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L’Assemblée examinera à partir de 16 heures les motions déposées par la coalition de gauche du NFP et l’alliance d’extrême droite du RN et des députés ciottistes. « C’est bloqué tant que ce gouvernement ne tombe pas », a dit Eric Coquerel (LFI). Les députés RN voteront la censure, « peu importe le parti politique qui en est à l’origine », a confirmé Jordan Bardella (RN).

Le déroulé des motions de censure

Bonjour Fred,

Merci pour votre question. Voici observation le déroulé de « bal » est annoncé :

L’Assemblée nationale examinera à partir de 16 heures les motions de censure déposées par la quasi-totalité du Nouveau Front populaire (NFP) et par l’alliance entre le Rassemblement national (RN) et les ciottistes. C’est la motion de censure avec le plus de signataires qui sera votée en premier. En l’occurrence, celle du NFP.

▶️Concrètement, les deux motions seront discutées en même temps. L’orateur de la motion du NFP prendra la parole en premier pour « mener l’accusation », en quelque sorte, contre le gouvernement. Ce devrait être le député « insoumis » Eric Coquerel, président de la rate des funds.

▶️Il sera suivi de l’orateur de la seconde motion de censure, celle de l’extrême droite.

▶️Ensuite, Michel Barnier montera à la tribune pour se défendre, sans limite de temps. Enfin, les neuf autres groupes prendront la parole pour expliquer leur choix. A l’problem du débat, les députés se prononceront donc d’abord sur la motion du NFP, qui a toutes les possibilities d’être adoptée, le RN ayant promis de la voter, sans doute aux alentours de 20 heures. Et si la première réunit les suffrages nécessaires, la seconde ne sera pas votée.

Tout le are dwelling

Michel Barnier est à l’Assemblée nationale

Le premier ministre est présent dans l’Hémicycle pour une nouvelle séance de questions au gouvernement. Mais, pour l’quick, il ne s’est pas exprimé.

Censure du gouvernement Barnier : le piège de Marine Le Pen se referme

Lecture : 2 min.

Marine Le Pen a pu mesurer, depuis fin novembre, l’influence qu’elle a acquise sur la scène politique française. La présidente du groupe parlementaire Rassemblement national (RN) a d’abord tenu en joue le premier ministre en faisant monter les enchères autour des amendements qu’elle défendait dans le cadre de la discussion des projets de loi de funds et de financement de la Sécurité sociale. En quelques jours, elle a obtenu l’abandon des taxes sur l’électricité, la refonte de l’aide médicale d’Etat, la réforme du mode de scrutin législatif, l’annulation du déremboursement de certains médicaments.

Gabriel Attal take into consideration, après la chute de Michel Barnier, un gouvernement qui échappe à la tutelle de Marine Le Pen, grâce à un accord de non-censure qui inclurait les socialistes

« Ce qui peut changer maintenant », c’est d’arriver « à une équation politique où ce n’est plus le Rassemblement national qui est en capacité de dicter la politique du gouvernement », a déclaré mardi le président du groupe Ensemble pour la République, selon une knowledge de Franceinfo, rapportée par l’Agence France-Presse.

« Cela voudrait dire qu’il y a une forme d’accord de non-censure qui est trouvé avec les socialistes, en plus des LR. Je ne sais pas si c’est possible. En tout cas moi, je pense que c’est ce qu’on doit viser », a poursuivi l’ancien premier ministre.

« Cela nous sortirait collectivement d’une anguish où on a un gouvernement otage de Marine Le Pen », a-t-il encore expliqué. Le député des Hauts-de-Seine, artisan déterminé du entrance républicain dans l’entre-deux-tours des législatives, croit déceler une évolution de la situation des socialistes depuis cet été. Dans leur communiqué lundi, « ils ne citent plus Lucie Castets, ils parlent d’un premier ministre qui partage les valeurs de la gauche ».

