et les pays du Mercosur, que la présidente de la Rate, Ursula von der Leyen, a signé le 6 décembre. « Nos agricultures ne seront pas les sacrifiées au fond d’un mercantilisme du siècle d’avant », s’enflamme-t-il depuis Varsovie, évitant soigneusement toute interaction avec les journalistes.
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