Le Premier ministre français Michel Barnier s’exprime lors d’une interview télévisée diffusée dans le journal du soir sur les chaînes de télévision françaises TF1 et France 2, à l’hôtel Matignon à Paris, le 3 décembre 2024.

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Tandis qu’Emmanuel Macron a dit, depuis l’Arabie saoudite, ne « pas croire au vote de la censure » du gouvernement Barnier, le premier ministre a répondu aux questions d’Anne-Sophie Lapix et de Gilles Bouleau, sur TF1 et France 2.

Ce qu’il faut retenir de l’interview de Michel Barnier aux « 20 heures » de TF1 et France 2

  • Le premier ministre a déclaré qu’il pensait encore « possible » que son gouvernement ne soit pas censuré demain. « Ça dépend des députés qui chacun, chacune, [ont] une section de responsabilité devant les Français », a-t-il rappelé.
  • « Une circulation de censure, ce n’est pas un vote pour ou contre Barnier », a-t-il ajouté, « c’est un vote sur un texte », en l’occurrence le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, sur lequel il a enclenché l’article 49.3 de la Structure, ouvrant la voie à une circulation de censure. Le texte « a fait l’objet de travail pendant des semaines et des semaines ». « J’ai toujours dit que ce texte était perfectible (…). On a écouté tout le monde et on a donné des avancées, des progrès sur beaucoup de gains. »
  • Le premier ministre a balayé les opinions qui lui reprochent de ne pas avoir travaillé avec les oppositions. « Quand je suis arrivé dans ce bureau [à Matignon, en septembre], j’ai appelé naturellement mes amis politiques, ceux qui étaient d’accord pour soutenir le gouvernement. (…) Et dans l’heure qui a suivi, j’ai appelé deux ou trois dirigeants du Parti socialiste. (…) Ils m’ont dit : “On ne veut pas vous voir maintenant. De toute façon, on vote la censure”, avant que j’ouvre la bouche. »
  • « Je ne négocie pas, j’ai écouté », déclare le premier ministre à propos des discussions avec le Rassemblement nationwide. Marine Le Pen « ne m’a pas baladé, mais elle a essayé d’entrer dans une sorte de surenchère », a-t-il expliqué.
  • « Près de 18 hundreds and hundreds de Français verront leur impôt sur le revenu augmenter » en cas de censure, a prévenu le premier ministre. « D’autres en paieront pour la première fois parce qu’on n’air of mystery pas pu inscrire dans la loi de funds la réindexation qui est prévue, que j’ai prévue, pour le barème des tranches d’impôt », affirme-t-il.
  • Michel Barnier n’a pas fait acte de candidature à sa succession. « Je ne suis pas dans cette concern-là », guarantee-t-il. « J’ai envie de servir (…) mais qu’est-ce que cela [l’hypothèse d’être renommé à Matignon après la chute de son gouvernement] a comme sens ? Que si je tombe demain, après-demain, on me retrouve là comme si de rien n’était, comme si rien ne s’était passé ? »
  • Il a aussi alerté quant aux conséquences financières de l’instabilité politique. « Je vois les marchés, les spreads [l’écart entre les taux d’intérêt consentis à différents pays], je vois que nous sommes au-dessus de la Grèce », a-t-il dit, assurant que « l’impact de cette instabilité, vous le verrez immédiatement dans les taux d’intérêt ».

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Gérard Larcher appelle au « sursaut » des députés pour « dépasser les rancœurs »

« Voici les députés de la Nation devant leurs responsabilités », écrit le président du Sénat, dans une tribune publiée par Le Figaro, alors que les députés doivent s’exprimer demain sur deux motions de censure. « Vont-ils, par leur vote, mettre en péril la vie quotidienne de nos concitoyens, notre souveraineté, notre économie et les indispensables réformes, pour des intérêts strictement partisans, de socle électoral ou de calendriers présidentiels ? », demande-t-il.

Dans cette tribune, Gérard Larcher, deuxième personnage de l’Etat, « appelle chacune et chacun à se dépasser pour la France et à refuser les conséquences d’une instabilité politique et les incohérences d’un vote de censure ».