Interrogé sur la possibilité de garder des ministres actuels dans ce nouveau gouvernement, M. Attal a répondu par l’affirmative, soulignant que sa famille politique avait « vocation à être dans le gouvernement ».

Bonjour Paul-Antoine,

Non, le vote n’est pas anonyme, le scrutin est public, et nous en aurons ce soir le détail, publié dans la foulée par les Décodeurs.

La ministre du travail confirme qu’en cas de censure la sous-indexation des retraites prévue dans le budget de la « Sécu » ne s’appliquera pas

En vertu du code de la Sécurité sociale, les retraites de unfriendly sont chaque année augmentées au 1er janvier, indexées sur la hausse des prix à la consommation (hors tabac) constatée par l’Insee pour l’année précédente.

Pour économiser 3 milliards d’euros, le gouvernement et la droite sénatoriale avaient décidé de modifier ces règles en 2025. Les pensions ne devaient être augmentées que de la moitié de l’inflation au 1er janvier, soit + 0,8 % selon l’exécutif, avec un complément au 1er juillet pour les retraites inférieures à 1 500 euros brut, pour arriver à + 1,6 %.

Ainsi, en cas de censure du gouvernement, la sous-indexation des retraites prévue dans le budget de la « Sécu » ne s’appliquera pas : les retraités verront leurs pensions revalorisées en étant indexées sur l’inflation, comme le prévoit la loi. Interrogée sur Franceinfo, mercredi matin, la ministre du travail, Astrid Panosyan-Bouvet, l’a confirmé : « Les retraités seraient effectivement gagnants, si on peut dire qu’il y a des gagnants, parce qu’effectivement (…) ils verraient leurs pensions indexées sur l’inflation. »

Mais « il y a une forme de frilosité et de myopie de la classe politique, qui considère les retraités comme un bloc homogène. (…) Il y a 75 % des retraités qui sont propriétaires » et certains « peuvent, je pense, participer à l’effort de redressement de nos comptes publics, au même titre que les actifs », a poursuivi la ministre, jugeant que le budget de la « Sécu » aurait « protégé » les retraités précaires.

Les écologistes se projettent dans l’après-Barnier et proposent onze priorités et une méthode de gouvernement

Par Rachel Garrat-Valcarcel

Lecture : 2 min.

Les 38 députés du groupe Ecologiste et social n’attendront pas la chute promise du gouvernement Barnier, prévue pour le mercredi 4 décembre en début de soirée, pour dévoiler leurs ambitions concernant « l’après ». « Il s’agit de dire aux Français “oui, le gouvernement va tomber, ça peut vous inquiéter, mais on y a réfléchi et [on a pensé] à ce qu’on pourrait faire d’autre” », explique la présidente du groupe, Cyrielle Chatelain (Isère). Dès mercredi midi, le groupe présentera une « feuille de route pour gouverner », articulée autour d’un « socle de onze mesures prioritaires », que Le Monde a pu consulter en exclusivité.

Yannick Jadot souhaite qu’un gouvernement de gauche inclue « des ministres issus du bloc central » à l’opposé de la situation de son parti

Face au blocage institutionnel, le sénateur écologiste a plaidé, mercredi, dans Le Figaro, pour un gouvernement dirigé par la gauche mais incluant « des ministres issus du bloc central », au nom d’un « pacte républicain transitoire ». M. Jadot a estimé qu’il fallait trouver « un accord de non-censure, autour d’un socle restreint de mesures indispensables pour les Français », entre l’alliance de gauche du Nouveau Front populaire et le bloc central macroniste.

Selon l’ancien candidat à la présidentielle, il reviendrait au NFP de constituer le prochain gouvernement « puisque notre coalition est arrivée en tête aux législatives ». « Le centre de gravité du prochain gouvernement doit être beaucoup plus à gauche que ce qu’il est aujourd’hui. Le premier ministre doit être une personnalité problem de la gauche et des écologistes. Ce champ politique ne manque pas de personnes très capables », a-t-il fait valoir, sans citer de noms.