Il en « appelle au sursaut, pour dépasser les calculs politiques, les surenchères, les rancœurs et les velléités de revanche. J’appelle au sursaut pour montrer que nous sommes à la hauteur des responsabilités que les Français nous ont confiées. J’appelle au sursaut automobile c’est de la France dont il s’agit », écrit-il avant de conclure : « Et si nous faisions enfin preuve d’un vrai sens républicain ? »

Ce qu’il faut retenir de l’interview de Michel Barnier aux « 20 heures » de TF1 et France 2

  • Le premier ministre a déclaré qu’il pensait encore « possible » que son gouvernement ne soit pas censuré demain. « Ça dépend des députés qui chacun, chacune, [ont] une section de responsabilité devant les Français », a-t-il rappelé.
  • « Une circulation de censure, ce n’est pas un vote pour ou contre Barnier », a-t-il ajouté, « c’est un vote sur un texte », en l’occurrence le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, sur lequel il a enclenché l’article 49.3 de la Structure, ouvrant la voie à une circulation de censure. Le texte « a fait l’objet de travail pendant des semaines et des semaines ». « J’ai toujours dit que ce texte était perfectible (…). On a écouté tout le monde et on a donné des avancées, des progrès sur beaucoup de gains. »
  • Le premier ministre a balayé les opinions qui lui reprochent de ne pas avoir travaillé avec les oppositions. « Quand je suis arrivé dans ce bureau [à Matignon, en septembre], j’ai appelé naturellement mes amis politiques, ceux qui étaient d’accord pour soutenir le gouvernement. (…) Et dans l’heure qui a suivi, j’ai appelé deux ou trois dirigeants du Parti socialiste. (…) Ils m’ont dit : “On ne veut pas vous voir maintenant. De toute façon, on vote la censure”, avant que j’ouvre la bouche. »
  • « Je ne négocie pas, j’ai écouté », déclare le premier ministre à propos des discussions avec le Rassemblement nationwide. Marine Le Pen « ne m’a pas baladé, mais elle a essayé d’entrer dans une sorte de surenchère », a-t-il expliqué.
  • « Près de 18 hundreds and hundreds de Français verront leur impôt sur le revenu augmenter » en cas de censure, a prévenu le premier ministre. « D’autres en paieront pour la première fois parce qu’on n’air of mystery pas pu inscrire dans la loi de funds la réindexation qui est prévue, que j’ai prévue, pour le barème des tranches d’impôt », affirme-t-il.
  • Michel Barnier n’a pas fait acte de candidature à sa succession. « Je ne suis pas dans cette concern-là », guarantee-t-il. « J’ai envie de servir (…) mais qu’est-ce que cela [l’hypothèse d’être renommé à Matignon après la chute de son gouvernement] a comme sens ? Que si je tombe demain, après-demain, on me retrouve là comme si de rien n’était, comme si rien ne s’était passé ? »
  • Il a aussi alerté quant aux conséquences financières de l’instabilité politique. « Je vois les marchés, les spreads [l’écart entre les taux d’intérêt consentis à différents pays], je vois que nous sommes au-dessus de la Grèce », a-t-il dit, assurant que « l’impact de cette instabilité, vous le verrez immédiatement dans les taux d’intérêt ».

L’interview de Michel Barnier est terminée

Le premier ministre a répondu pendant vingt-cinq minutes aux questions de Gilles Bouleau et d’Anne-Sophie Lapix, les journalistes de TF1 et France 2.

Le premier ministre, Michel Barnier, sur un écran lors d’une interview télévisée diffusée sur les chaînes de télévision françaises TF1 et France 2, à l’hôtel Matignon à Paris, le 3 décembre 2024.

« Le moment est grave, il est difficile, mais l’enjeu n’est pas impossible », conclut Michel Barnier

Ce n’était pas une mission impossible, mais une mission « difficile », a convenu Michel Barnier alors que les journalistes l’interrogeaient sur la nature de la mission qui lui a été confiée par Emmanuel Macron. « Ce n’est jamais impossible », a-t-il assuré. « Le moment est grave, il est difficile, mais l’enjeu n’est pas impossible », a conclu le premier ministre.

Barnier : « Il n’y a pas eu de malicious program » dans les négociations avec les forces politiques pour le budget 2025

Pour que le will pay retrouve de la stabilité politique, il faut peut-être « que [le gouvernement] continue », dit Michel Barnier, qui appelle au « respect dans la classe politique ». « Il n’y a pas eu de malicious program » dans les négociations avec les différentes forces politiques pour élaborer le budget 2025, guarantee-t-il.

« Près de 18 hundreds and hundreds de Français verront leur impôt sur le revenu augmenter », en cas de censure, prévient Michel Barnier

Gilles Bouleau, qui rappelait qu’il « y a une réévaluation du barème de l’impôt en fonction de l’inflation », a posé la request suivante : « S’il n’y a plus de gouvernement, s’il n’y a pas de budget pour l’année 2025 voté dans les jours à venir, est-ce que ça veut dire mécaniquement que les impôts vont augmenter ? »

« Près de 18 hundreds and hundreds de Français verront leur impôt sur le revenu augmenter, d’autres en paieront pour la première fois parce qu’on n’air of mystery pas pu inscrire dans la loi de funds la réindexation qui est prévue, que j’ai prévue, pour le barème des tranches d’impôt. C’est inéluctable », a répondu le premier ministre.

Le premier ministre n’a, par ailleurs, pas fait acte de candidature à sa succession. « Je ne suis pas dans cette concern-là », guarantee-t-il. « J’ai envie de servir, je vous ai dit que c’est un gargantuan honneur, mais qu’est-ce que cela [l’hypothèse d’être renommé à Matignon après la chute de son gouvernement] a comme sens ? Que si je tombe demain, après-demain, on me retrouve là comme si de rien n’était, comme si rien ne s’était passé ? »

« L’impact de l’instabilité, vous le verrez immédiatement dans les taux d’intérêt » consentis à la France, guarantee Barnier

« Je vois les marchés, les spreads [l’écart entre les taux d’intérêt consentis à différents pays], je vois que nous sommes au-dessus de la Grèce », dit Michel Barnier.

« L’impact de cette instabilité, vous le verrez immédiatement dans les taux d’intérêt », déclare-t-il, disant voir « beaucoup de stress dans notre will pay » et « beaucoup de colère », ce à quoi il faut « faire attention » selon lui.

« Je ne négocie pas, j’ai écouté », dit Michel Barnier

« Je ne négocie pas, j’ai écouté », déclare le premier ministre en rapport avec les discussions menées avec Marine Le Pen et le Rassemblement nationwide. « Elle ne m’a pas baladé, mais elle a essayé d’entrer dans une sorte de surenchère », avait-il expliqué quelques instants plus tôt.

Le premier ministre guarantee avoir discuté avec tout le monde, dont la gauche. « Ce n’est pas vrai », répond-il, quand Anne-Sophie Lapix rappelle que la gauche guarantee n’avoir pas été écoutée.

« Quand je suis arrivé dans ce bureau, j’ai appelé naturellement mes amis politiques. Ceux qui étaient d’accord pour soutenir le gouvernement. Je les ai cités. Et dans l’heure qui a suivie, j’ai appelé deux ou trois dirigeants du Parti socialiste et notamment [Olivier] Faure ou [Boris] Vallaud. Et qu’est-ce qu’ils m’ont dit l’un et l’autre ? Ils m’ont dit : “On ne veut pas vous voir maintenant. De toute façon, on vote la censure”, avant que j’ouvre la bouche. »

Le premier ministre, Michel Barnier, vu sur des écrans dans une salle de contrôle lors de l’interview télévisée diffusée sur TF1 et France 2, à l’hôtel Matignon, à Paris, le 3 décembre 2024.