Selon M. Jadot, la gauche et les macronistes pourraient s’entendre « sur des sujets transpartisans comme la justice fiscale et sociale, la proportionnelle, l’adaptation au changement climatique, le logement, l’industrie décarbonée, les companies and products publics, les déserts médicaux, la fin de vie, le revenu des agriculteurs sans sacrifier la santé et la biodiversité ».

Le sénateur de Paris a renvoyé la balle au bloc central, qui « doit choisir entre continuer et formaliser son alliance avec l’extrême droite ou revenir dans le champ de la République, de la démocratie et du progrès ».

Jean-Philippe Tanguy : « Ce budget est un mauvais budget, et, paradoxalement, pas de budget du tout, c’est mieux »

Jean-Philippe Tanguy, député Rassemblement national de la Somme, était également invité ce matin sur RMC au micro d’Apolline de Malherbe, face à Eric Coquerel. « Nous ne votons pas un texte, nous votons une motion de censure du gouvernement. Le texte, non essentiel, est un artifice, un colifichet pour expliquer une situation, c’est tout », a expliqué M. Tanguy, quelques heures avant de signer la motion de censure qui sera déposée à l’Assemblée par le NFP.

Le député RN a défendu son parti de l’accusation qui lui était faite : Marine Le Pen n’a pas demandé plus, selon lui ; au contraire, « on a fait encore un geste automobile nous avons allégé les efforts que l’on demandait sur l’Union européenne, par exemple », a affirmé M. Tanguy.

« Ce budget est un mauvais budget, un budget de faillite, et, paradoxalement, pas de budget du tout, c’est mieux », a par ailleurs déclaré le député RN, qui ne voit pas non plus la différence entre un gouvernement démissionnaire et un gouvernement acté. « Même si Michel Barnier premier ministre démissionnaire jusqu’à l’été, ce serait un affront démocratique. »

Marine Le Pen au JT de TF1 ce soir et Jean-Luc Mélenchon jeudi

Marine Le Pen, cheffe de file des députés du Rassemblement national, sera sur le plateau du JT de 20 heures de TF1, ce soir.

Jeudi, ce sera au tour de Jean-Luc Mélenchon, chef de file de La France insoumise.

Hier soir, plus de 10,3 thousands and thousands de téléspectateurs ont suivi l’interview du premier ministre, Michel Barnier, sur TF1 et France 2, à la veille du vote de la censure à l’Assemblée, selon des données de Médiamétrie mercredi.

« C’est bloqué tant que ce gouvernement ne tombe pas. Tout à l’heure à la tribune, on ouvre un espoir », déclare Eric Coquerel

Michel Barnier n’a pas « convaincu » hier soir Eric Coquerel, député (LFI-NFP) de Seine-Saint-Denis. « Je l’ai vu en homme de droite, peu conciliant », a affirmé ce matin le président de la rate des funds, sur RMC.

« J’ai l’impact que la grande majorité des Français dont parle Michel Barnier sont derrière nous, justement. » Eric Coquerel a tenu à les rassurer – en particulier les 380 000 qui basculeraient mécaniquement et deviendraient imposables si le PLFFS ne venerable pas, selon le gouvernement –, en dénonçant le côté « alarmiste » de Michel Barnier lorsqu’il parle de « chaos économique et financier » ; et ajoutant, par ailleurs, que cela était « pretend ».

Boris Vallaud a appelé un peu plus tôt ce matin l’arc républicain à faire preuve de compromis : « Cela est fictif, et je le dis aux socialistes », a commenté Eric Coquerel au micro d’Apolline de Malherbe. « C’est bloqué tant que ce gouvernement ne tombe pas. Tout à l’heure, à la tribune, on ouvre un espoir. Et après, c’est M. Macron qui a la responsabilité. Il pourrait, par exemple, appeler un gouvernement NFP, mais j’en doute. »

Eric Coquerel a tenu à répéter que si « le RN se rallie à notre motion, c’est parce qu’il estime aussi qu’il faut faire tomber le gouvernement Barnier, mais nous, à l’inverse du premier ministre, on ne se met à provider le RN sur leurs valeurs pour dire “votez notre texte” (…) on sait que c’est notre adversaire ». Le député LFI-NFP a également confirmé son appel à la démission d’Emmanuel Macron, qui est, selon lui, « davantage un obstacle qu’une resolution ».