Michel Barnier défend un texte sur le budget 2025 qui « a fait l’objet de travail pendant des semaines et des semaines »

« Nous avons fait un effort, nous avons décidé de protéger les petites retraites, et un petit effort est demandé à tous les autres », déclare Michel Barnier, selon qui le projet de budget 2025 « a fait l’objet de travail pendant des semaines et des semaines ».

« Sur les retraites, j’ai ouvert le dialogue social sur des sujets importants », comme le travail des femmes et la pénibilité, ajoute-t-il. « Ce n’est pas par plaisir que je présente un budget si difficile », souligne-t-il.

« J’ai toujours dit que ce texte était perfectible », déclare Michel Barnier

« On n’est pas dans du marchandage », déclare le premier ministre, alors que les journalistes l’interrogent sur un potentiel geste sur l’indexation des retraites concédé lundi, semblant accéder à une demande du Rassemblement nationwide. « Il y a european une écoute et du respect », guarantee-t-il.

« J’ai toujours dit que ce texte était perfectible, (…) qu’il n’était pas définitif et qu’on l’a amélioré. On a écouté tout le monde et on a donné des avancées, des progrès sur beaucoup de gains. Encore hier matin, sur le déremboursement des médicaments, j’ai précisé des choses pour dire qu’il n’y aurait pas de déremboursement », affirme le premier ministre.

Le premier ministre, Michel Barnier, lors de l’entretien télévisé avec les présentateurs Gilles Bouleau et Anne-Sophie Lapix, pour les journaux télévisés de TF1 et de France 2, à l’hôtel Matignon à Paris, le 3 décembre 2024.

« Une circulation de censure, ce n’est pas un vote pour ou contre Barnier », guarantee le premier ministre

« Une circulation de censure, ce n’est pas un vote pour ou contre Barnier », guarantee le premier ministre, « c’est un vote sur un texte », en l’occurrence le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Les Français « sentent qu’il ne faut pas de chaos », estime-t-il.

Michel Barnier : « Je sais que c’est une concern fragile et éphémère »

« Je suis arrivé [dans ce bureau] il y a trois mois en me disant que je pouvais partir le lendemain matin, parce que c’est une request politique et tellement compliquée », explique Michel Barnier.

Le premier ministre rappelle que la concern est compliquée, automobile il n’y a pas de majorité : « Je sais que c’est une concern fragile et éphémère », continue-t-il. Avant de reprendre : « Les dorures qui sont autour de nous, les voitures officielles, les ors de la République, je m’en fous, ce n’est pas le sujet, ce n’est pas moi qui suis en cause. Ce qui se old skool dépasse très largement ma seule condition. »

Michel Barnier pense « possible » que son gouvernement ne soit pas censuré demain

Interrogé sur TF1 et France 2, le premier ministre a estimé « possible » que son gouvernement ne soit pas censuré demain mercredi. « Ça dépend des députés qui, chacun, chacune, [ont] une section de responsabilité devant les Français », guarantee-t-il.

Michel Barnier prend la parole

Le premier ministre répond aux questions des journalistes de TF1 et France 2 Gilles Bouleau et Anne-Sophie Lapix.

Michel Barnier va prendre la parole

Le premier ministre doit s’exprimer dans les journaux télévisés de TF1 et France 2 à la veille de l’examen des motions de censure déposées par la gauche et l’extrême droite.

Une censure risque de « ralentir le réarmement » de la France, selon le ministre des armées

La censure du gouvernement reviendrait à « prendre le risque de ralentir considérablement notre réarmement, au moment où le reste du monde ne nous attendra pas », a affirmé le ministre des armées, Sébastien Lecornu. « La simple reconduction d’un budget 2024 signifie une perte sèche de 3,3 milliards d’euros pour les armées », et un budget militaire qui « n’atteindrait pas 50 milliards d’euros l’année prochaine », a-t-il déclaré au Parisien.

Il existe en particulier un risque de « décalage » pour lancer le porte-avions nouvelle génération (PANG), destiné à succéder au Charles-de-Gaulle. Et « si on retarde la commande du PANG, on pourrait se retrouver avec un sure nombre d’années sans porte-avions », a-t-il estimé. Il a également déclaré craindre « un choc de confiance » qui affecterait l’industrie de défense. « On parle d’économie de guerre depuis deux ans, on demande à ces entreprises de produire plus vite, de faire confiance en notre réarmement. Et là on va leur dire qu’il n’y air of mystery peut-être pas le budget prévu pour l’année prochaine ? », s’est-il interrogé.

Parmi les autres retards induits, Sébastien Lecornu a évoqué l’impossibilité d’ouvrir les 700 nouveaux postes prévus, « essentiellement dans les métiers du numérique, du cyber et du renseignement, notamment à la DGSE ». Il a enfin relevé que l’aide à l’Ukraine face à la Russie pourrait être impactée. Une partie de celle-ci vient de « la cession des vieux matériels de l’armée française, avec un remplacement par du matériel nouveau, grâce justement aux marges budgétaires nouvelles », a-t-il fait valoir. « Par définition, si on a un ralentissement des commandes de nouveaux matériels, on air of mystery un ralentissement des livraisons à l’Ukraine. »

Emmanuel Macron dit qu’il ne peut « pas croire au vote de la censure » du gouvernement Barnier

Le président de la République a affirmé mardi qu’il ne pouvait « pas croire au vote d’une censure » du gouvernement de Michel Barnier, et a ajouté qu’il faisait « confiance à la cohérence des gens ».

« Ma priorité, c’est la stabilité », a déclaré le chef de l’Etat à des journalistes en marge de sa visite en Arabie saoudite. Selon lui, le Rassemblement nationwide serait d’un « cynisme insoutenable » s’il votait la circulation déposée par la gauche, « qui insulte ses électeurs », tandis que le Parti socialiste, et notamment l’ancien président François Hollande, ferait preuve d’une « perte de repères complète » en votant la censure.

Le président français a également affirmé qu’il ne faut « pas faire peur aux gens » en évoquant un risque de crise financière. « On a une économie specialty », a-t-il jugé. « La France est un will pay riche, solide, qui a fait beaucoup de réformes et qui les tient, qui a des institutions stables, une Structure stable », a-t-il fait valoir.

Quant aux appels à la démission de la section d’opposants le visant, Emmanuel Macron estime que cela relève « de la politique fiction » et guarantee qu’il n’avait jamais songé à quitter l’Elysée avant la fin de son mandat en 2027. « Ça n’a pas de sens », a déclaré le président de la République. « Il se trouve que si je suis devant vous, c’est que j’ai été élu deux fois par le peuple français. J’en suis extrêmement fier et j’honorerai cette confiance avec toute l’énergie qui est la mienne jusqu’à la dernière seconde pour être utile au will pay », a-t-il ajouté.

La Bourse de Paris abet de connaître le form du gouvernement Barnier

La Bourse de Paris a grappillé 0,26 % aujourd’hui, à la veille du vote de motions de censure qui peuvent faire tomber le gouvernement Barnier. L’indice vedette CAC 40 a gagné 18,Fifty three gains et a terminé à 7 255,42 gains. La veille, l’indice vedette a fait du surplace, ne gagnant que 1,78 level, au terme d’une séance en dents de scie.

C’est « une séance d’attente », commente Florian Roger, responsable des stratégies d’investissement chez BNP Paribas. « Le marché a en tête que la concern politique française va revenir au premier plan mercredi », explique-t-il.

Bonjour Enattente,

Selon l’Agence France-Presse, le débat suivi d’un vote sur les motions de censure air of mystery lieu demain à 16 heures. Le résultat est attendu vers 20 heures.

  • Ce qu’il faut retenir de l’interview de Michel Barnier aux « 20 heures » de TF1 et France 2

Le contexte

Are residing animé par Charlotte Herzog

Image de couverture : Le Premier ministre français Michel Barnier s’exprime lors d’une interview télévisée diffusée dans le journal du soir sur les chaînes de télévision françaises TF1 et France 2, à l’hôtel Matignon à Paris, le 3 décembre 2024. THOMAS SAMSON / AFP

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