Le déroulé des motions de censure

Bonjour Fred,

Merci pour votre question. Voici observation le déroulé de « bal » est annoncé :

L’Assemblée nationale examinera à partir de 16 heures les motions de censure déposées par la quasi-totalité du Nouveau Front populaire (NFP) et par l’alliance entre le Rassemblement national (RN) et les ciottistes. C’est la motion de censure avec le plus de signataires qui sera votée en premier. En l’occurrence, celle du NFP.

▶️Concrètement, les deux motions seront discutées en même temps. L’orateur de la motion du NFP prendra la parole en premier pour « mener l’accusation », en quelque sorte, contre le gouvernement. Ce devrait être le député « insoumis » Eric Coquerel, président de la rate des funds.

▶️Il sera suivi de l’orateur de la seconde motion de censure, celle de l’extrême droite.

▶️Ensuite, Michel Barnier montera à la tribune pour se défendre, sans limite de temps. Enfin, les neuf autres groupes prendront la parole pour expliquer leur choix. A l’problem du débat, les députés se prononceront donc d’abord sur la motion du NFP, qui a toutes les possibilities d’être adoptée, le RN ayant promis de la voter, sans doute aux alentours de 20 heures. Et si la première réunit les suffrages nécessaires, la seconde ne sera pas votée.

Le débat sur la démission d’Emmanuel Macron, un « poison lent » distillé par le RN

Par Clément Guillou, Corentin Lesueur

Lecture : 3 min.

Le Rassemblement national (RN) ne fait, depuis longtemps, plus gigantic cas d’Emmanuel Macron. « Un monarque républicain, déchu, qui avance la chemise ouverte et la corde au cou jusqu’à la prochaine dissolution », dépeint Philippe Olivier, eurodéputé et conseiller de Marine Le Pen, la présidente du groupe RN à l’Assemblée nationale. « Pour nos électeurs, le problème n’est pas Michel Barnier, qui n’est qu’un paravent. Le problème, c’est Emmanuel Macron », renchérit le député de Moselle Kévin Pfeffer, proche du président du parti, Jordan Bardella. Un chef de l’Etat isolé, dépourvu de majorité, que le mouvement d’extrême droite reflect de cibler à travers la chute du premier ministre, Michel Barnier, en associant, mercredi 4 décembre, ses voix à celle de la gauche pour faire tomber le gouvernement.

« La motion de censure est une motion de rejet du gouvernement », a déclaré Jordan Bardella, président du RN. Les députés RN voteront la censure, « peu importe le parti politique qui en est à l’origine »

Pour le président du Rassemblement national (RN), interviewé ce matin sur France Inter, quand le premier ministre présente « un budget de récession, dangereux pour la croissance économique, pour le pouvoir d’achat [des] plus précaires », son « devoir est de le rejeter ».

« Nous voterons la motion de censure, bien sûr », a confirmé Jordan Bardella, pour qui « ce gouvernement est mauvais pour les Français ». Celui qui est responsable de « la anguish dans laquelle nous sommes, ce n’est pas le parti qui n’a jamais été au pouvoir », a ajouté le président du RN. Par ailleurs, il reflect de voter un texte qui parle des « plus viles obsessions et de la faillite morale » de son parti.

« La motion de censure du NFP [Nouveau Front populaire] a recueilli le plus de signatures et donc c’est celle qui sera mise aux voix ; c’est une motion de rejet et de défiance à l’égard du gouvernement », a-t-il rappelé en plaidant que ce qui intéressait le RN, c’est « l’intérêt du will pay ». « Peu importe le parti politique qui en est à l’origine (…), ce n’est pas une alliance avec la gauche, Jean-Luc Mélenchon ne sera pas premier ministre », a ajouté M. Bardella qui répondait à un auditeur en train.

« S’il y a un nouveau gouvernement, il faut que les quelques victoires que l’on a obtenues demeurent, et que les lignes rouges du RN, premier groupe à l’Assemblée, soient prises en compte et intégrées en intégralité », a aussi prévenu le chef du parti d’extrême droite.

« Marine Le Pen est soumise aux “insoumis” », estime Bruno Retailleau

« On va voir le RN [Rassemblement national] voter une motion de censure des “insoumis” qui les insultent », selon le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, interrogé ce matin sur Europe 1/CNews. « Cette curieuse alliance de la carpe et du lapin, c’est une mélenchonisation du RN et de Mme Marine Le Pen, qui, elle, est soumise aux “insoumis” puisqu’elle apporte son crédit à LFI [La France insoumise] », a-t-il poursuivi.

« Ce budget n’était pas parfait », mais le « anguish d’une censure, c’est que les marchés financiers s’affolent, et que l’on dévisse », a par ailleurs déclaré M. Retailleau. « La majorité de la dette française est détenue par des fonds de pension américains, japonais, etc. (…) Nous avons perdu notre souveraineté, et cela s’aggravera. »

« Ceux qui vont voter la censure ce soir vont jouer le destin des Français à la roulette russe. A la roulette belge, même », a lancé le ministre de l’intérieur, à qui il manquerait – si cette censure « pour rien » était votée – « 751 thousands and thousands [d’euros] pour déployer des brigades de gendarmerie dans toute la France, payer les policiers, mener la politique migratoire qu[’il] souhaite mener ».

« Oui, je vais voter la motion de censure », affirme Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l’Assemblée

« Je me désole de la anguish dans laquelle nous sommes », a déclaré ce matin sur France 2 Boris Vallaud. « Nous avons fait des propositions très concrètes, mais il nous a avoué ne pas pouvoir fracturer son socle commun (…). Sa censure, c’est sa responsabilité et oui, je vais la voter », a affirmé le président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale. « La méthode Barnier s’est révélée, au fond, être une deadlock. »

La semaine dernière, M. Vallaud avait dit vouloir proposer à tous les partis, à l’exception du Rassemblement national (RN), « de poser la question des instances d’une non-censure » si le gouvernement de Michel Barnier venait à être renversé. « Si le Rassemblement national vote cette motion de censure, nous aurons la possibilité d’avoir un gouvernement de gauche, mais si nous avons un gouvernement de gauche, jamais nous ne négocierons avec le RN », a-t-il estimé ce matin.

Bonjour,
Nous sommes mercredi 4 décembre et l’Assemblée nationale s’apprête à censurer le gouvernement de Michel Barnier.
« Je ne sais pas si cela se produira », mais « j’y suis prêt », a répété hier le premier ministre.

L’Assemblée examinera à partir de 16 heures les motions de censure déposées par le Nouveau Front populaire (quasi au complet) et par l’alliance entre le Rassemblement national et le groupe d’Eric Ciotti pour faire chuter le gouvernement de M. Barnier. Celle de la gauche a toutes les possibilities d’être adoptée, le RN ayant promis de la voter, sans doute aux alentours de 20 heures. Comme hier, nous suivrons tout cela ensemble et en train.

Olivier Faure : avec La France insoumise, « il y a une divergence fondamentale sur ce que nous voulons faire »

Le premier secrétaire du Parti socialiste justifie, dans un entretien au Monde, la décision de voter la motion de censure contre le gouvernement de Michel Barnier. Mais s’il pointe la responsabilité d’Emmanuel Macron dans la crise politique, il rejette les appels à la démission du chef de l’Etat lancés par La France insoumise.

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Le contexte

Are dwelling animé par Charlotte Herzog

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